Dirty New-York

Qui a dit que le linge sale se lavait uniquement en famille ?
 
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 T'étais passé où Dadam ? (Adam)

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S. Willow Duchannes

S. Willow Duchannes


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MessageSujet: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptySam 28 Oct 2023 - 0:47

Je rentrais tout juste du lieu de travail d’Adam. Après la conversation que j’avais eu avec sa patronne, j’étais rentrée avec une idée en tête : faire sortir Adam de sa cachette ! Je ne comprenais pas la raison de son silence. La dernière fois que je l’avais vu, c’est vrai que je m’étais énervée contre lui à cause d’une histoire qu’il avait eu avec une autre fille. Mais je m’étais calmée et nous avions eu un moment… vraiment intime. Je pensais que tout allait bien, que j’avais tout bien fait comme il fallait. Pourtant, Adam ne répondait ni à mes messages, ni à mes appels. Je n’y comprenais rien, j’étais perdue. Sa patronne m’avait donné une idée que j’avais eu le temps de faire murir durant mon trajet de retour.

Dans l’appartement haut de gamme que je partageais avec mes parents et ma soeur, je me rendis compte que j’étais seule. Et je me rappelais qu’ils étaient tous partis en voyage, en rapport avec leurs activités respectives. Je soupirais de soulagement. J’adorais quand ils n’étaient pas là, ça m’évitait de supporter leurs remarques désobligeantes et leurs moqueries.
J’allais dans ma chambre déposer mon sac avant d’aller dans la cuisine pour boire de l’eau. Je savais ce que je devais faire, mais une partie de moi repoussait le moment où je devrais mettre mon plan à exécution. J’avais peur des conséquences de ce que j’allais faire… Et si mon plan tombait à l’eau ?

Avant de faire quoi que ce soit, j’avais besoin de me préparer mentalement. Je me dirigeais dans la salle de bains. J’allumais la douche, et en attendant que l’eau chauffe, je me déshabillais. Sous l’eau, je laissais l’eau couler sur mon corps, comme si elle pouvait effacer toutes mes insécurités et mes doutes. Je fermais les yeux et pris une grande inspiration en m’imaginant la scène parfaite. Je le voyais prendre son téléphone, sourire en voyant mon message, prenant sa voiture et venant me retrouver chez moi. Une fois sortie de la douche, je me regardais dans le miroir, cherchant à voir la femme que voyait Adam. Je voulais la faire ressortir… Et puis une question se posa dans mon esprit. Si Adam venait, qu’est-ce que je ferais avec lui ? Je me rappelais alors du plaisir qu’Adam m’avait fait ressentir. Une vague de chaleur prit naissance dans mon bas ventre. Bien sûr, cette sensation était infime comparée à ce que j’avais ressenti aux côtés d’Adam. J’avais envie de ressentir à nouveau ce plaisir, je voulais sentir à nouveau les mains, les lèvres et la peau d’Adam.

Je fouillais dans mon dressing à la recherche d’une tenue sensuelle, qui me fasse sentir femme. Je ne trouvais rien avant de me rappeler des achats que j’avais. Je les avais caché dans une armoire, toujours dans leurs sacs, les étiquettes y étaient toujours accrochées. Si Daphné savait… elle me tuerait ! J’avais demandé conseil à la vendeuse qui m’avait vraiment bien conseillé pourtant maintenant que j’étais prête à porter cette lingerie… j’avais peur de paraître ridicule. Je soufflais et retirais ma serviette que je troquais pour un ensemble noir en dentelle fine, transparente qui ne cachait rien. Je mis le porte-jarretelles et les bas. Pour terminer, j’enfilais une robe de chambre courte en soie. J’attrapais mon téléphone et avant de perdre tout mon courage, je pris quelques photos sous différents angles. Je choisis les plus belles, celles où je faisais vraiment femme et les envoyais à mon garçon-test avec un message : « Coucou Adam, ça fait un moment que je n’ai plus de nouvelles. Je suis toute seule chez moi, ça te dit de passer ?  T'étais passé où Dadam ? (Adam) 1f61a »

Et sans me laisser le temps de réfléchir ou de revenir sur ma décision, j’appuyai sur « envoyer » et posai mon téléphone, le coeur battant à cent à l’heure. Les secondes me paraissaient des heures. Et puis, j’entendis la vibration m’indiquant une notification, un message.
Les doigts tremblants, je pris mon téléphone. Chaque fibre de mon être était tendue en déverrouillant l’écran. Ce plan, c’était un peu comme un saut dans le vide. Soit, il venait, et on passait une nouvelle étape. Soit il ignorait à nouveau mon message, ou pire, il m’envoyait balader et je saurais à quoi m’en tenir. J’ouvrais enfin le message en retenant mon souffle…
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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyLun 13 Nov 2023 - 15:40

Une après-midi de merde jusqu’au bout ! Je suis énervé depuis plusieurs jours. J’ai envie de baiser. Tout le temps ! Je suis frustré. Je me réveille le matin avec la gaule, et je me couche avec. Côtoyer Willow, l’allumer, lui faire découvrir des plaisirs inédits, c’est trop pour ma santé mentale. Surtout que pas une fois elle ne m’a supplié de la prendre. J’en ai marre. En plus de ça, ma patronne - qui n’est plus du tout mon amie depuis quelque jours - a décidé de m’en faire voir de toutes les couleurs dès qu’on est dans un même périmètre. Elle a décidé que mon nouveau surnom c’était ‘Le Puceau’. Ouais, avec un P majuscule ! Tout ça parce que je me suis retrouvé à juter dans mon froc comme un putain de gamin un jour de préliminaire avec Willow. Il a bien fallu que je lui raconte puisque le lendemain, je suis allé bosser avec une gueule de dix pieds de long. Et quand j’ai fini mon histoire, elle a éclaté de son rire le plus franc. Avec les larmes et tout. Je lui ai payé son meilleur fou rire de toute sa vie. Elle s’est bien foutue de ma gueule, et moi, j’ai encore plus fait la gueule. Inutile d'espérer la moindre compassion de Sasha. Et je commence à me demander si je dois continuer d’espérer que Willow finisse par écarter les cuisses pour moi. Enfin, si elle les écarte. Mais pas pour ma queue. Sauf que moi, j’en ai plein le cul de jouer au touche pipi avec Willow. Je veux la pilonner jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter parce que son corps ne pourra pas recevoir davantage de plaisir. Je la veux dans toutes les positions possibles et inimaginables. Je veux ressentir ses paroies se resserrer autour de ma queue au point de l’étouffer… Je veux plein de trucs et ça a l’air d’être aussi éphémère que le père noël !

Je reviens au garage en ruminant mes pensées. Ça fait plusieurs jours que j’ignore les appels et les sms de Willow. Je suis en train de remettre en cause toute ma détermination à la faire mienne. Et si je m’étais surestimé ? Je sais qu’elle prend son pied, vu comment elle hurle à chaque fois qu’elle atteint son orgasme. Mais je n’arrive pas à la faire changer d’avis. Elle veut encore réserver sa virginité à son potentiel mec qui n’existe pas. Sauf qu’avec tout ce que je lui ai fait vivre, sa virginité, c’est plus qu’un putain hymen à la con parce qu’elle sait se montrer plus chaude que n’importe quelle allumeuse. Et le pire, c’est qu’elle le fait en toute innocence. Je gare la voiture du garage sur le parking et entre dans l’atelier où Sasha est en train de nettoyer quelques outils avec un chiffon. Elle me jette un petit coup d'œil, mais elle ne dit rien. Je la connais suffisamment pour savoir qu’elle a forcément quelque chose à dire. Après ces derniers jours, je m’attend à l’entendre rire comme une bécasse, mais rien ne vient. Elle est malade ? Elle aussi, elle a rencontré une meuf qui l’a laissée sur le carreau? Franchement, ce serait bien fait ! En silence, je lave mes mains recouvertes de camboui à cause du putain de tacot que j’ai du remettre sur roues.

Tu d’vineras jamais qui te cherche désespérément, lance Sasha l’air de dire “moi je sais quelque chose que toi tu sais pas”.

Je soupire et répond :

J’sais pas. Un client, p’t’être ? Pourquoi on me chercherait au garage, sinon ?

Sasha vient s’appuyer contre le meuble juste à côté du lavabo et secoue négativement la tête. Elle a un petit rictus collé sur les lèvres. Elle sait définitivement quelque chose que je sais pas. Je grogne.

Tu vas me dire ou faut que je te tire les poils du nez ?

Je coupe l’eau et affronte Sasha du regard. Je vois bien qu’elle est tentée de garder le silence longtemps juste pour m’emmerder.

J’ai pas de poils dans le nez !

Tout le monde a des poils dans le nez.

Oh, tu fais chier, tête de bite ! Ta meuf en justaucorps et tutu !

Ma meuf en justaucorps et tutu ? Mais putain, c’est quoi encore cette histoire ? Je crois qu’elle comprend que je ne sais pas du tout de quoi elle parle, parce qu’elle lève les yeux au ciel, avant de me fixer comme si j’étais le mec le plus débile de l’univers. Et le pire, c’est qu’elle me donne vraiment l’impression que je suis débile. Alors que je sais même pas de quoi elle cause !

La meuf que t’essaies désespérément de baiser mais qui te tient par la peau des couilles. C’est plus clair ?

Willow ? Mais pourquoi tu parles de justaucorps et de tutu ?

Les femmes ont un langage codé qui n’appartient qu’à elles. Et même si Sasha a sûrement bouffé autant de chattes que moi, on parle pas la même langue.

C’est comme ça qu’elle était habillée. J’crois qu’elle fait de la danse ou un truc dans le genre.

Je hausse les épaules. J’en sais rien, en vrai ! Et je pige toujours pas plus ce que Sasha me raconte.

Ben, elle te cherche, ajoute Sasha en guise de précision.

Ah ?

Ouaiiiiis ! Elle avait l’air assez malheureuse que tu l’ignores comme ça, dit-elle en croisant les bras sous sa poitrine.

Je rêve ou Sasha est en train d’essayer de me faire culpabiliser ? Au même moment, le son d’une notification sonne. Je sors le téléphone de la poche arrière de mon jean et je jete un coup d’oeil à l’écran. Il s’agit d’un message de Willow. J’hésite entre l’ouvrir et l’ignorer, comme tous les derniers messages ces derniers jours. Mon doigt est légèrement placé au-dessus de l’écran. Je sais pas si c’est le fait que Sasha m’ait parlé d’elle ou pas, mais j’ouvre le message et tombe directement sur des photos de Willow dans un ensemble noir en dentelle fine qui ne cache presque rien de son corps. C’est moi ou elle m’allume ? Je sursaute quand soudain, le rire de Sasha résonne juste à côté de moi. Elle est en train de regarder mon écran de téléphone par-dessus mon épaule et elle n’a absolument rien loupé de la photo de Willow.

J’y crois pas, elle l’a fait !

Qu’est-ce que … ?

Sasha se bidonne de rire, et je défile un peu les photos jusqu’à trouver son message. Je relève les yeux vers ma patrone.

Qu’est-ce que tu lui as dit ? De quoi vous avez parlé ?!

Que t’es qu’un gland, Le Puceau ! T’as jamais rien compris aux femmes, et t’y comprendras jamais rien. Mais c’est parce que tu réfléchis qu’avec ta bite. Alors que tu réfléchirais avec ton cerveau, ta bite aurait ce qu’il lui faut.

Je suis complètement paumée. Sasha râle et souffle d’un air exaspéré.

Adam, sérieux, t’es mon meilleur pote, mais t’es qu’un con. Prends tes couilles bleues dans tes mains, et réponds lui que tu arrives ! C’est pas en l’ignorant que tu vas arranger les choses. T’es allé trop loin pour faire marche arrière, ce serait dommage de tout laisser tomber maintenant, tu crois pas ?

Franchement, je sais pas. C’est ce que je rumine dans ma tête depuis plusieurs jours. Je passe une main dans mes cheveux en soufflant. Je prends deux secondes de réflexion. Sasha me fixe. Je vois bien que son regard est très lourd de sens. En fait, elle ne tolérera pas une autre réponse que celle que je me vois contraint de donner :

Okay ! Mais je te préviens, si jamais je me contrains à regarder mes couilles se vider dans la bonde de la douche, je ne t’adresse plus jamais la parole !

Elle m’offre son plus beau sourire pendant que je tape une réponse à la con à Willow sur le fait que j’arrive. Je vais souffrir, je le sais, mais il faut que je la convainc de ne plus jamais mettre les pieds au garage. Elle réussirait à faire de Sasha une trop bonne copine… Et ça deviendrait la merde pour moi !

Peut-être que t’es trop mauvais ? Je devrais peut-être prendre ta place ?

Vas chier Sash’ !  je lui balance en me retournant pour quitter les lieux.

Je l’entends rire dans mon dos et avant que je ferme la porte, je l’entends me souhaiter bonne chance. Qu’elle casse couille celle-là ! Je m’engouffre dans ma voiture et je prends la direction de chez Willow.

Pendant toute la route, je suis plongé dans mes pensées. Je n’arrive pas à me retirer l’image de Willow dans son ensemble noir. Elle est bandante dedans. Je sais pas si elle le sait, ou si elle a fait ça en toute innocence. Et je sais pas ce que Sasha lui a dit, mais elle n’a pas eu l’air plus surprise que ça par les photos que j’ai reçu. J’ai la désagréable sensation d’être tombé dans un piège et j’aime pas ça. Moi et ma queue, on va encore souffrir le martyr, je le sens.

Au bout d’un temps interminable de trajet, je me gare en bas de l’immeuble chicos dans lequel Willow vit avec ses parents. J’évite de trop perdre de temps parce que je sais que plus je vais cogiter et moins je vais trouver le courage de me pointer chez elle. Je grimpe jusqu’à la porte et sonne tout en faisant un énorme effort pour ne pas faire demi-tour.
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S. Willow Duchannes

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyLun 13 Nov 2023 - 19:44

Je tenais mon téléphone, le coeur battant, les doigts tremblant d’appréhension. Les yeux mi-clos, je regardais l’écran. Un message d’Adam. Olalalah, fis-je en secouant ma main libre. Je n’osais pas regarder son message. Et s’il ne venait pas ? Si le plan de Sasha tombait à l’eau ?? Foutu pour foutu, je me décidais enfin à ouvrir le message contenant la réponse à la fois attendue et à la fois redoutée… Adam venait. Je bondis de joie ! Elle avait raison ! Il suffisait de quelques photos aguicheuses pour l’appâter !
Mais je calmais ma joie, je n’avais pas obtenu ce que je voulais d’Adam. J’avais simplement réussi à lui donner envie de venir. Rien ne disait qu’il serait là. Et puis, la douche froide arriva. Je ne savais pas ce que je devais faire à présent. Je regrettais de ne pas avoir pris le numéro de sa patronne. Je pouvais toujours appeler Daphné… Mais quelque chose me disait qu’elle ne serait pas très contente d’apprendre ce que je comptais faire… Je décidais alors de fouiller Internet à la recherche de conseils. Et je trouvais des idées aussi bonnes que farfelues, même pour moi ! Je décidais alors de choisir les idées les plus faciles à réaliser dans le peu de temps qu’il me restait. Après avoir cherché dans la chambre de ma soeur, je trouvais des bougies que j’allumais dans le salon. Puis, j’allais dans la cuisine et sortis des fraises et de la crème chantilly du frigo. Je remplis un bol avec les fraises et les noyais sous une couche de chantilly. Et pour faire bonne mesure, j’en fis couler directement dans ma bouche. Miam ! Je sortis une bouteille de champagne et des flûtes. Je ne buvais que très rarement de l’alcool mais il y avait un champagne pétillant que j’adorais. Je ne savais pas si Adam appréciait le champagne… Pour ne pas faire d’erreur, je pris l’une des bouteilles de whisky de mon père ainsi qu’un de ses verres. Je déposais le tout sur la table basse du salon.
Ensuite, je mis en route l’enceinte qui se mit à diffuser une playlist spéciale pour les rendez-vous amoureux. Pour le reste… Je n’avais plus trop le temps donc j’abandonnais l’idée du dîner aux chandelles. De toute façon, nous n’étions plus à cette étape. J’étais enfin prête à donner ce qu’Adam voulait mais avant cela, il devrait me donner ce que je voulais aussi. Je souvins alors des paroles de sa patronne : « Ecoute, je connais Adam depuis quelques années maintenant, et t’as aucune idée du pouvoir que tu as dessus. Le mieux que tu as à faire, c’est de te demander ce que toi tu veux de lui, et faire en sorte de l’obtenir. T’auras jamais besoin de beaucoup le convaincre. ». Je retournais dans ma chambre. J’attachais mes cheveux rapidement, mis un peu de parfum. J’essayais de me redonner un peu de courage face à mon miroir. En me regardant, je me trouvais bien plus femme… Le trait d’eye-liner qui soulignait mes yeux en amande. Le décolleté de la robe de chambre en soie mettait en valeur ma petite poitrine. Mais pour une fois, je ne complexais pas. Je ne me le permettait pas. Sinon, je risquais de me dégonfler.

Adam sonna à la porte. Je savais que c’était lui, je n’attendais que lui. Mon coeur se remit à s’emballer. Expirant profondément, je me dirigeais à la porte d’entrée. Et après une grande inspiration, j’ouvris la porte avant de lui crier que j’avais changé d’avis. Il était là, devant moi. Et malgré son petit air renfrogné, il était toujours aussi beau. Oui, oui même son air tout fâché le rendait beau. Si Daphné m’entendait, elle me dirait que j’étais amoureuse. Et c’était peut-être le cas, pour ce que j’en savais.

« Salut Adam, entre, je t’en prie. »

Je m’écartais pour lui laisser la place de passer. Je refermais derrière lui, profitant au passage pour mater son derrière si bien moulé dans son jean. Je n’avais jamais compris l’attrait que les gens avaient pour les fesses. Après tout, vu ce qu’on en fait, il n’y a rien d’excitant. Mais ça, c’était avant de voir celles d’Adam. Je ne savais pas si c’était les jeans qu’il choisissait habilement ou s’il était tout simplement bien foutu, mais il remplissait ses vêtements à la perfection… Le bas autant que le haut d’ailleurs. J’avais eu plusieurs occasions de le voir torse nu… et je ne rechignais jamais à le voir retirer son t-shirt. Un délice visuel.
Je le rejoignis dans le salon, où je vis son étonnement. Intérieurement, je souriais. Après les photos sexy, la petite décoration. Ce n’était pas grand chose mais visiblement, c’était assez pour l’intriguer. Je me servis une flûte puis m’assis sur le canapé.

« Ça fait un moment que je ne te vois plus. On dirait que tu ne veux plus me voir alors que tu me manques, tu sais. »

J’avais décidé de jouer cartes sur table. Je n’avais pas envie d’éterniser notre conversation avec des sujets qui ne nous intéresserait pas. Surtout que nos dernières retrouvailles avaient été torrides. Je me souvenais encore de l’orgasme (j’avais fini par apprendre ce que c’était) qu’il avait provoqué en moi. Je sentis la chaleur habituelle prendre place au creux de mon bas ventre. J’avais lu que ce genre de sensation n’était rien à côté de l’acte sexuel. C’est vrai, je voulais attendre mon petit copain pour perdre ma virginité. Mais je savais que celui que je voulais, était justement l’homme qui semblait vouloir m’éviter comme la peste. J’étais maintenant prête à lui offrir mon corps mais une seule condition, qu’il devienne mon petit ami. Ce n’était pas négociable.

Je penchais pour attraper une fraise pleine de chantilly et la portais à ma bouche. Je dévorais le fruit en gémissant de plaisir. J’adorais les fraises avec autant de chantilly… ou du chocolat. Je pouvais en manger toute la journée !

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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyVen 24 Nov 2023 - 14:38

Je sais pas ce que Sasha a raconté à Willow, mais le message que j’ai reçu est apparemment son idée. Elle n’en croyait pas ses yeux de voir que ma copine en tutu rose et justaucorps ait osé faire ce qu’elle lui a conseillé. Elle ne connaît vraiment pas Willow. Elle est naïve. C’était sûr qu’elle allait écouter et m’envoyer des photos suggestives si on lui en donnait l’idée. Et je la connais assez pour savoir qu’elle a dû retourner le truc dans tous les sens pour essayer de trouver une façon de m’envoyer des photos convaincantes et dans lesquelles elle se sentirait pas trop mal. Sauf que je ne comprends absolument pas ce qui a bien pu se passer dans son esprit pour qu’elle en arrive à ça. Ou si. Elle en a eu marre que je l’ignore et elle n’a trouvé que cette solution là pour m’appâter. Et si Sasha n’avait pas été là, est-ce que je serais actuellement sur la route pour retrouver Willow chez elle ? Si c’est pour rester avec ma trique, honnêtement, je n’en sais rien… J’évite de trop cogiter à tout ça pour éviter de faire demi-tour. Même si je lui ai dit que j’arrivais, je suis encore capable de tout faire foirer et rentrer chez moi.

En pilote automatique, je me dirige vers la porte de l’appartement luxueux des parents de Willow. Je sonne et quelques secondes s’étalent avant que sa frimousse candide n’apparaisse. Elle a enfilé une robe de chambre en soi par-dessus son déshabillé. Dommage, j’aurais adoré qu’elle ouvre la porte comme ça… C’est pas bon, ça, Adam ! Tu vas encore te faire du mal ! Mais en même temps, ses vêtements sur les photos ne laissent que très peu de place à l’imagination puisqu’il est quasiment transparent. Et j’ai des yeux, c’est fait pour ça ! Willow m’invite à rentrer et j’obéis. Je rentre dans cet appartement où je n’ai mis les pieds qu’une seule fois auparavant : le jour où je l’ai rencontré. J’ai l’impression que ça remonte à des années tellement je suis resté sur ma faim… La porte se referme derrière moi. Ça y est, je suis pris au piège. Je n’ai plus les moyens de faire demi-tour et je sens bien que je vais devoir user de justification. Elle va vouloir savoir pourquoi je suis aux abonnés absents. Et je lui dis quoi ? Que j’en ai marre d’avoir la gaule tout le temps ?

Mes pas me portent jusqu’au salon où des bougies sont allumées, une petite musique d’ambiance brise le silence de la pièce. Qu’est-ce que c’est que ça ? Dans quoi est-ce que je suis tombé ? Mes yeux se posent sur un bol rempli de fraises et de crème chantilly et sur une bouteille de champagne, des flûtes, une bouteille de whisky et des jolis verres sûrement en cristal pour la boisson ambrée. Je crois que Willow a voulu me faire une surprise. Elle me contourne et se sert une coupe de champagne avant de prendre place sur le canapé. Elle joue carte sur table et très franchement, je sais plus du tout où me mettre. Je reste planté là, comme un con, les mains dans les poches de mon jean. Je réfléchis à quoi lui répondre. Je peux pas lui parler de ma gaule. Je suis pas certain qu’elle comprenne où je veux en venir, et si c’est pour l’entendre me dire qu’elle veut garder sa virginité pour le mec qui fera battre son coeur, ce n’est pas la peine. Je connais la musique. Et ça me pèse suffisamment comme ça.

Ouais, je lance en toussant un peu mal à l’aise. J’ai eu pas mal de boulot…

Une excuse à la con ! Et pas totalement fausse non plus. Je me suis plongé dans le travail pour éviter d’avoir à trop penser, ni à supporter Sasha qui se fait un trop grand plaisir à m’appeler Le Puceau et à se foutre de ma gueule à la moindre occasion. Après mon explication plus que bancale, je l’observe se pencher pour attraper une fraise recouverte de chantilly et la manger tout en laissant libre court à ses gémissements de plaisir qui me renvoient à tous ceux que j’ai entendu s’échapper de ses lèvres grâce au plaisir que je lui ai donné aussi bien avec ma bouche, mes doigts, et mes paroles. C’est définitif, cette fille veut me tuer ! C’est moi qui voulais la piéger, et c’est moi qui suis tombé connement dans le piège !

Ecoute, Willow, je commence en faisant abstraction des petits sons qui s’échappent de sa bouche, je sais pas ce que Sasha t’a raconté, mais t’étais pas obligée de faire ces photos si t’en avais pas envie.

Je sais que Willow a tendance à se déprécier vis-à-vis de son corps et surtout, à se comparer à sa sœur et à je ne sais trop qui. Non pas que je n’ai pas apprécié de recevoir ces photos, mais j’ai pas envie que ça lui ait coûté de le faire. Il y a quelque chose au fond de moi qui apprécie qu’elle ne se comporte pas comme toutes ces femmes qui sont prêtes à tout pour obtenir quelque chose. Même si elle refuse de coucher avec moi en bonne et dûe forme, j’admire son déterminisme à vouloir être simplement elle-même. Je sais que c’est complètement contradictoire avec ce que je veux, mais Willow est d’un genre unique.
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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyLun 27 Nov 2023 - 12:11

Quand Adam avait sonné à la porte, j’avais compris que je ne pouvais plus reculer. Mon cœur se mit à tambouriner contre ma poitrine comme s’il voulait sortir et fuir très loin. J’inspirais pour me donner du courage et allais ouvrir. Face à moi, Adam était là… il était toujours aussi beau qu’avant. Je me retrouvais une nouvelle fois subjugué par sa présence… mais je sentais que c’était différent. Il n’est pas aussi enjoué et taquin que d’habitude. Je me demandais alors à quel point Sasha l’avait forcé… mon cœur se serra à cette pensée. Je ne voulais pas qu’il vienne ici sous la contrainte. J’aurais voulu lui manquer, qu’il ressente quelque chose pour moi. Mais je chassais ses pensées. Je ne voulais surtout pas me faire de film, sinon j’allais virer parano.
Je l’avais laissé entrer avant d’aller dans le salon. Je m’étais assise pendant qu’il me rejoindrait sur le canapé. Naïvement, j’avais imaginé que nous discuterions en buvant et en mangeant. Et qu’après lui avoir donné mes conditions, qu’il accepterait bien sûr, je l’emmènerais dans ma chambre pour lui donner ce que j’avais refusé depuis le début : ma virginité. Mais non… les choses ne se déroulaient pas comme je l’avais prévu. Cependant, je ne me laissais pas démonter pour autant.

Installée, un verre de champagne à la main, je lui demandais cartes sur table où il était passé tout ce temps. Il ne répondait ni à mes appels, ni à mes messages. Une moue boudeuse se dessina sur mon visage. Je n’y croyais qu’à moitié. Après ma conversation avec Sasha, j’avais dans l’idée qu’il essayait vraiment d’éviter de me voir. Une nouvelle fois, mon cœur se serra. Sasha avait raison, je devais obtenir de lui ce que je voulais vraiment : lui.

« Du boulot… d’accord. Donc, tu n’essayais pas de m’éviter, tu me le promets, Adam ? »

Tandis qu’il me répondait, je craquais à mon envie de fraise. Si Adam n’en voulait pas, tant pis pour lui, ça en ferait plus pour moi. Incapable de me retenir, un gémissement s’échappa de mes lèvres. Je fermais les yeux savourant la douceur fruitée et sucrée de cette bouchée. Puis, je reportais mon attention sur Adam… décidément, quelque chose clochait mais impossible pour moi de m’être le doigt dessus. Il rompit le silence en m’expliquant que je n’étais pas obligée de lui envoyer les photos. Prise au dépourvu, je fronçais les sourcils, la tête légèrement penchée sur le côté.

« Sasha ne m’a rien dit, tu sais. L’idée venait de moi. Je me suis dis que comme ça, j’attirerais ton attention et j’ai réussi. »

Un petit sourire malicieux se dessina sur mes lèvres. Bah oui, la petite Willow naïve avait parfois quelques vices. Je pouvais être rusée quand je voulais. Je n’étais pas non plus un agneau à peine née ! J’avais grandi avec une sœur qui n’hésitait pas à manipuler et à mentir pour avoir ce qu’elle voulait. J’avais appris quelques trucs en la voyant faire, même si je n’étais pas aussi douée qu’elle dans l’art de manipuler les gens. Posant mon verre délicatement sur la table, je me levais et m’approchais de cet homme. Je voulais tellement plus… face à lui, je levais la tête pour plonger mes yeux noisettes dans ce regard d’un bleu hypnotisant. Ces yeux qui m’avaient envoûté au point où j’avais accepté tellement de choses… est-il possible qu’un jour, ce regard se remplisse d’amour et de tendresse pour moi ? Je ne savais pas… prenant mon courage à deux mains, je fis ce que je ne pensais pas un jour : me comporter en femme sensuelle, désirable. Je mis mes bras autour du cou d’Adam. Puis je m’élevais sur la pointe des pieds et déposais un baiser sur les lèvres douces d’Adam. Je sentis sa surprise. D’habitude, c’était lui qui prenait les initiatives, il dirigeait tout, menait la danse. Mais aujourd’hui, j’avais pris les devants. Je l’embrassais langoureusement, consciente que j’étais bien loin de notre premier baiser où j’avais été hésitante. Non, je savais quoi faire. Ma langue darda et caressa les lèvres d’Adam, lui demandant l’accès à sa bouche. Et quand il me laissa faire, j’entraînais la sienne dans une danse endiablée. Rapidement, l’habituelle vague de chaleur m’envahit. J’anticipais le plaisir que j’allais ressentir. Et même si j’avais peur de sauter enfin ce cap, j’étais prête à le faire avec Adam. Il s’était montré doux, prévenant et patient tout ce temps avec moi. Si je devais offrir ma virginité à un homme, celui qui me serrait contre lui, écrasant ma poitrine sur son torse musclé, était celui qui le méritait. Après ce baiser qui me laissa pantelante de plaisir, je reculais légèrement. Je lâchais son cou et mes mains s’aventurèrent sur son torse. Mais elles ne s’arrêtèrent pas la… je me permis alors de descendre vers cette longueur de chair, dur que je sentais à chacune de nos étreintes. Je m’arrêtais à son jean. Je plongeais alors mes yeux dans les siens et lui dit tout doucement :

« Tu sais, pendant que tu ne me répondais pas, j’ai eu le temps de réfléchir à tout ça… nous deux… »

Tandis que je parlais mes doigts s’affairaient pour déboutonner son jean. Une fois que ce fut fait, la pulpe de mes doigts caressa la peau qui se trouvait au dessus de l’élastique de son boxer. Je descendis un peu plus les mains, caressant cette verge dure comme le diamant. À force de le sentir se frotter contre moi, je savais que c’était moi la raison de son réveil… cette pensée me redonna une certaine assurance. À travers le tissu, ma main attrapa son chibre dans sa paume. Je le sentit tressauter. Et mû par l’instinct, je le caressais. Pas un seconde, je n’avais détourné mon regard. Il restait rivé sur le beau visage d’Adam. Je savais qu’il ne s’attendait pas à autant d’audace de ma part. Je continuais à le caresser tout en lui parlant.

« Adam, je ne veux plus que tu sois seulement mon garçon test… je veux plus que ça… »

Je le laissais mesurer ce que je lui disais. Puis je le lâchais et fis un pas en arrière. Lentement, je défis le noeud qui retenait les pans de ma robe de chambre. Je l’ouvris et la laissais tomber, lui laissant le loisir de pouvoir enfin voir ce qu’elle cachait, la tenue que je lui avais envoyé en photo.

« Ça pourrait être à toi… mais je veux en retour plus que des expériences… »
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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyVen 15 Déc 2023 - 11:15

Je sais pas ce qu’il s’est dit entre Willow et Sasha, et ça me bouffe. Je connais suffisamment ma meilleure amie pour savoir qu’elle a dû se faire bien plaisir vis à vis de moi. Une fois devant chez Willow, je suis tiraillé entre l’envie de faire demi-tour et d’essayer de sauver ce qu’il reste à sauver. Je sais que j’ai pas été le mec le plus présent du monde ces derniers temps, mais ma patience est en train d’atteindre des limites inespérées. Willow a accepté que je joue avec son corps de bien des façons, mais jamais elle ne m’a autorisée à plonger entre ses cuisses. Elle continue de s’accrocher à son idée de donner sa virginité au mec qui le méritera. Par contre, moi, avec tous les efforts que je déploie et le nombre d’orgasme que je lui ai donné, je peux continuer à aller me faire foutre. Ma fierté et mon égo ont été saccagés. Je sais pas si je vais pouvoir continuer comme ça encore longtemps. Pourtant, j’apprécie Willow. Elle est attachante à sa façon. Elle m’amuse avec sa façon de voir le monde. Et elle me fait bander tout le temps. Je n’aime pas perdre, mais depuis des mois j’attends qu’elle me cède je ne vois rien venir et ça commence à devenir pesant. Pourtant, je sonne à sa porte et elle ne tarde pas à m’ouvrir vêtue d’une robe de chambre en soie qui cache le déshabillé dans lequel elle m’a envoyé des photos. Je pénètre à l’intérieur de cet immense appart’ et dès que la porte se referme derrière moi, j’ai la douloureuse impression d’être pris au piège. Ce qui est totalement con parce que Willow est bien loin d’être une menace… Sauf pour ma santé mentale et ma queue…

Alors qu’elle s’installe dans son canapé, je reste debout. Les mains enfoncées dans les poches, j’attends de savoir à quelle sauce je vais être mangé. Je n’ai que très peu vu Willow en colère, mais je sais qu’elle va me reprocher mon absence de ces derniers jours. Ou plutôt mon silence. Parce que j’ai laissé ses messages sans réponse jusqu’à aujourd’hui. On a vu mieux comme preuve de maturité, mais je suis qu’un pauvre gars frustré qui a juste envie d’une bonne baise. Je dis pas que c’était pas cool toutes ces séances de frotti-frotta mais y’a un moment donné, c’est bon pour les puceaux. Comme je m’y attend, elle me demande des explications, et je suis sors l’excuse la plus con que j’ai en stock. Elle n’est pas fausse non plus, puisque j’ai enchaîné les heures au garage, mais je n’étais pas dans l’impossibilité de répondre à ses textos. Willow accepte mon explication, mais elle me prouve encore une fois qu’elle n’est pas idiote. Naïve, mais pas idiote. Là, je sais pas quoi lui répondre. A force de rester silencieux, je vais lui donner raison. Elle va être blessée. Et moi, je fais sombrer toutes mes chances de pouvoir avoir une vraie partie de jambes en l’air avec elle.

Je peux pas te faire cette promesse.

Je la regarde se saisir d’une fraise et croquer dedans tout en gémissant de plaisir. Ce son me renvoie à toutes les fois où je les lui ai arraché : avec ma langue, mes doigts, mes lèvres, mes paroles… Cette fille veut ma mort. Je pensais qu’elle était une fleur délicate, mais sans s’en rendre compte, Willow est une espèce de mante religieuse qui est en train de me mettre à genoux. Je prends une grande inspiration et j’aborde sa rencontre au garage avec Sasha. J’évoque les photos qu’elle m’a envoyées, et lui assure qu’elle n’était pas obligée. Je sais à quel point elle déprécie son corps parce qu’il n’est pas assez comme-ci ou assez comme ça, et je n’ai pas envie qu’elle se soit sentie obligée de se vendre pour obtenir de l’attention. Sauf que c’est visiblement ce que je l’ai poussé à faire en jouant au roi du silence. Elle semble néanmoins fière de constater qu’elle a su attirer mon attention et me faire rappliquer chez elle. Quoi qu’elle ait voulu faire, son plan a réussi, et c’est tout ce qui semble compter pour elle.

Ah.

On a fait plus éloquent comme réponse. Mais je n’arrive pas à me convaincre que Sasha n’est pour rien dans toute cette histoire. Elle a forcément dû lui donner un ou deux conseils. Je n’arrive pas à imaginer ma meilleure amie innocente dans cette histoire. Willow repose son verre et se lève pour s’approcher de moi. Je l’observe sans bouger sauf que mon corps est désireux de son contact. Dès qu’elle passe ses bras autour de ma nuque, mes mains sortent de mes poches pour se poser sur sa taille. Sa bouche vient chercher la mienne. C’est rare que ce soit elle qui initie, alors je suis un peu surpris… La partie encore un peu rationnelle de mon esprit me souffle que je ferais mieux reculer si je ne veux pas encore me retrouver à bander comme un âne sans voir la moindre possibilité de satisfaire mon souhait le plus cher. Mais l’autre partie qui ne réagit qu’à l’instinct lui rend son baiser, savourant la douceur de ses lèvres et l’éternel goût de fraise qui y réside. Sa langue vient quémander l’accès à la mienne et dans mon jean, ma queue tressaute. Je lui offre l’accès et Willow se montre intrépide. Mes mains se resserrent autour de sa taille. Malgré mes tentatives de bonnes résolutions, je crève d’envie de la déshabiller et de la regarder gémir sur ce canapé. Mon membre durcie… alors qu’elle est juste en train de m’embrasser, putain !

Lorsque le besoin de respirer se fait sentir, Willow s’écarte et relâche ses bras autour de ma nuque pour venir poser ses mains sur mon torse. Mes yeux bleus plongés dans les siens, je sens ses doigts glisser le long de mon buste pour venir se poser sur la ceinture de mon jean. Je crois mon cerveau est en train de faire un black out parce que je suis pas sûr de comprendre ce qu’elle est en train de faire. Pincez-moi, je rêve ! Ou plutôt, non, me pincez pas ! Si c’est un rêve, je n’ai pas du tout envie de me réveiller. Je l’écoute m’avouer qu’elle a réfléchi pendant ces derniers jours. J’affiche une mine curieuse parce que je ne suis pas sûr de savoir ce que ce “nous deux” implique.

Mon jean est déboutonné et ses doigts frôlent la peau de mon bas ventre. Mon estomac se tord, ma queue gonfle. Mon souffle s'alourdit. J’essaie de trouver quoi lui répondre, mais mon cerveau a décidé de se faire la malle ! Ses doigts se referment autour de ma hampe. Même si c’est à travers le tissu de mon boxer, j’ai l’impression que ça fait des siècles que personne ne lui a accordé d’attention. Je pourrais presque chialer pour ça. Je sais pas où est-ce que Willow a appris tout ça, mais putain, je suis définitivement pas préparé à ce changement soudain. Qui est-elle ? Et qu’a-t-elle fait de ma Willow ? Ma Willow… Mes mains s’accrochent au tissu de sa robe de chambre. La jointure de mes poings blanchit sous la pression que je mets. Elle caresse ma longueur et mon chibre est ravi du traitement. Il gonfle sous ses doigts. Je sais pas encore ce qui me retient de la balancer sur ce canapé pour enfin la faire mienne. Je pourrais me passer de préliminaire si je voulais. Mais pas elle. Je sais pas où je puise la volonté de ne pas me laisser me comporter comme un animal. Willow m’a trop souvent mis à mal qu’à l’heure actuelle, je n’ai plus que très peu de patience.

Quand elle me relâche, je suis à deux doigts de faire un caprice pour qu’elle n’arrête pas. Mais elle n’en a pas fini avec moi. Mes doigts se desserrent de son vêtement pour lui rendre sa liberté, tandis qu’elle dénoue le nœud de la ceinture de sa robe de chambre. Elle laisse tomber le vêtement à ses pieds et me dévoile enfin son déshabillé.

Tout ce que tu voudras, putain.

Sans attendre, je réduis la distance et me jette sur elle. J’attrape sa bouche avec la mienne et nous fait tomber sur son canapé. Je dévore ses lèvres et quémande l’accès à sa langue. Je l’entraîne dans une nouvelle valse endiablée tandis que mes mains parcourent son corps jusqu’à saisir ses cuisses que j’écarte pour me glisser entre elles. Ma queue encore nichée dans mon boxer vient s’appuyer contre sa fente. Je l’embrasse jusqu’à en perdre haleine. Lorsque mon souffle commence à manquer, je quitte ses lèvres et laisse glisser les miennes le long de sa mâchoire et la ligne de son cou. Le parfum de Willow me rend dingue. Je lèche sa peau avant de l’aspirer entre mes dents pour la marquer.
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S. Willow Duchannes

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyMer 20 Déc 2023 - 20:55

Je voyais bien qu’Adam n’était pas très à l’aise. D’habitude, il restait près de moi, nous étions très tactiles, très complices mais aujourd’hui, il y avait un malaise qui nous tenait éloignés l’un de l’autre. Je ne comprenais pas vraiment la raison de son silence face à mes appels et mes messages. Et même face à lui, je restais dans l’ignorance. Toute cette situation était nouvelle pour moi, je ne savais pas quoi en penser, ni même comment agir… Bien que ma conversation avec Sasha m’avait mit sur la bonne voie. Je me souvenais alors de ses paroles, je pouvais faire ce que je voulais de l’homme qui se tenait dans mon salon. Elle n’avait pas tort, à le regarder, il ressemblait à un adolescent pris en faute qui tentait d’échapper à une punition.
Il m’avait dit que c’était le boulot qui le retenait. Je lui avais donc demander, de but en blanc, s’il m’évitait ou non. Sa réponse me fit mal au coeur. Il ne pouvait pas me le promettre donc il avait essayé de m’éviter. Mais je n’avais toujours pas de réponse au pourquoi… Et je me demandais si je voulais vraiment avoir la réponse à cette question. Elle risquait de me faire bien plus de mal… et s’il avait une petite amie, plus belle, plus mature que moi ? Adam avait bien plus d’expérience que moi, peut-être qu’il s’ennuyait avec moi. Je hochais la tête sans rien dire. Ce qu’il avait pu penser ne comptait pas, sinon, il ne serait pas là avec moi. J’avais la certitude que s’il ne voulait plus me voir, il n’aurait pas cédé face à mon petit manège. Et Sasha ne m’aurait pas dit tout ça… je refusais de devenir cynique face au monde qui l’entourait. J’étais persuadée qu’il existait de bonnes personnes et Adam en faisait partie.

La conversation prit une autre tournure. En fait, pour la première fois depuis que je connaissais Adam, je pris les choses en main. J’avais posé ma flûte de champagne. Et peut-être que le liquide doré m’avait donné un coup de pouce car j’étais près d’Adam et sans hésiter, je l’embrassais lentement. Je savourais le goût de ses lèvres. Je me rendis alors compte à quel point il m’avait manqué. Et pas seulement nos moments charnels. Sa voix sensuelle, ses blagues que je ne comprenais pas toujours, son regard pénétrant… Cette façon qu’il avait de me rassurer quand je doutais de moi. Parfois, il me prenait dans ses bras et je m’y sentais si bien, protéger, comme si rien ne pouvait m’arriver avec lui. Rapidement, mes bras entourèrent son cou et ma langue se glissa dans sa bouche pour aller à la rencontre de la sienne. Satisfaite, je m’étais éloignée pour lui dire que j’avais réfléchi à nous deux. Tout en lui parlant, je déboutonnais son jean jusqu’à ce que je puisse avoir son membre dans la main. C’était la première fois que je prenais sa hampe dans ma paume. Habituellement, c’était Adam qui me touchait et m’offrait du plaisir. Je ne me rendais pas compte qu’il me donnait sans jamais rien recevoir en retour. Et cette révélation me frappa comme un poing en plein visage. Il était frustré ! Je me serais tapée le front, si je n’étais pas occupée à lui montrer enfin l’ensemble que dissimulait ma robe de chambre. Je lui expliquais vouloir plus qu’une relation aussi instable que la notre. Je pouvais être à lui, mais je voulais qu’il soit mon petit ami… Sauf que je n’eus pas le temps de lui expliquer qu’il accepta toutes mes conditions avant de venir écraser ses lèvres sur les miennes. Surprise, j’eus un petit cri avant de lui rendre ce baiser dévorant alors qu'il nous entraîna sur le canapé. J’avais eu ce que je voulais, c’était aussi facile ? Je ne pouvais pas y réfléchir normalement, Adam s’était mit à déposer de tendres baisers sur ma peau. Mon souffle se fit plus rapide. Je respirais par la bouche et une vague de chaleur délicieuse s’empara de moi lorsque je sentis sa bouche marquer ma peau. Cette sensation était naturelle à mes yeux, j’avais l’habitude de la ressentir quand Adam me touchait, m’embrassait. Mais aujourd’hui, j’avais l’impression qu’elle était plus forte. Peut-être provoquée par l’absence et l’attente. Je n’en savais rien mais je ne voulais pas me contenter de simples baiser. Et maintenant que j’avais conscience d’avoir privé Adam de plaisir, j’étais bien décidée à mettre en pratique ce que j’avais découvert pendant mes sombres recherches sur internet.

Je n’étais pas très expérimentée mais j’avais noté quelques petites choses aux côtés d’Adam. Toujours envahie d’audace, je repris l’exploration de son corps. Je commençais par glisser mes mains sous son t-shirt et le lui retirais rapidement, l’éloignant momentanément de ma peau. Une fois son torse dénudé, je laissais mes mains caresser cette peau que j’avais si souvent touché. Mes mains descendirent et se remirent à débarrasser Adam de son jean. Mais j’allais plus loin. Bien plus loin. Je libérais son chibre de sa prison de tissu. Je laissais mes doigts courir le long de cette longueur de chair et dur. Une pensée fugace me traversa… Allais-je avoir mal ? Il semblait s épais, si imposant… Mais je refusais de me prendre la tête avec ça tout de suite, sinon j’allais paniquer et me dégonfler. Je continuais alors à le caresser, j’entamais un mouvement de va et vient comme je l’avais vu dans une vidéo. Je ne savais pas si je faisais le mouvement correctement mais je comptais sur Adam pour me guider si je me trompais. Adam nous avait entrainé sur le canapé. Allongée sous son corps musclé, je sentais que j'étais plus que prête à passer cette étape. J'étais prête à lui offrir cette innocence que je pensais garder éternellement.
Je capturais à nouveau ses lèvres, un baiser langoureux, plein de passion. Je n’avais jamais eu autant de désir avant, je me demandais si je n’allais pas exploser.
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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyVen 12 Jan 2024 - 14:45

C’est plutôt rare que je me sente mal à l’aise, ou que je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire. Willow exerce sur moi un pouvoir et un contrôle que personne n’a jamais possédé. Avant de la rencontrer, celles qui me faisaient de la résistance, je les laissais tomber sans le moindre état d’âme. Vous savez, celles qui disent qu’elles se respectent trop pour une histoire d’un soir, alors que ce sont elles qui vous allument ? Des connasses. Sauf pour Willow. Sa réticence a cédé s’explique. A la base, je ne m’attendais pas à ce qu’elle tienne aussi longtemps. J’ai commencé à me poser des questions sur si ça valait vraiment le coup que je fasse tous ces efforts pour qu’elle m’offre l’accès entre ses cuisses. Elle m’a laissé la toucher, la caresser, et la faire jouir. Sa fente demeure toujours inexplorée et ça me tue un peu plus à chaque fois. J’ai été assez bête pour mettre de côté toute ma frustration de ne pas pouvoir m’enfouir en elle. J’ai essayé de m’éloigner, de la fuir, mais me voilà devant elle. Je suis faible devant elle. Et incapable de lui mentir lorsqu’elle me demande de lui promettre de ne pas avoir cherché à l’éviter. Je ne lui offre ni un “oui”, ni un “non”. Juste une incapacité à émettre un mensonge alors que ce ne serait pas la première fois que je ferais une fausse promesse. Willow ne dit rien. Elle se contente de hocher la tête. Je sais pas si je dois m’inquiéter de son mutisme.

Je la regarde se lever de son canapé et déposer sa coupe de champagne. Elle a voulu faire les choses bien avec son champagne, ses fraises et ses bougies, et dans un tout autre contexte, peut-être que j’y aurais été un peu plus sensible, mais savoir que Willow a parlé à Sasha m’inquiète beaucoup. Je sens que ma meilleure amie lui a mis des idées dans la tête parce qu’elle n’a pas du tout eu l’air choquée que je reçoive des photos d’elle en déshabillé. Elle a plutôt eu l’air de s’y attendre. Ou plutôt, elle était surprise qu’elle ait osé. Sauf que la naïveté naturelle de Willow lui fait oser beaucoup de choses… Lentement, elle prend l’initiative de venir m’embrasser ; et mes mains plongées dans mes poches viennent se poser sur ses hanches. Je crois que je peux facilement compter le nombre de fois où Willow a osé m’embrasser la première. La saveur de ses lèvres n’a pas changé. Elle a toujours ce petit goût de fraise, avec une légère pointe de champagne. Dans mon jean, ma queue tressaute. Elle me rappelle douloureusement sa présence et toute la frustration qu’elle subit depuis que Willow est entrée dans ma vie… Pourtant, je ne m’écarte pas. Je lui offre l'accès à ma langue lorsqu’elle le réclame et me laisse emporter par ce contact jusqu’à ce que nos souffles manquent.

Mon regard plongé dans le sien, je sens ses doigts descendre le long de mon torse pour venir s'égarer sur la ceinture de mon jean. Mon cerveau n’est plus en mesure de réfléchir à ce qu’il se passe. J’entends Willow me parler, je crois brièvement comprendre une vague mention de “nous deux”, mais je suis concentré sur ses doigts qui déboutonne mon pantalon pour venir caresser ma queue à travers le tissu de mon boxer. Mon ventre se tord. Mon chibre gonfle sous sa légère caresse, heureux d’obtenir enfin cette attention inespérée. Ma respiration s’alourdit. Mes doigts se referment sur sa robe de chambre en soie. Je lutte pour éviter de lui arracher et de la balancer sur le canapé pour la prendre… Elle me rend dingue. Je pourrais presque faire une crise lorsqu’elle me lâche. Je dois ordonner à mes doigts de la libérer. Trop lentement à mon goût, elle dénoue la ceinture de sa robe de chambre et la fait tomber à ses pieds pour me dévoiler le déshabillé dans lequel elle s’est prise en photo pour me les envoyer. Mon cerveau ne prend que les informations qui l’intéressent : “ça pourrait être à toi” - “plus que des expériences”. Je cède. Je suis prêt à lui donner tout ce qu’elle voudra.

Ma bouche s’écrase sur la sienne et je nous fais tomber sur son canapé géant. Je ne fais pas attention au petit cri qui s’échappe de ses lèvres. Je quémande l’accès à sa bouche et l’entraîne dans une valse sulfureuse jusqu’à ce que le souffle vienne de nouveau me manquer. Mes lèvres parcourent la fine ligne de sa mâchoire avant de descendre le long de son cou. Son parfum me rend dingue. Je laisse ma langue glisser sur sa peau avant de l’aspirer entre mes dents pour la marquer. Je m’attends à m’occuper de Willow, comme j’en ai l’habitude, mais aujourd’hui, elle a décidé de se montrer surprenante. Je la laisse retirer mon t-shirt et parcourir mon torse. A nouveau, ses mains descendent jusqu’à mon jean déjà déboutonné. Je l’aide à le retirer. Je ne sais pas jusqu’à quel point elle souhaite mon aide, alors quand elle libère ma queue de sa prison de tissu, je suis à deux doigts de lui demander ce qu’elle a consommé pour être à ce point audacieuse. Sauf qu’elle me coupe dans mon élan quand ses doigts se referment autour de mon chibre. Tout mon corps se contracte sous cette caresse inespérée. Ses mouvements sont maladroits, mais je m’en fous. Ma queue a été beaucoup trop négligée ces derniers mois pour me préoccuper de ça.

Putain, ouais…

Je rends son baiser à Willow pendant qu’elle continue de s’occuper de mon chibre. Mes mains viennent se saisir de sa poitrine et je fais rouler ses pointes durcies sous mes pouces à travers le tissu. J’en fais glisser une vers son tanga. Mes doigts glissent le long de sa fente. Je sens son humidité à travers avant de le repousser sur le côté. Je viens trouver son clitoris que je caresse en faisant de petit cercle. Mon index vient trouver l’entrée de sa fente. Je meurs d’envie de plonger mes doigts à l’intérieur mais je me rappelle que c’est sa première fois… Je veux pas me la jouer mec pressé même si je le suis…
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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyMer 17 Jan 2024 - 9:39

La première fois qu’Adam m’avait touché au point de m’emmener jusqu’à l’orgasme, j’avais été persuadée que jamais je ne coucherais avec un homme. Mon garçon test m’avait offert mon premier orgasme et il avait été si fulgurant, si intense que je ne pensais pas pouvoir ressentir plus de plaisir. Alors j’avais continué à voir Adam mais jamais nous ne passions le cap. Jamais je ne lui offrais ma virginité. Je n’avais jamais pensé à lui, à la frustration qu’il pouvait ressentir. Oui, j’avais été très égoïste en ne pensant qu’à moi et mon plaisir personnel. Et puis, mon garçon test avait disparu. Il ne me donnait plus aucun signe de vie, malgré mes appels, mes messages. Heureusement, Sasha m’avait rassuré et m’avait conseillé. Elle l’avait dit, je pouvais obtenir ce que je voulais d’Adam, tant que je m’y prenais bien. Alors, j’avais décidé de mettre les petits plats dans les grands. Un déshabillé sexy que j’avais acheté quelques semaines auparavant. De la musique d’ambiance, du champagne et des fraises. Je m’étais inspirée de films et de séries où les femmes mettaient en place toute cette décoration pour avoir un moment intime avec leur amant. J’espérais vraiment que ça fonctionne.

Si au départ, Adam semblait gêné, incapable de me regarder… après quelques baisers échangés, je retrouvais mon Adam. Celui qui m’embrassait avec passion et fougue. Celui qui faisait naître cette délicieuse chaleur au creux de mon bas ventre. J’étais bien décidée à le faire craquer. Je me montrais plus entreprenante, plus audacieuse avec lui. Je lui dévoilais alors ce que ma robe de chambre cachait. L’ensemble que je portais était si transparent qu’il ne cachait pas grand chose en réalité. J’avais même enfilé le porte-jarretelles et les bas. Je ne savais pas si Adam apprécierait mais je tentais le tout pour le tout. Je m’étais reculée pour qu’il puisse me regarder tout en lui expliquant que mon corps pouvait être à lui. Je pouvais lui offrir ce que j’avais de plus cher, ma virginité. Mais en échange, je voulais plus qu’une simple expérience sexuelle. Je voulais qu’il devienne mon petit ami… je pensais que j’allais devoir argumenter des heures, lui donner tout un tas de raisons qui justifieraient mon envie - ma liste était toujours prête. Sauf qu’Adam ne me laissa pas le temps de débiter mon discours de persuasion qu’il accepta sans rechigner avant de m’embrasser avec tellement d’ardeur qu’on termina sur le canapé.

Mon cerveau essayait de me faire réfléchir. Je savais ce que j’étais en train de déclencher, j’allais lui offrir ma virginité. J’avais toujours refusé car je voulais rester vierge pour mon petit ami, mais surtout… je voulais être amoureuse. Ma raison me disait d’attendre encore, de sonder mes sentiments… mais je ne voulais pas me dégonfler. Et mes sentiments ? Je préférais les observer quand je serais plus lucide. Même si je savais que je tenais beaucoup à Adam… et puis, ses lèvres sur les miennes était une sensation trop intense pour que je veuille l’arrêter. Je l’avais tellement désiré, je ne voulais surtout pas qu’Adam s’éloigne de moi. Je retirais son t-shirt avant de caresser son torse. Adam m’avait tellement manqué. Ses doigts sur ma peau me laissèrent une trace enflammée. Je sentais la pulpe de ses doigts partout sur mon corps et tandis que sa queue trouva sa place contre ma paume, Adam me donna le plaisir que j’attendais. L’une de ses mains était sur mon sein, taquinant mon téton jusqu’à ce qu’il durcisse. Des gémissements et de soupirs quittèrent mes lèvres. Et quand les doigts d’Adam caressèrent ma fente à travers le tissu de mon tanga, je me sentis me cambrer. Mon corps allait à la rencontre de ses doigts, réclamant plus de plaisir. À l’entrée de mon antre, le doigt d’Adam glissait, étalant mon miel. Je retenais ma respiration, anticipant une potentielle douleur que j’allais ressentir. Mais elle vint jamais. Délicatement, je sentis l’index d’Adam me pénétrer et les parois de ma fente emprisonna son doigt.

« Mon Dieu… » soupirais-je.

Je me sentis mouiller abondamment et une sensation bien plus intense, un désir plus douloureux me tordit l’estomac. Mon corps prit le relais sur ma raison. Mes hanches se mirent à onduler, invitant Adam à pénétrer encore et quand il entama un mouvement de va et vient, je me mordis la lèvre inférieure. Je m’agrippais à ses bras, ma tête se relevait. Incapable de me retenir plus longtemps, un gémissement sonore s’éleva dans le salon. J’écartais un peu plus les cuisses, offrant plus d’accès à Adam. J’en voulais encore plus, bien plus !
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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyVen 26 Jan 2024 - 16:12

Du cauchemar, je suis passé au rêve. Je ne m’attendais pas du tout à ce que Willow me file enfin son putain de feu vert pour coucher avec moi. J’aurais cru qu’elle chercherait encore à obtenir de moi tout le plaisir qu’elle peut me tirer lorsque je la fais jouir uniquement avec des préliminaires, et j’étais prêt à tenter de lui faire comprendre que j’en avais un peu marre de lui donner sans jamais rien avoir en retour. Non pas que je prenne pas mon pied visuellement en la voyant complètement alanguie par le plaisir, le regard perdu dans le vague, mais ma queue à moi, qui s’en occupe ? Qui la soulage ? Je ne peux pas toujours me contenter de ma main surtout que je suis bien trop habitué au fourreau chaud et humide qu’offre l’entrecuisse des femmes. Sauf que depuis que je la connais, j’agis comme un putain de moine ! C’est pas moi ça. Elle me tient par les couilles, et franchement, je ne suis plus si sûr d’apprécier ça.

Mais la voir dans ce déshabillé là, ça me rend dingue. C’est un appel. Et je plonge comme un abruti dans ses filets. Je me jette sur elle comme un putain d’affamé. Assoiffé, je dévore sa bouche. Ma langue vient à la rencontre de la sienne. Elle me l’offre sans concession, répond à ma caresse sans la moindre pudeur. La petite retenue qu’elle possédait au début a disparu depuis un moment, et pourtant aujourd’hui, je sens qu’il y a quelque chose de différent. Elle se montre plus entreprenante. Willow me retire mon t-shirt avant de s’attaquer à ma queue. Ses doigts se referment autour et elle entame un mouvement de va et vient maladroit. Mais je m’en fous. Mon membre est trop heureux de l’attention qu’on lui accorde pour que je me permette de faire la fine bouche. J’ai tellement espéré ce moment que je me contente de ce qu’elle m’offre.

Mes mains saisissent ses seins. A travers le tissu, je sens ses pointes durcir. Elle qui a toujours complexé sur sa poitrine, ce soutien-gorge la met délicieusement en valeur. Je me promets de les honorer. Mais plus tard. Il y a une autre zone d’elle avec laquelle je veux faire connaissance un peu plus en profondeur. Une de mes mains vient se nicher entre ses cuisses et repousse le tissu de son tanga sur le côté pour venir trouver son clitoris que je caresse avec des petits cercles. Mon index glisse le long de sa fente, étale son miel qui coule petit à petit. Je connais sa saveur pour avoir lécher son intimité à plus d’une reprise, mais sa douceur intérieur reste encore à découvrir. Lentement, je la pénètre de mon doigt, et aussitôt, je sens ses parois venir l’emprisonner. Le soupir de plaisir qui s’échappe des lèvres de Willow m’encourage à continuer. La douleur d’une première fois n’est pas pour tout de suite. Je compte bien prendre le temps de la préparer pour que son corps puisse accueillir ma queue en elle. J’entame un mouvement de va et vient en elle. Ses hanches ondulent, accompagnent les mouvements de mon poignet en elle. Ses mains viennent agripper mes bras. Je relève les yeux vers elle. Son regard s’est voilé de plaisir, et sa bouche entrouverte laisse échapper des gémissements. Ses joues sont colorées de rouge. Ses cuisses s’écartent pour m’offrir un meilleur accès. De mon pouce, je continue de jouer avec son clitoris. Mon majeur se présente aussi à son entrée. D’un mouvement souple, je laisse mes doigts la pénétrer et faire tranquillement leur chemin en elle. Je m’abaisse jusqu’à venir capturer sa bouche et dépose un lent baiser sur ses lèvres pour l’encourager à se détendre pour me laisser l’accès à son antre chaud.
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S. Willow Duchannes

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptySam 2 Mar 2024 - 2:07

Quand j’avais rencontré Adam, je n’étais qu’une innocente et naïve jeune fille. Je ne dis pas que je suis devenue une autre. Mais depuis qu’il est entré dans ma vie, je perds un peu plus de mon innocence. Et aujourd’hui, j’étais prête à passer un nouveau cap. J’avais dit à Adam que je me réservais pour mon premier amour, pour le garçon qui ferait chavirer mon cœur. Mais je n’avais pas pensé qu’Adam serait ce garçon. À mes yeux, il ne pouvait être que celui qui me ferait découvrir quelques petites choses. Avec lui, je pensais faire quelques expériences sans risque, sans réelles conséquences. Mais plus je passe de temps avec lui et plus je m’attache à lui. C’était indéniable. Mes sentiments grandissent de jour en jour. Il n’y a qu’à ouvrir les yeux : ma jalousie, ma peur de le perdre. Je ne peux nier qu’il a pris bien plus de place que je ne l’aurais cru. Si je n’étais pas aussi… non, je ne veux pas dire le mot en « A ». Mais si ce sentiment n’était pas là, je ne me serais pas donné autant de mal pour qu’il daigne enfin m’adresser la parole…

La simple sensation de ses lèvres sur les miennes suffisent à faire palpiter mon cœur. C’est comme si je reprenais vie, un peu comme si je respirais à nouveau. Je m’accroche désespérément à lui, je ne veux pas qu’il me lâche. Je ne veux pas qu’il reparte d’ici sans que je n’aie pu obtenir tout de lui. Quand nous basculons sur le canapé, je sais que je ne pourrais pas l’arrêter. Je ne veux pas l’arrêter. Je veux lui donner tout ce que j’ai offrir parce qu’il est devenu bien plus qu’un simple garçon test. Ses mains s’agrippent à ma poitrine, une zone qu’il connaît parfaitement pour l’avoir caressé, embrassé et léché tout son soûl. Mais il ne s’y attarde pas, maintenant qu’il sait qu’il peut franchir cette zone que je lui ai toujours refusé. Rapidement, je sens qu’il met le tissu cachant ma fente de côté. Son doigt effleure cette zone que je sens si sensible. Ma réaction ne se fait pas attendre. Je gémis, prête à recevoir plus. La moiteur de mon intimité est étalée et je ne peux m’empêcher d’aller à sa rencontre. Je vais devenir folle s’il continue de me torturer comme ça. Et subitement, je sens son doigt entrer en moi. Je me cambre sous l’effet de ce nouveau plaisir que je découvre. Alors c’est ça, la pénétration. Si son doigt me met dans cet état, qu’est-ce que ça sera quand il… Je perds le fil de mes pensées, son doigt entame un mouvement de va et vient en moi. Inconsciemment, j’écarte un peu plus les cuisses pour lui laisser un accès plus libre. Un deuxième doigt me pénètre. Un gémissement plus fort s’échappe de mes lèvres. Je sens mes joues rougirent mais je ne suis pas gênée, mon esprit n’est pas assez lucide pour penser à ça. Je ne pense qu’à une seule chose : pourvu qu’il ne s’arrête pas, c’est si bon de sentir ses doigts profondément enfoncés en moi. Je me cambre sous l’effet du plaisir qu’il m’offre. Adam se penche vers moi. Je sens ses lèvres venir se poser sur les miennes. Je saisis son visage en gémissant avant de m’écarter et de murmurer :

« Adam… Encore… S’il te plaît… »
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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: T'étais passé où Dadam ? (Adam)   T'étais passé où Dadam ? (Adam) EmptyLun 15 Avr 2024 - 8:48

C’est noël. C’est pas mon anniversaire, ça c’est sûr. Mais je suis prêt à changer la date de noël pour que ça devienne ce jour bien précis et le fêter tous les ans si ça me permet d’user et d’abuser du corps de Willow comme bon me semble. J’ai l’impression de vivre la consécration d’une vie. C’est putain de con, bordel ! Des nanas y’en a des milliers dans le monde. Des vierges aussi - selon l’âge, je suis pas encore porté sur les gamines - mais des Willow, il n’y en a qu’une. Et c’est celle-là que je veux. Je ne sais pas pourquoi, depuis le jour où elle m’a appelé pour que je répare sa voiture, elle m’obsède. C’est entre ses cuisses que je veux nicher ma queue, ce sont ses gémissements à elle que j’ai envie d’entendre à chaque fois que mes hanches iront heurter les siennes, c’est son corps que je veux posséder. Elle m’a résisté si longtemps que j’en suis venue à baisser les bras et à m’éloigner avant de devenir fou. Mais il faut bien que je me rende à l’évidence : Willow a quand même réussi à exercer son influence sur moi parce que depuis que je lui ai offert son premier orgasme, je n’ai baisé personne. Je suis devenu un putain de moine. Même ces derniers temps, je n’ai pas pu ressentir le moindre désir pour une autre femme. Pourtant, certaines écartent les cuisses plus que facilement, donc ça aurait été facile de culbuter quelqu’un et de me vider.

Maintenant que Willow m’a donné l’autorisation d’explorer ses secrets encore cachés, je compte bien m’en donner à coeur joie. Hors de question qu’elle fasse dorénavant marche arrière. Ses seins, enfermés dans son déshabillé, sont affriolants et je compte bien m’en occuper prochainement, mais c’est une toute autre zone qui m’obsède et qui m’appelle, et celle-ci se trouve entre ses cuisses. Je repousse le tissu de son tanga pour le mettre sur le côté et accéder à sa fente. Je refoule mes instincts primaires pour essayer d’être un minimum délicat pour elle. Le but n’est pas qu’elle me refuse à nouveau cet accès que j’ai attendu. Mes doigts viennent trouver son clitoris que je caresse langoureusement avec des petits cercles. Mon index étale sa moiteur le long de ses lèvres, avant de plonger dans la chaleur de son antre qui m’a si longtemps été refusé. Sous cette première intrusion, Willow se cambre. Elle a l’air tellement sensible que j’ai hâte de voir comment elle va réagir quand ce sera ma queue qui ira se nicher en elle. Ses hanches ondulent et accompagnent mes mouvements de va et vient. Ses cuisses s’écartent un peu plus, m’offrant son intimité. Ses parois m’accueillent un peu plus davantage et lorsque je sens le moment, un second doigt vient s’ajouter en elle. J’observe chacune de ses réactions, et putain, c’est un spectacle à part entière. Willow a les joues rougies par le plaisir. Ses lèvres légèrement écartées laissent s’échapper des gémissements au fil de mes intrusions. Je me penche vers elle pour capturer sa bouche dans un baiser lent. Mes joues sont capturées par ses mains. Elle me le rend avant de me demander de continuer. Putain…

Ouais, tout ce que tu veux, je souffle en réponse, incapable de répondre autre chose depuis tout à l'heure.

Je dépose à nouveau mes lèvres sur les siennes avant de les faire glisser le long de sa mâchoire, sur la ligne de son cou pour finalement atterrir sur son buste. De ma main libre, j’écarte le tissu qui cache ses seins et j’aspire un de ses mamelons entre mes lèvres. Ma langue tournoie autour de son téton. Je le sens durcir entre mes dents et contre ma langue. Après quelques instants, je libère son sein pour continuer ma descente entre ses cuisses où mes doigts n’ont pas cessé de s’activer. A genoux entre ses cuisses, j’attire ses fesses sur le bord du canapé. Lentement, les doigts quittent son antre. J’observe quelques instants sa fente humide avant de me pencher dessus. Ma langue vient lapper son miel qui s’écoule et trouver son clitoris aussi dur que du diamant. Je prends le temps de retrouver sa saveur avant de plonger à nouveau mes doigts en elle, tout en gardant ma langue sur son petit bourgeon.
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