Dirty New-York

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 Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)

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Montana J. Perez

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MessageSujet: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyVen 20 Oct 2023 - 13:09

La baronne hurla et balança son téléphone contre le mur. Loin d’être calmée, elle se leva, hurlant des insultes, maudissant les hommes et tout ceci en espagnol. Dans son bureau, personne n’osa bouger. Ni la prostituée qui pleurait sur le canapé dans le fond, ni les deux hommes de main qui lui faisaient face. En même temps, qui aurait osé émettre une objection face à cette femme enragée, armée d’un Glock ? Et le coupe-papier était trop facilement accessible ! Encore une raison de rien dire, elle était forte dans le lancer d’objets. Mais qu’est-ce qui l’avait mise dans une telle colère ? La mort d’une des ses filles, tuée par un ex n’acceptant pas la rupture. C’était son amie qui avait découvert le corps de la pauvre fille, gisant dans son propre sang.
Montana respira longuement et profondément. Elle ne voyait pas seulement ces filles comme de la marchandise. Certaines devenaient comme des amies pour elle. Quand elle décidait de les faire travailler pour elle, ces filles devenaient ses protégées, Montana mettait un point d’honneur à ce qu’elle soit en sécurité et en bonne santé ! Mais là, un connard avait tué l’une de ses filles…

« Trouvez-moi ce fils de pute, amenez-le dans la cave ! Je veux m’occuper de lui personnellement ! »

Montana savait qu’il devait se cacher, conscient du danger qui planait au-dessus de lui. Mais ce n’était qu’une question de temps. Une fois qu’il serait dans la cave… il paierait pour ce qu’il avait fait. Mais pour le moment, elle avait besoin de se détendre. Et elle savait déjà comment !
Montana envoya un message à l’un de ses clients devenu amant, Logan. En réalité, Montana lui avait fait une offre qu’il ne pouvait refuser. De la drogue quand il le souhaitait en échange, chaque fois qu’elle l’appelait, il rappliquait. Tout le monde était gagnant. Elle l’informa qu’une voiture allait passer le prendre. Après qu’il lui ai transmis ses coordonnées, elle les donna à l’un des hommes pour qu’il le récupère. Puis, elle retourna chez elle, après avoir expliqué qu’elle ne voulait pas être dérangé, sauf s’ils retrouvaient sa future victime.

Une fois chez elle, Montana retira ses bottes. Elle attacha ses cheveux dans un chignon rapide puis elle retira ses vêtement, ne gardant que ses sous-vêtements. La jeune femme ne voulait pas s’encombrer de vêtements inutiles, compte tenu de ce qu’elle allait faire dans les minutes à venir.
Elle alla dans la cuisine, sortit deux verres et se servît un verre de whisky qu’elle avala d’un trait avant de s’en servir un autre. Jamais elle ne l’aurait admit devant ses employés, mais cette mort la touchait. Cette fille s’appelait Lena et n’avait que 24 ans. Elle essayait vraiment de s’en sortir dans la vie. Mais quelqu’un avait décidé qu’elle n’était pas digne de vivre… mais elle lui ferait regretter d’avoir levé la main sur Lena. Montana vengerait cette fille… on sonna à la porte. Elle savait que c’était Logan. Et même si ça avait été le voisin ou un parfait inconnu, elle n’aurait eu aucune gêne à lui ouvrir dans cette tenue. Elle n’était absolument pas pudique. Elle alla donc lui ouvrir :

« Entre, gringo… »

Elle retourna dans sa cuisine, sachant que le jeune homme le suivait. Surtout qu’elle avait la moitié du cul à l’air avec ce tanga rouge. Il allait ne pouvait que la suivre. Elle se mit derrière l’îlot central et lui montra la bouteille :

« Un verre ? »
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyJeu 9 Nov 2023 - 10:04

Troisième jour de représentation dans ce bar du Queens pour le groupe, et on peut dire que c’est un succès. Nous sommes revenus à New York il y a une semaine et après quelques jours passés à se reposer, nous reprenons tranquillement. Et rien de mieux pour ça que quelques représentations à la maison. Jusqu’à la prochaine tournée qui nous emmènera dans le Tennessee. Ça va faire une heure et demi que je saigne ma gratte. Je connais les partitions par cœur, je n’ai même plus besoin de baisser les yeux vers elles qui m’accompagnent sur scène, toujours dans le cas où. Les paupières fermées, je laisse mes doigts glisser le long des cordes, accompagnant la batterie et le synthé que mes potes, ainsi que la voix de John. Sous les projecteurs, la chaleur sur scène est suffocante, mais elle n’est rien contrairement à d’autres scènes où nous avions l’impression d’être précisément placé au cœur de la bouche des enfers. C’est bien connu que les petites scènes sont moins fatigantes que les grandes, mais l'appât du pognon aura toujours raison de nous.

On assure environ trois heures de concert avant de terminer sous une salve d’applaudissements de la part des consommateurs venus pour la soirée. Les pourboires vont bon train. Assis au bar, je savoure cette soirée avec une bière brune dont la fraîcheur fait un bien fou. Quelques personnes viennent discuter avec nous, de notre boulot, de notre vie, tout simplement. Les gens sont curieux de savoir. On a un pied à terre, mais on n’y met quasiment jamais les pieds. On pionce davantage dans notre van que dans nos propres lits. Mais c’est la vie qu’on aime mener. Les heures tournent et je ne vois pas le temps passer. Dans la poche arrière de mon jean, je sens mon téléphone vibrer. Curieux de savoir qui peut bien m’envoyer un message à cette heure-ci de la nuit, je jette un œil à l’écran. Le message est simple, sans fioriture. Un ordre simple. La baronne ne perd pas de temps à mettre les formes. Je répond rapidement un “ok” et l’endroit où je me trouve. Je termine ma bière avant de saluer la bande.

Ils n’ont aucune connaissance du deal que j’ai passé avec cette baronne de la drogue. En même temps, j’allais pas aller me vanter d’avoir failli perdre mes couilles parce que j’avais une sacrée dette auprès d’elle. Quoi que j’aurais pu me vanter d’avoir survécu parce que je suis pas certain qu’elle aurait eu beaucoup de scrupule à me tuer. Sauf que mon petit arrangement avec elle, j’ai pas trop envie de l’ébruiter : de la drogue gratuite contre du sexe. Je suis pas certain qu’elle offre ce traitement de faveur à tout le monde, sinon, elle se ruinerait, mais j’ai pas envie de devenir la vache à lait des autres. Puis, c’est pas moi qui décide quand auront lieu ces échanges. C’est la baronne qui envoie un message. C’est à dire que si je me tape une gaule d’enfer, c’est pas la peine que je lui envoie un message pour espérer me vider les couilles. C’est à moi de me trouver une nenette quelque part pour ça.

La voiture promise arrive devant moi. Et avant de me faire attraper par les gorilles qu’elle emploie, je monte docilement à l’arrière. Ils sont deux à l’avant, et un à l’arrière. Tout ça, rien que pour moi. J’ai pourtant pas une gueule de gangster… Je comprends que la baronne ne veuille pas que je connaisse son adresse perso, mais de là à m’en envoyer 3… Il manque plus qu’un quatrième et moi aussi au milieu de la banquette. Ce serait le sommet ! Le trajet jusqu’à l’appartement est silencieux. Ils me larguent littéralement sur le trottoir en m’indiquant l’étage et la porte de leur patronne et se tirent sans un mot de plus. Sympa ces mecs. Très causant. Je crève d’envie de m’allumer une clope, mais j’évite. J’imagine même pas la balle que je prendrais dans le cul si la baronne me voyait en train de fumer pépouze ma clope en bas de son immeuble pendant qu’elle m’attend… Sans attendre, je monte jusqu’à sa porte où je sonne. Je n’attends pas dix secondes avant que la porte ne s’ouvre sur la proprio des lieux, en sous-vêtements. Elle n’est pas le moins du monde gênée par sa tenue, et ne fait pas grand état de ma venue puisqu’elle se détourne presque aussitôt.

Je pénètre à l’intérieur et referme la porte derrière moi. Mes yeux ne la quittent pas du regard. Je ne regarde même pas la déco, ma vision étant fixée sur son cul généreusement dévoilé par un tanga rouge vif. Je la suis jusqu’à la cuisine où elle prend place derrière l'îlot central et me présente la bouteille de whisky qu’elle a déjà entamée toute seule.

Ouaip, on trinque à quoi ?

Je sais bien que si elle m’a demandé de venir, ce n’est pas pour l’accompagner à boire. Mais je suis un peu plus humain que ça. Je ne me vois pas entrer, me dessaper et m'asseoir en attendant qu’elle me chevauche et prenne son pied - même si elle s’est déjà défait de la quasi-totalité de ses vêtements. Ce qui est loin de me déplaire puisque j’ai une vue magnifique sur son corps.
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Montana J. Perez

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyLun 13 Nov 2023 - 12:04

Montana était en rogne. Vraiment en rogne et il lui fallait un exutoire à toute cette rage qui la faisait trembler. Et rien de mieux que le sexe sans attache. Du sexe à l’état brut. Depuis quelques temps, la jolie colombienne avait trouvé un nouveau jouet en la personne de Logan. En échange de drogue gratuite, il devait répondre à ses envies sexuelles. Le process était simple : elle l’appelait, il accourait. Aucun refus, aucun retard n’était toléré. Logan était le premier client qui bénéficiait de ce traitement de faveurs. Jamais elle n’aurait proposé cela à un autre homme. Sachant qu’elle avait un ascendant sur lui, elle ne se gênait pas pour en profiter. Après tout, il était majeur, s’il voulait se perdre dans la poudre blanche ou dans une seringue, c’était son choix. Montana se contentait de lui offrir la meilleure came possible.

Attendant son plan cul, la jeune femme était dans sa cuisine, en sous-vêtements. Elle buvait son whisky avec la dextérité et l’expérience d’un pilier de bar. Finir ivre n’était pas un problème, et même c’était ce qu’elle recherchait. L’ivresse pour ne plus ressentir la douleur sourde qui faisait battre son cœur. Elle ne connaissait pas Lena personnellement, mais son histoire réveillait de sombres souvenirs que Montana s’efforçait d’enfouir au plus profond de son esprit. Elle aurait pu se retrouver à la place de cette fille. Mourir sous les coups d’un compagnon violent.
Elle vida à nouveau son verre. À ce rythme, elle finirait ivre morte avant l’arrivée du gringo. Mais comme s’il sentait venir la patate, Logan sonna à la porte. Avec une grimace, elle alla lui ouvrir. Montana n’avait pas envie de marcher. Elle était lasse… peut-être que Logan pourrait la porter… idée intéressante. Elle lui ouvrit et l’invita à entrer. Sans un regard en arrière. Elle se dirigea vers la cuisine où elle retrouva son verre et sa bouteille. Elle lui proposa un verre qu’il accepta. Lui tournant le dos, elle attrapa un verre dans un placard avant de lui dire :

« Rien. Je bois pour oublier la mort d’une personne et avec un peu de chance, j’arriverais à faire disparaître ces souvenirs merdiques. »

Une fois les verres remplis de liquide ambré, Montana un verre vers son invité. Elle prit le sien, le leva vers lui et but d’une gorgée, accueillant avec un plaisir quasi masochiste la sensation de brûlure qui coulait le long de son gosier. Une grimace déforma son visage. Elle reposa son verre puis s’approcha de son client favori. Il n’était pas ici pour lui taper la causette. Il savait ce qu’elle attendait de lui. Et il ne s’était jamais fait prier pour ça. Sa démarche était féline et sensuelle. Quand elle fut devant lui, Montana constata à quel point elle paraissait petite face à lui. D’habitude, elle était perchée sur des talons hauts. Mais pieds nus, elle perdait une bonne dizaine de centimètres. Logan la surplombait, une masse de muscles et de virilité qui réveillait sa libido. Alcoolisée ou non, la présence de Logan tordait de plaisir son ventre.

La baronne leva sa main et caressa le torse qui lui faisait face. Même à travers le tissu, elle pouvait sentir la fermeté de son corps. Sa main glissa le long de son corps, descendant vers l’instrument qui l’emmènerait au septième ciel. Mais elle stoppa son geste, juste au dessus de son jean. Son autre main se faufila jusqu’à sa nuque, titilla les cheveux qui tombaient sur sa peau. Elle se mit sur la pointe des pieds et captura ses lèvres dans un baiser dévorant, agressif. Montana ne lui demandait pas la permission, elle se servait comme en territoire conquis. Elle se foutait de ce qu’il voulait. Tout ce qui comptait, c’était ce qu’elle voulait. Quand elle fut satisfaite de la vague de chaleur qu’avait fait naître ce baiser, elle s’écarta en lui mordant la lèvre. Puis elle retourna vers l’îlot pour attraper sa bouteille.

Sans un mot, elle quitta la cuisine pour se diriger vers sa chambre. Montana savait que Logan la suivait. Ses pas résonnaient plus forts que les siens. Ce son avait quelque chose de rassurant. Il lui donnait l’impression de ne pas être seule, d’être avec quelqu’un qui la comprenait. Mais c’était une illusion. Montana était seule. Elle n’avait aucun ami, personne à qui confier ses peines, ses peurs et ses joies. Sa seule occupation était son business illégal. Personne ne l’attendait à la maison. Mais à cet instant, elle se sentait un peu moins seule.

Une fois dans sa chambre, elle but au goulot de la bouteille. Si elle commençait à penser à sa solitude, c’est qu’elle était vraiment bouleversée et elle refusait cet état ! Elle avait une mort à venger ! Et dans l’immédiat, elle devait prendre son pied.

Elle posa la bouteille sur la table de chevet puis retourna vers Logan. Elle recommença à l’embrasser avec fureur. Il y avait du désespoir dans ce baiser, de la colère. Elle était en vie, quand tant de personnes qu’elles avaient aimé ou aidé n’étaient plus. Elle en voulait à la mort, le destin, Dieu. Elle ne savait pas à qui elle en voulait. La jeune femme sa bouche de celle de son amant, le souffle court. Dans un murmure, elle lui ordonna :

« Baise-moi comme si c’était la dernière fois… »

Montana ne voulait pas ressentir la douleur de la perte ou des souvenirs. Elle voulait se sentir en vie. Être ancrée dans l’instant présent. Le passé n’avait pas sa place à ce moment. Elle lui refusait l’accès à son esprit !
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptySam 18 Nov 2023 - 9:45

La baronne appelle, j’accours. C’est le deal. Aucune possibilité de refuser ne fait partie du contrat. Elle a été très claire là-dessus. J’ai pas été chercher à la contredire. J’ai pas le droit de la contredire. Du sexe contre la drogue. Je sais que si un jour je refuse de me pointer, elle est capable de faire stopper la source de mes addictions et de me réclamer la totalité de tout ce que j’ai pu consommer. Même si elle a dit avoir effacé mon ardoise, je suis sur que ses sbires continuent de noter ce que je prends. Baiser. Dans tous les cas, c'est ce que je suis. Mais je suis un pauvre mec qui ne résiste pas à une jolie nana et un joli cul. Et putain, celui de la baronne est le plus bandant que j’ai jamais vu. Même recouvert de son tanga rouge, ma bite devient dure dès que je le vois. Je la suis comme un toutou dans la cuisine. Je suis capable de me laisser tomber à genoux pour enfouir mon visage entre ses deux globes charnus, mais elle place l’îlot central entre nous et m’offre un verre. Je vois bien qu’il y a quelque chose qui la contrarie. Ça va être mon rôle de faire passer sa frustration. Pourquoi d'autres je serais là sinon ? Je suis là bite avec laquelle elle prend son pied, défoule ses nerfs et sa frustration, sa colère et sa haine. Ça me dérange pas.

J’ai rien de précis à répondre sur les raisons de sa picole. Elle fait bien ce qu’elle veut. Je hoche juste la tête, trinque avec elle, et l’accompagne dans son verre de whisky. Lorsqu’elle en a fini avec, je la regarde tandis qu’elle s’approche de moi de sa démarche dangereuse et féline. Ma queue tressaute dans mon jean. Elle sait très bien comment manipuler les gens selon ses désirs. D’habitude, elle est perchée sur ses talons. Ce soir, elle est pieds nus, et je me rends compte que je dois davantage baisser la tête pour la regarder dans les yeux. Sa main se pose sur mon torse puis descend directement vers mon chibre qui n’attend qu’elle. Mon corps anticipe déjà son contact, mais elle se stoppe au niveau de la ceinture de mon jean. Finalement, son autre main entre en action en venant enrouler ma nuque et j’obéis à la pression qu'elle exerce pour venir capturer ma bouche. Son haleine a un goût de whisky que je partage avec elle. Malgré la dureté de son baiser, ses lèvres sont toujours aussi charnues et douces. Je la laisse prendre ce qu’elle veut jusqu’à ce qu’elle me relâche en mordillant ma lèvre inférieure. Ma queue durcit encore.

Sa bouteille en main, elle quitte la cuisine. Et je la suis. Comme son ombre. Les yeux posés sur son cul qui roule juste devant moi. J’ai envie de la plaquer contre un mur et de le dévorer. Montana est une tentatrice, le serpent de la bible. Adam n’aurait pas eu besoin de Ève, ni de croquer dans la pomme s’il l’avait eu, elle, dans le jardin d’Eden. Son corps est un appel au sexe. Dans la chambre, une nouvelle gorgée de whisky se fait appeler. Je l’observe en silence jusqu’à ce qu’elle me porte à nouveau de l’attention. Elle est chamboulée. Et je suis nul pour consoler les gens. Elle se jette à nouveau sur ma bouche et je lui rends son baiser. J’y goûte sa colère et son désespoir. Se pourrait-il que Montana cache un cœur dans cette poitrine aux seins affriolants ? Enfin elle s’exprime sur ses attentes. J’ai un objectif. Je compte bien la satisfaire à nouveau.

Je l’embrasse avec ardeur tandis que mes mains viennent glisser le long de sa colonne vertébrale. J'agrippe l’attache de son soutien gorge et me débarrasse de ce sous-vêtement qui me cache la vue de ses deux merveilles. Je m’en saisis, un dans chaque main, mes pouces agacent ses tétons sombres qui durcissent sous la pulpe de mes doigts. Ma bouche quitte la sienne et descend le long de sa mâchoire et de son cou pour aller errer sur son buste. Mes dents se saisissent d’un téton tandis que de ma main dorénavant libre, je libère ses hanches de son tanga que je fais glisser le long de ses cuisses. Je me débarrasse de tout ce qui entrave sa nudité la plus parfaite. Et si je dois la baiser comme si c’était la dernière fois, je compte bien accomplir l’image que j’ai eu plus tôt dans le couloir.

Je me redresse et invite Montana à s’agenouiller sur le bord de son lit. Je me tiens debout derrière elle et avant de commencer, je me débarrasse de mon t-shirt. Je l’abandonne à terre en compagnie de sous soutien-gorge et son tanga, et colle mon torse contre son dos. Mes lèvres viennent embrasser la peau de son cou dénudée. Ses cheveux ramenés en chignon sur le sommet de sa tête me laissent tout le loisir d’apprécier la finesse de sa nuque. Mes mains retournent à la rencontre de ses seins avec lesquels je joue pendant quelques instants, puis l’une d’entre elle glisse vers le sud de son anatomie pour venir trouver son bourgeon. Je joue avec jusqu’à sentir son miel commencer à inonder mes doigts. Je les glisse le long de sa fente, étalant sa mouille sur ses lèvres. Je ne résiste pas à l’envie de la pénétrer de mes doigts. Elle les accueille en elle sans difficulté et je la pompe jusqu’à être satisfait des sons qui s’échappent de ses lèvres parfaites.
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Montana J. Perez

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyLun 20 Nov 2023 - 15:28

La baronne n’avait pas l’habitude qu’on ait de la tendresse pour elle, ni que l’on soit doux. Elle n’avait connu que la brutalité et parfois la violence. Et dans une chambre, à l’abri des regards et des oreilles, les choses n’étaient pas différentes. Les hommes qui avaient eu la chance de l’empaler ne l’avaient jamais fait de manière romantique. Mais elle ne s’en était jamais plainte. Au contraire, elle aimait que le sexe soit brutal, dévorant de passion, la laissant sans énergie et en sueur. Elle détestait le sexe passif, sans ce feu ardent ! Alors quand elle avait fait de Logan son nouveau jouet, elle avait été claire dès le premier jour où il l’avait prise sur son bureau : elle voulait crier de plaisir. Logan avait été à la hauteur de ses attentes. En plus d’être beau gosse, il était bien monté et savait se servir de son chibre à la perfection. S’il continuait à lui donner de plaisir, c’est elle qui finirait accro.

Après l’avoir entraîné dans sa chambre en l’attirant avec la vue sur son cul, Montana s’était presque jetée sur sa bouche. Elle s’accrochait à lui avec désespoir, comme s’il était la seule chose qui pouvait la rendre vivante. Montana aurait pu tout aussi bien faire comme toute personne choquée par la mort d’une personne. Mais il y avait bien longtemps que la jeune colombienne ne pleurait plus. Depuis la mort de son frère jumeau, elle avait comme perdu une partie de son âme. Il était parti, emportant avec lui tout ce qu’il y avait de bon et de pur chez elle. Il n’avait que laisser la rancœur, la colère et la violence. Montana avait comprit très tôt que les émotions telles que la tristesse, la peur étaient des faiblesses qu’il fallait cacher. Peut-être pleurerait-elle la mort de cette jeune femme plus tard. Pour l’heure, elle avait besoin de sentir l’étincelle de vie en elle s’embraser jusqu’à devenir une flamme puissante, brûlant toute faiblesse en elle. La baronne sentit son soutien-gorge se dégrafer, laissant sa poitrine à l’air nu. Ses tétons sombres pointant sous l’effet du plaisir qu’elle ressentait. Logan ne perdit pas de temps et s’en saisit, agaçant ses pointes. Elle sentit une moiteur entre ses cuisses. Elle était plus que prête à le prendre en elle. Rapidement, les dents de Logan se firent sentir sur sa peau et un frisson parcourut sa colonne vertébrale. Dans la foulée, il lui retira son tanga, la laissant totalement nue. Montana n’éprouva aucune gêne. Ce n’était pas la première fois qu’il la voyait dans son plus simple appareil.

Quand il se redressa, son amant l’invita à s’agenouiller sur son lit. Elle s’exécuta, anticipant l’extase qu’elle allait bientôt ressentir. Logan la rejoignit, se collant à elle et elle sentit la peau de son torse contre son dos. Il s’était débarrassé de son t-shirt. Son chibre calé contre ses fesses, Montana ne put s’empêcher de remuer contre lui. Il recommença à lui tripoter les seins avant que l’une de ses mains n’aille à la rencontre des replis de sa féminité. Ses doigts glissèrent dessus grâce à l’humide preuve de son désir pour l’homme qui avait été son client. Gémissant, Montana rejeta sa tête en arrière, pressée qu’il la soulage de la douleur qui lui tordait le ventre. Elle voulait qu’il la remplisse enfin. Mais ce fut ses doigts qui la pénétrèrent, lui offrant un aperçu de ce qui l’attendait. Bientôt, ses gémissement résonnèrent dans la chambre. Ses mains agrippèrent les cuisses de Logan. Ses ongles raclèrent sa peau tandis qu’elle se sentait partir plus loin dans la jouissance sexuelle.

« Putain… » murmura-t-elle.

Ce n’était pas normal que les doigts de Logan lui procurent autant de plaisir. Elle ne devrait pas perdre la tête comme ça ! Mais le musicien savait y faire. Ses doigts habiles l’emmenaient plus loin dans l’excitation mais sans jamais la faire jouir. Comme s’il gardait cet instant pour son chibre. Ce qui n’était pas pour déplaire à la colombienne. Elle aimait sentir cette longueur la transpercer avec force, la faire crier de plaisir. C’était pour ça qu’elle continuait de l’appeler, lui et personne d’autres. Non pas qu’elle manquait d’amants. Mais plutôt qu’il était le seul à lui donner ce qu’elle voulait : du sexe brut !
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyLun 11 Déc 2023 - 10:04

D’entrée de jeu, je vois bien que quelque chose contrarie Montana. Elle ne dégage pas la même chose que d’habitude. Elle est toujours aussi sensuelle, sexy et féline dans ses mouvements - surtout à moitié nue dans ses sous-vêtements - mais c’est dans son regard que je note une différence. La mort de cette personne l’affecte bien plus qu’elle ne veut bien le montrer. Si elle m’a fait venir, c’est pour chercher une forme de réconfort. Le sexe en est une. Dès le début, elle a été très claire sur ce qu’elle attendait de moi : elle veut crier de plaisir et prendre son pied. Ce soir, je peux rajouter “oublier” à cette liste. J’ai pas l’âme d’un romantique. Elle peut être dans l’état qu’elle veut, ça ne m’empêchera pas de lui donner ce qu’elle désire. La preuve se trouve d’ailleurs dans mon jean tendu à cause de son joli cul qui se pavane sous mon nez sans la moindre honte.

Dans sa chambre, elle s’accroche à moi, noie son désespoir dans ses baisers. De manière silencieuse, elle prouve qu’à l’intérieur de sa poitrine bat un cœur bien moins fait de pierre qu’elle ne le montre. Je détache son soutien-gorge et libère ses seins tentateurs. Je saisis ses globes entre mes mains et agace ses tétons jusqu’à ce qu’ils deviennent durs sous la pulpe de mes doigts. Ma bouche quitte la sienne pour aller saisir une de ses pointes sombres, et ma main libre lui retire son tanga. Je la veux nue pour accomplir la vision que j’ai eu tantôt dans le couloir de son appartement. Je libère son sein et l’invite à s’agenouiller sur son lit. Elle me laisse faire. Je sais que Montana est loin d’être une femme soumise, mais dans notre accord, c’est elle qui doit prendre son pied. Pas moi. J’en tire mon propre plaisir aussi, mais de moi que dépend le sien. Et je n’ai pas intérêt à faire fausse route.

Dos à moi, j’ai une magnifique vue sur sa cambrure. Je retire mon t-shirt que j’abandonne au sol et viens me coller à elle. Ma queue trouve sa place entre ses fesses, trahissant mon désir et mon envie d’elle. La baronne remue légèrement, se frottant sur ma longueur, impatiente de m’avoir en elle. Mes lèvres viennent dévorer la peau fine de son cou. Mes paumes retrouvent leur place sur ses seins avant que j’aille explorer une zone plus au sud de son anatomie. Sa fente accueille mes doigts sans le moindre effort. Ses replis sont déjà humides. Ses premiers gémissements se font entendre tandis que je pompe en elle. Ses mains agrippent mes cuisses tandis qu’elle laisse échapper un juron qui me tire un sourire de satisfaction malsaine. En parallèle, je tire légèrement sur la pointe sombre de son sein. Contre ses fesses, mes hanches se mettent en mouvement. J’ai hâte de libérer ma queue de sa prison de tissu et de m’enfouir dans sa moiteur, mais je prends mon mal en patience.

Penche-toi, je souffle à son oreille.

Lentement, je laisse glisser mes doigts hors d’elle, tandis qu’elle s’exécute. Mes lèvres parcourent la peau de son dos, suivant la ligne de sa colonne vertébrale. Je déboutonne mon jean et libère ma hampe de son boxer. Elle pointe fièrement vers son intimité que je sais palpitante. Vide de mes doigts, j’ai envie de la sentir se resserrer autour de ma queue comme pour me remercier de la remplir enfin. Mon gland vient titiller son entrée, mais je recule pour m’agenouiller. Mon visage est face à son intimité ruisselante. Délicatement, j’écarte ses replis pour découvrir son clitoris et son entrée. Ma bouche capture ce fruit défendu. Ma langue pénètre sa chautte chaude. Je la dévore avec envie. Du pouce, je joue avec son bourgeon. Je veux que Montana commence déjà à perdre la tête avant que je ne la pénètre de mon membre. Et pour ça, j’ai mille idées. Je savoure son miel comme un mort de soif tandis que mes doigts viennent délicatement trouver sa petite entrée. Je reconnais n’avoir aucune idée de ce que pense la baronne sur les pratiques qui incluent le côté pile de son anatomie, d’où le fait que je ne fasse que l’effleurer dans un premier temps sera un bon indicatif…
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Montana J. Perez

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyMar 26 Déc 2023 - 15:25

Montana n’avait jamais été romantique. Pour elle, une relation avec un homme était une lutte pour le pouvoir. L’amour n’avait pas sa place dans son cœur ou sa tête, c’était une faiblesse qui la conduirait à sa perte, surtout au vu du milieu dans lequel elle gravitait. Les hommes étaient sans pitié et s’ils apprenaient qu’elle avait un homme dans sa vie, ils trouveraient le moyen de se servir de lui contre elle. Ils l’obligeraient à faire un choix entre l’amour et le business, et ça, Montana refusait catégoriquement d’être confrontée à ce choix cornélien. Elle avait donc fait le choix de ne plus ouvrir son cœur, se contentant de relation sans attaches. Un peu comme avec Logan.
Pourtant, à ce moment précis, la Baronne ne l’avait pas appelé sans raison. Enfin, pas les mêmes raisons que d’habitude. Elle ne recherchait pas juste du sexe. Elle voulait se sentir vivante et en même temps, elle ne voulait pas ressentir de peine ou de peur. Elle connaissait la mort, elles étaient de vieilles amies. Plus jeune, elle avait perdu son frère jumeau. Ce n’était pas rien ! Elle n’avait plus jamais été la même ! Montana avait vu des gens mourir autour d’elle. Parfois, elle était même l’instrument de la mort. Pourtant, apprendre qu’une de ses filles avait trouvé la mort entre les mains de son ex l’avait chamboulé, bien plus qu’elle ne l’aurait admit. La jeune colombienne ne comprenait pas pourquoi ce décès la touchait autant. Ce n’était pas comme si elle avait été proche d’elle ! Mais malgré les apparences, Montana cachait un cœur bien enfoui, entouré de barricades et de murs solides. Et, à de rares occasions, il refaisait surface, laissant entrevoir la jeune femme seule, remplie d’une tristesse, qui n’avait jamais réussi à faire le deuil de son jumeau. Et Logan avait fait irruption dans sa vie au meilleur moment. Grâce à lui, elle pourrait s’oublier, oublier sa condition le temps d’une baise sauvage, brutale.

Dos à Logan, Montana était impatiente de sentir son sexe épais en elle. Sa fente était humide, prête à le recevoir entièrement. Montana savait que Logan était un très bon coup. Elle savait qu’il était capable de lui donner les meilleurs orgasmes. Et cette pensée la rendit plus vorace, plus excitée que jamais ! Quand ses doigts vibrent soulager légèrement la tension qui avait prit place dans son bas ventre, la colombienne soupira avant que des gémissements retentissent dans sa chambre. Un juron suivit également. Ce type était doué, autant avec sa queue qu’avec ses doigts. Et quand il ordonna dans un murmure de se pencher, Montana s’exécuta. En tant normal, elle ne recevait d’ordre de personne. C’était elle qui dirigeait, elle qui donnait les ordres. Par contre, entre les mains de Logan… Montana se pliait volontiers à ses ordres. Elle savait qu’elle en retirerait du plaisir et la satisfaction d’un orgasme foudroyant.

Penchée, son intimité humide offerte à Logan, Montana pensait pouvoir goûter à l’intrusion du chibre de son amant. Il la laissa quelques secondes avant que la peau satinée de son gland vienne caresser l’entrée de sa fente. Un frisson d’anticipation la parcourut mais… Logan ne la pénétra pas. Montana pensa qu’il voulait peut-être s’amuser encore un peu. Elle n’était pas contre, tant qu’il ne la faisait pas trop attendre. À nouveau, il abandonna quelques secondes sa chatte pour finalement la retrouver. La Baronne sentit ses replis être écartés avant que la langue de Logan vienne la caresser. Elle sentit sa langue dans sa fente, tandis que son pouce vint titiller son clitoris. Un cri s’échappa alors de ses lèvres. Montana ne s’attendait pas à ça ! Leur arrangement était qu’il réponde présent chaque fois qu’elle aurait envie de baiser. Mais jamais elle n’aurait pensé qu’il irait jusqu’à s’abreuver de son miel. Elle pensait qu’il aurait été du genre : « je te mets des doigts, je te baise et salut ! ». Logan la surprenait à chaque fois qu’il remplissait sa part de leur contrat. Elle songeait à lui offrir une dose supplémentaire de poudre blanche pour le récompenser. Il le méritait bien. Alors qu’elle savourait la sensation du cunilingus que lui offrait son amant, elle sentit ses doigts se diriger vers une zone qui, jusqu’alors, n’avait jamais été exploré. Par réflexe, son corps se raidit. Mais, curieuse, elle ne l’empêcha pas de poursuivre ses caresses. Surprise, elle se rendit compte qu’elle y trouvait du plaisir aussi. Elle remua le bassin, allait à la rencontre de ses doigts, de sa bouche. Elle était si pantelante de désir, qu’elle aurait pu le supplier de ne pas s’arrêter.
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyVen 19 Jan 2024 - 11:05

Avec Montana, je sais pourquoi je suis là. Je ne perds pas de temps à essayer de savoir et de comprendre ce qui l’anime. Elle est affectée par la mort de quelqu’un, et tout comme l’alcool qu’elle a avalé avant que j’arrive, je suis là pour lui faire oublier tout ça. Je me mets en action dès qu’elle me le demande. Elle n’a pas besoin d’une épaule pour pleurer. J’suis convaincu que la Baronne est bien plus humaine qu’elle ne veut le faire croire. Je l’ai bien senti lorsqu’elle m’a embrassée. J’ai goûté son désespoir. Elle possède des failles. J’ai pas envie de chercher à les découvrir. J’ai bien compris le rôle qu’elle me porte et je m’y tiens. Dès que je la sens réceptive, je mets tout en œuvre pour son plaisir. Mes doigts pénètrent sa fente tandis qu’elle laisse échapper des gémissements de contentement. J’étale ses fluides le long de ses replis. Elle mouille suffisamment pour que je sache qu’elle est déjà prête à me recevoir en elle, mais je n’en ai pas terminé. J’ai eu une vision dans le couloir qui mène à sa chambre, et je compte bien la réaliser. Lentement, je lui ordonne de se pencher en avant. Montana obéit sans rien dire. Je sais que ce n’est pas dans ses habitudes d’en recevoir, mais si elle veut obtenir de moi ce qu’elle désire, elle doit s’exécuter. Pour le coup, il s’agit d’un consentement mutuel davantage que de la soumission de sa part. Je veux bien la baiser comme si c’était la dernière fois, mais pour ça, il faut qu’elle me laisse faire.

Sa croupe relevée m’offre l’accès à sa fente humide. Je libère ma queue de mon jean et de mon boxer. J’ai envie de plonger en elle, et de sentir ses parois se refermer sur moi. Mon gland vient titiller son entrée, mais je résiste et m’éloigne avant que ce ne soit trop dur. Je m’agenouille pour que mon visage soit à la hauteur de son intimité. J’écarte ses replis et ma langue la pénètre. Je recueille son miel tandis que mon pouce vient trouver son clitoris pour jouer avec. La réaction de La Baronne ne tarde pas. Un cri retentit dans la chambre. Je mets plus d’ardeur à l’ouvrage pour la satisfaire. Je veux qu’elle se perde progressivement dans son plaisir et si j’en crois les gémissements qui lui échappent, je suis en bonne voie. Tandis que je lape son jus, mon index vient trouver sa petite entrée. Je la sens se crisper légèrement. Je sais que cet accès là n’est pas au goût de tout le monde et je m’attends à un refus de sa part, cependant, elle ne dit rien. Je profite de l’humidité de sa fente pour caresser cette entrée interdite. Les mouvements de bassin de Montana m'encouragent à continuer. J’aspire son clitoris entre mes dents et m’amuse à jouer avec la frontière entre le plaisir et la douleur.

Durcie par le désir, ma queue se rappelle à mon bon souvenir lorsqu’elle se sent beaucoup trop esseulée. Après un dernier coup de langue sur sa fente, je me relève. Je saisis ma hampe dans mon poing et présente mon gland à l’entrée de son intimité. Je plonge en elle jusqu’à la garde. Un soupir s’échappe de mes lèvres lorsque je sens ses parois m’enserrer durement. J’attrape ses hanches et commence à la pilonner durement. Nos peaux claquent l’une contre l’autre tandis que mon chibre goûte de nouveau aux sensations d’être en elle. Je pense que je n’ai jamais autant kiffé coucher avec quelqu’un qu’avec elle. Le sexe avec Montana a une saveur inédite que je n’avais pas expérimenté auparavant. C’est bon et puissant.
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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyMer 21 Fév 2024 - 21:25

Montana est furieuse, bouleversée. Elle a beau se montrer forte et invulnérable, elle n’en reste pas moins un être humain. Elle ne peut pas toujours refouler ses émotions négatives dans un coin de son esprit. Il faut dire qu’elle dissimule déjà tellement de choses… Aujourd’hui, ce n’est plus possible pour elle de mentir encore. Elle ne peut pas et elle ne le veut pas. La baronne a besoin d’un exutoire, quelque chose qui lui permettra de laisser enfin toute cette colère sortir sans qu’elle ne tue chaque homme qui aura le malheur de croiser sa route. Et c’est ainsi que Logan, son sextoy humain, fait son apparition. S’il y a bien un homme qui peut l’aider à penser à autre chose c’est bien lui ! Avec sa gueule d’ange, sa queue durcie et son addiction, elle voit en lui l’homme idéal pour cette situation. Il baise très bien et il a compris qu’il doit se rendre disponible chaque fois qu’elle l’appelle. C’est leur contrat, il la baise en échange de poudre blanche gratuite. Chacun y trouve son compte. Et c’est ce qu’il se passe dans sa chambre, Logan lui donne le plaisir dont elle a besoin pour calmer son esprit tourmenté.

Sa langue lape son miel, pénètre sa fente et la baronne ne peut retenir les cris de plaisir qui montent dans sa gorge. De toute façon, elle n’a aucune raison de simuler. Logan sait comment la combler de plaisir. Il est doué et il le sait… Montana se cambre un peu plus, lui offrant son antre en pâture, appréciant une toute nouvelle sensation. Son client a glissé son doigt vers un endroit jusqu’alors inexploré. Instinctivement, elle se crispe mais face à cette sensation, elle est curieuse. Alors, elle se détend, elle le laisse faire. Et elle n’est pas déçue car elle est envahie d’une chaleur nouvelle, son désir est décuplé. Elle se mord la lèvre inférieure en serrant dans ses poings les draps de son lit. Elle adore ce que Logan lui offre, elle sent bien les parois de son vagin se resserrer mais malheureusement, son antre est vide. Logan aspire alors son clitoris et la petite douleur qu’elle en ressent lui donne un petit spasme.

« ¡Hostia puta! » jure-t-elle en tapant du poing sur le matelas.

Montana se dit à ce moment qu’elle avait fait une affaire en concluant ce pacte avec Logan. Elle adore ses gestes. Il n’y a rien de doux ou de délicat. Non, c’est brutal, presque douloureux. Et la jolie colombienne adore ça ! C’est exactement ce dont elle a besoin, surtout à ce moment-là !
Et enfin, Logan la pénètre durement. Il est entièrement enfoui en elle et lui arrache un cri de satisfaction. Et sans attendre, il se met à la labourer de ses coups de reins puissants. Montana prend appui sur ses mains. À tout moment, elle peut se retrouver projeter vers l’avant. Mais elle ne veut surtout pas que Logan s’arrête, elle prend beaucoup trop son pied ! Dans la chambre, les seuls sons qui s’échappent sont les cris de Montana et le claquement de leurs peaux. Montana laisse le haut de son corps reposer sur le matelas, la cambrant au maximum. Elle glisse sa main entre ses cuisses pour jouer avec son clitoris. Elle l’effleure pour ne pas jouir trop tôt, elle veut simplement rajouter un peu de piment à l’intrusion de Logan. Et le plaisir qu’elle en tire est tel qu’elle se sent s’envoler.

« T’arrête pas, t’arrête surtout pas.. » dit-elle entre deux cris avant de se mordre la lèvre avec force.
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan)   Qui est énervée ? Moi ? Pas du tout ! (Logan) EmptyVen 5 Avr 2024 - 9:24

Si Montana m’obéit, c’est uniquement parce qu’elle sait que je vais répondre à ses besoins. Elle n’est pas femme à plier à se laisser dominer par quiconque. Et si elle m’abandonne les rênes, ce n’est pas par soumission, mais parce que je suis là uniquement pour satisfaire le moindre de ses caprices. Ça ne me dérange pas de n’être qu’un sex-toy à ses yeux car à son image, je fais le taff et elle prend son plaisir. Le mien de plaisir vient avec parce que ce n’est pas tous les jours qu’on peut coucher avec une meuf comme elle. Il faudrait être franchement con pour ne pas bander comme un âne. Alors même si elle ne me suce pas, même si elle ne me branle pas, je prends mon pied à la voir se tortiller de plaisir sous les différents traitements que je lui octroie et à m’enfouir en elle lorsque ça devient trop dur de résister.

Ainsi à quatre pattes, elle offre sa fente à ma bouche et à mes doigts. Je la lape tout en maltraitant son clitoris. Je savoure son goût sans avoir la moindre honte d’aimer ça. Son petit bourgeon est dur entre mes doigts et je le fais rouler tout en frottant sa crête pour la faire crier de plaisir. Je la sens se cambrer pour m’offrir un peu plus d’accès et j’avoue que j’en profite pour essayer quelque chose dont je ne suis pas certain qu’elle appréciera. De ma main libre, je remonte le long de sa croupe pour aller trouver cette petite ouverture qui est assez souvent inexplorée - par refus ou par douleur. De la pulpe de mon pouce, je caresse son orifice sans chercher à y entrer et immédiatement, je sens Montana se crisper. Je suis prêt à ne pas insister davantage, mais comme par magie, elle se détend et me laisse le loisir de continuer à masser cette zone. Ma bouche délaisse sa fente pour aller aspirer son clitoris suffisamment fort pour jouer avec la frontière du plaisir et de la douleur. Sa réaction est instantanée et le juron hispanique qui résonne dans la chambre m’amuse.

Je pourrais continuer comme ça longtemps si ma queue s’était pas rappelée à mon bon souvenir, esseulée et douloureusement dure, en attente de pouvoir recevoir elle aussi un peu d’attention. Après un dernier coup de langue le long de sa fente, je me redresse et agrippe Montana par les hanches. Mon membre dans mon poing, je me présente à sa l’entrée de son intimité et plonge en elle. Mon soupir de soulagement s’accompagne de son cri de ravissement à l’idée de me sentir complètement en elle. Ses parois m’enserrent pour me retenir, mais je me mets à la pilonner durement. Les cris de Montana retentissent, accompagnés du claquement de nos peaux l’une contre l’autre. Mon regard est fixé à la fois sur sa croupe et sur mon chibre qui disparaît à chacune de mes poussées en elle. Je l’observe céder au plaisir et s'aplatir un peu plus, ne maintenant que ses fesses au niveau de mon pelvis. L’un de ses bras disparaît sous elle et je n’ai aucun doute quant à ce qu’elle est en train de faire. Mes coups de boutoir s’approfondissent en réaction à l’image d’elle en train de se caresser et ses suppliques. Elle n’a aucun souci à se faire, je ne compte pas m’arrêter tant qu’elle n’aura pas eu son orgasme.

Son corps à la merci de mon ardeur, j’ai envie de pousser Montana un peu plus loin dans le plaisir. Une main se détache de ses hanches et écarte légèrement ses fesses pour m’offrir une jolie vue sur sa petite entrée. Je suis bien conscient qu’elle pourrait dire non. Peut-être même que sans que je m’en rende compte, elle sortira un flingue de sous ses draps et me le collera sur le front. Mais je m’en fous. J’aime vivre dangereusement. J’humidifie deux de mes doigts avant de caresser à nouveau son pourtour. Je sens sa peau s’assouplir à mesure que je la touche, et tout en continuant mes mouvements de bassin, je laisse un de mes doigts pénétrer lentement vers cette entrée interdite…
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