Quoi ? T'es jalouse ? [PV Caly]

Mon objectif était simple : offrir à mon cousin la meilleure pipe de sa vie. J’avalais cette longueur de chair sans aucune retenue ou hésitation. Et je ne le lâchais pas du regard, savourant l’expression de désir que je lisais dans ses yeux. Il me voulait, j’étais la seule à envahir ses pensées. Une pensée malsaine s’insinua en moi : j’avais chassé toute image d’une autre femme. Et putain, qu’il était beau dans cette expression de passion dévorante. Je voulais graver cette image à jamais dans mon esprit. Je ne lui offrais aucun répit alternant entre mouvements lents et rapides, ma langue caressait son chibre tandis que mes lèvres enserraient cette chair chaude et dure. Je sentais chaque courbe, chaque veine de son membre. Je me sentais humide, plus que prête à le recevoir au plus profond de mon être. J’avais hâte, depuis ce moment rempli de tension sexuelle dans la cuisine, je voulais le sentir en moi…

Soudain, Warren me retira mon débardeur et me souleva. Je me retrouvais contre lui, les jambes enroulées autour de sa taille. Je sentais sa queue contre mon jean et je regrettais instantanément de l’avoir gardé. Warren attrapa entre ses lèvres l’un de mes mamelons et le tortura. Je gémissais de plaisir, mon corps se cambra pour aller un peu plus à la rencontre de ce plaisir qu’il m’offrait. Mes mains se perdirent dans sa chevelure avant de griffer la peau de son dos. Mon bas ventre se contractait avec violence tant j’étais excitée et prête ! Warren ne perdit pas de temps, il m’allongea sur le canapé et me déshabilla. Nue et offerte à lui, je laissais mes doigts explorer l’humidité entre mes cuisses. Mais rapidement, mon cousin m’offrit un léger soulagement en me pénétrant de ses doigts. À nouveau, je me cambrais en gémissant. Son pouce sur mon clitoris me procurait tant de plaisir que j’en perdais la tête. Plus rien n’avait d’importance à part le plaisir ! Je voulais sentir Warren dans ma fente, peu importe la position, je voulais qu’il me pénètre avec force. Pourtant, je parvins à le taquiner encore un peu, mentionnant sa chère cousine et mon petit ami imaginaire. La sanction ne fit pas attendre, les doigts experts de Warren me torturaient un peu plus, m’arrachant un petit cri. Son autre main ne restait pas sans rien faire, elle avait mon sein dans son creux. Mais la réponse de Warren eut un effet aphrodisiaque dévastateur : j’étais la seule. Je n’avais pas à m’en faire. Puis les lèvres de Warren vinrent s’écraser sur les miennes. Je glissais mes mains sur son visage, comme pour être plus proche encore de lui.

J’étais la seule. C’était tout ce que j’avais besoin d’entendre. Warren était aussi le seul dans ma vie. Depuis cette première nuit où il m’avait touché, je ne voulais plus que lui. Il était le seul dans ma tête. Je ne voulais pas l’admettre, mais je savais… Warren m’obsédait, il hantait mes pensées. C’était mal, je le savais mais plus je le voyais, plus je l’avais dans la peau… je ne savais pas si c’était de l’amour ou simplement l’attrait de l’interdit… non, en réalité, je savais que le goût du risque et de l’interdit ne pouvaient pas me rendre aussi dingue. Je n’étais pas d’un naturel jaloux mais en voyant sa cousine nunuche si près de lui… j’avais eu de lui arracher les yeux ! Je savais bien que mes sentiments étaient bien plus forts que juste une pulsion sexuelle. Mais je ne pouvais pas me permettre de lui montrer. Je ne devais être qu’une distraction à ses yeux. Et puis, c’était impossible pour nous d’avoir une véritable relation ! Nous étions de la même famille, jamais, ô grand jamais, notre famille accepterait notre relation incestueuse. Mais… j’en arrivais à regretter d’avoir apprit notre lien. Si je ne l’avais pas su, j’aurais pu espérer avoir une relation… mais un jour, je le verrais avec une autre… la jalousie me tordit l’estomac alors je chassais vite ces pensées déprimantes pour profiter du moment présent… même si mes gestes étaient bien plus passionnées, comme désespérés. Je devais vivre chaque instant que nous avions intensément, sans penser au lendemain.

Warren quitta alors ma bouche. Je le vis s’abaisser jusqu’à mes cuisses et s’y noyer. Sa bouche contre ma fente, un long soupir quitta mes lèvres. Mon bassin se rapprocha un peu plus de son corps. Je le sentais dans chaque fibre de mon corps. Sa langue me faisait vibrer. L’une de mes mains retourna dans ses cheveux. Je dis attention à ne pas tirer dessus malgré le plaisir foudroyant qui traversait mon corps de parts et d’autres. Parfois, mon corps se cambrer sous une de ses caresses, mais jamais mes gémissements ne faiblirent. Et je ne m’en cachais pas. Il avait une emprise sur moi que je ne pouvais pas cacher, je ne pouvais pas nier le désir que je ressentais. Le miel qui coulait entre mes cuisses parlait pour moi. Alors je savourais la douceur de sa langue sur mon clitoris. J’en redemandais encore, encore et encore. Mon bassin ondulait, ma main libre griffait le tissu du canapé. Je me mordais la lèvre inférieure, les yeux clos.

« Warren, je peux plus… » soufflais-je.

Je sentais mes cuisses trembler, une vague puissante de plaisir gonfla en moi. Je savais que l’orgasme n’était pas loin. Warren m’y conduisait. Impossible d’y échapper, même si je le voulais, je n’aurais pas pu. Mais Warren fut sans pitié, ne me laissant aucun répit.

Warren est celui qui me conduira à ma perte. Je le sens au fond de moi. Jamais de ma vie je n’avait ressenti une telle attirance pour un homme. Il était mon cousin, donc il était intouchable, normalement. Mais nous avions couché ensemble sans savoir qu’un lien familiale se dressait entre nous. Pourtant, même une fois la révélation faite, nous avions continué à nous vautrer dans la luxure. Comme si savoir qu’il était mon cousin rajoutait un petit piment en plus nos étreintes. Je devais avouer que ce n’était pas seulement sexuel. Quand je l’avais vu avec sa cousine, la jalousie m’avait dévoré, consumé de l’intérieur. Je n’avais pas supporté de la voir près de lui. Ses sourires, sa façon de le regarder m’avait donné envie de lui arracher la tête. Je n’avais absolument pas le droit de ressentir ces choses, pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher. C’était plus fort que moi. Et quand Warren m’assura que j’étais la seule avec qui il couchait, le monstre de jalousie en moi cessa de gronder, il s’apaisa et s’endormit, satisfait de sa réponse. Je voulais être la seule dans son esprit, la seule à posséder son corps.

Sa bouche et ses doigts faisaient des miracles avec ma fente. Mon miel s’écoulait à mesure qu’il me procurait ses caresses. Mes gémissements résonnaient dans le salon. Le même salon où ses parents se trouvaient quelques instants auparavant. Je les avais totalement oublié à partir du moment où Warren s’était emparé de ma bouche. Mais quand il avait prit possession de ma fente humide, j’en oubliais tout, jusqu’à ma propre identité. Mes cuisses étaient secouées de tremblements, l’orgasme n’était pas loin. Il suffisait de peu pour que les parois de mon intimité soient prises de spasmes incontrôlables. Tandis que Warren se tenait à mes cuisses, j’avais empoigné ses cheveux comme si ça pouvait me permettre de garder pied. Je le prévenais, je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme. Il me demanda alors de tenir encore un peu. Et quand enfin la libération m’emporta, m’arrachant un cri de plaisir, je me laisser bercer par l’extase qui se présenta. L’orgasme se faufila dans tous les fibres de mon corps, me rendant fébrile. Mais ce n’est pas pour autant que Warren eut pitié de mon corps. Il continua de me lécher, de recueillir tout le miel que l’orgasme me procura. Quand enfin la tempête se calma, mon cousin remonta, sa bouche quittant mon antre. Mais ce n’était pas pour me laisser du répit. Loin de là, Warren n’en avait pas fini avec moi, pour mon plus grand plaisir. Je sentis son gland pénétrer ma fente puis son chibre fut entièrement dans mon intimité avec force. Un gémissement s’échappa de mes lèvres. Sa longue tige de chair en moi, j’avais enfin la satisfaction de pouvoir le sentir se mouvoir en moi. Un sourire de satisfaction se dessina sur mes lèvres. J’enroulais mes jambes autour de son bassin quand il commença à me pilonner. Je n’avais pas besoin de lui donner des instructions, Warren savait parfaitement comment me combler au centuple. Alors, je lui laissais prendre les commandes, me contentant d’accueillir en moi sa queue dur comme du béton.

C’était la troisième fois que je couchais avec Warren. La première fois, j’étais bien trop défoncée pour me rappeler avec clarté des sensations que j’avais éprouvé. Même si j’en avais eu une vague idée qui m’avait permis de me dire qu’il avait été un amant dont on se souvient. En revanche, la deuxième fois était très claire dans mon esprit. Et si je pensais que cette fois avait été géniale… Je n’étais pas au bout de mes surprises. Aujourd’hui nous n’étions ni défoncés, ni pressés par le temps. Nous pouvions savourer le corps de chacun. C’était une délicieuse torture mais qu’est-ce que j’aimais ça ! Je pouvais enfin prendre mon pied, apprécier chaque caresse, chaque baiser que m’offrait Warren. Mais j’étais loin d’être rassasiée, j’en voulais plus. Beaucoup plus… Plus il touchait mon corps et plus je voulais le sentir contre ma peau. Plus sa langue se fondait en moi et plus je voulais qu’elle soit remplacée par cette chair masculine. Je voulais qu’il me remplisse complètement et que je me perde dans les affres du plaisir. Mais mon cher cousin semblait prendre plaisir à me voir alanguie, folle de désir. Il continuait de jouer avec le bourgeon gonflé responsable de mon état. Et rapidement je me fis emportée par l’orgasme fulgurant qui pointait. Je ne retenais ni mes gémissements ni les spasmes de mon corps. Mes cuisses tremblantes se refermaient tandis que les parois de mon antre emprisonnaient les doigts de Warren.

Quand l’ouragan passa, je pris conscience que Warren avait retiré ses doigts de ma fente humide. Ses yeux étaient braqués sur moi. Je me sentais désirée, presque aimée. Son regard était si expressif… Le mien devait être légèrement éteint. Le plaisir qui m’avait saisi avait été une déferlante, une bourrasque puissante. J’étais à la merci de Warren, en cet instant, il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi. Et il ne perdit pas de temps à me pénétrer. L’intrusion fut totale, je le sentais au plus profond de mon intimité. J’avais ce que je désirais : qu’il me remplisse entièrement. Un sourire de satisfaction était apparu sur mon visage. Un peu plus tôt, je m’étais amusée à chauffer Warren dans sa cuisine, jouant avec mes propres envies. Warren était entré dans mon jeu et m’avait rappelé à quel point je le désirais du plus profond de mon être. Il n’y avait que lui que je voulais. Il avait envahi mon esprit et chassé toute distraction. Je l’avais dans la peau…

Warren me pénétrait avec force, presque de façon brutale. Il savait que j’aimais sa façon de me prendre sans aucune gêne, sans avoir peur. Ses mains s’agrippaient à mes hanches avec le même désespoir que moi et mes jambes enroulées autour de son bassin. Et quand ses doigts attrapèrent mon téton avec fermeté, un cri un peu plus fort s’échappa de mes lèvres. Il savait où toucher pour me faire réagir. Sous sa langue, je me cambrais, lui offrant davantage ma poitrine. Je voulais qu’il vénère mon corps de sa langue, de ses doigts et de son chibre. Et Warren m’avait donné tout ce que je voulais, je ne pouvais que lui offrir mon corps en échange.