Dirty New-York

Qui a dit que le linge sale se lavait uniquement en famille ?
 
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 You better have my money, Logan...

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Montana J. Perez

Montana J. Perez


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MessageSujet: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMer 12 Oct 2016 - 8:42

Montana était à l’arrière de son salon de massage… Enfin, en réalité, c’était son bordel mais officiellement, les filles massaient des hommes et des femmes à des tarifs abordables. Beaucoup savaient ce qui se passait une fois les portes fermées. Mais qui allait la dénoncer ? Son commerce profitait à tous, même dans la police, certains venaient ici !

Assise derrière son bureau, elle finissait les comptes. Pas du salon mais de la vente de cocaïne. Montana avait peut-être arrêté l’école tôt mais elle savait comment tenir son commerce. Elle s’en sortait même très bien ! Bien sûr, elle avait rencontré des difficultés dans les débuts. Le fait d’être une femme posait toujours un problème… Pourtant, le monde de la drogue avait connu de nombreuses baronnes, dont la célèbre Madrina, Griselda Blanco. Ou encore Sandra Avila Beltran, la Reine du Pacifique, Rosalie Garcia, Beatriz Henao… Enfin bref. Montana a grandi en entendant ces noms, elles sont devenues des héroïnes à ses yeux, elle voulait faire pareil, si ce n’est mieux ! Oui, c’était assez incroyable de dire cela, c’était pourtant le cas. Mais pour Montana, c’était un rêve que de pouvoir s’imposer dans un monde machiste où les femmes étaient reléguées au plan de prostituées, de pions… Elle voulait être à la tête du cartel, inspirer la peur à tous ces misogynes qui la jugeaient faibles… Et jusqu’à présent, elle avait toujours réussi.

Montana n’avait pas hésité à vendre de la drogue et à tuer pour se faire un nom. Oui, tuer. Parfois, elle devait faire un exemple alors elle torturait en public tous ses détracteurs. Elle devait leur prouver sa force, son intransigeance et sa capacité à se défendre seule. Chacun savait que Montana, alias Gypsy, n’avait besoin de personne pour se débarrasser d’un corps. Elle avait même laissé des rumeurs se propager. Bien sûr certaines étaient totalement fausses. Jamais elle n’aurait pût tuer pour le plaisir et découper ensuite le corps pour disperser les membres aux quatre coins du globe. Mais elle laissait le monde y croire.

Une fois qu’elle eut fini les comptes, la jolie colombienne plaça le livre dans un coffre secret dissimulé dans le mur. Ce n’était pas très original mais c’était en attendant qu’elle trouve mieux. Pour le moment, elle n’était pas encore assez connue des services de police pour s’en inquiéter réellement. Le moment venu, la jeune femme savait ce qu’elle devrait faire.
Elle décida alors d’allumer un joint et de se laisser aller. Alors qu’elle tirait sur son joint, un de ses hommes de main, Biggie, vint la voir. Un homme demandait à la voir. Montana lui demanda qui était-ce. Biggie lui répondit un homme blanc, la trentaine. Montana lui dit de l’amener.
Tandis que Biggie allait chercher l’homme en question, Montana sortit son arme favorite : un beretta. Elle l’arma et le posa sur le bureau. Elle espérait ne pas à avoir à s’en servir mais certaines situations l’exigeait.

Biggie revint avec l’homme qui avait demandé à la voir. Montana savait qui il était… Enfin non, elle ne savait pas réellement mais elle avait eu affaire à lui. Il lui devait de l’argent, il prenait sa dose sans jamais payer. Sauf que trop, c’était trop !
Montana devint alors Gypsy, la narcotrafiquante impitoyable. Son visage devint froid et calculateur. Elle tira de nouveau sur son joint avant de lui demander sans préambule :

« Tu as mon argent ? »

Gypsy observa son interlocuteur en sachant qu’il n’avait pas son argent. Pourtant, elle savait qu’elle ne le tuerait pas. Quelque chose chez lui l’incitait à ne pas le tuer. Et puis, ce serait ridicule de le tuer, elle n’aurait pas pour autant son dû…

« Tu commence à me fatiguer, tu consomme sans payer et ça… C’est un problème pour mon business… » dit-elle doucement, son accent ressortant.
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Logan S. Carter

Logan S. Carter


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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyJeu 17 Nov 2016 - 20:16

Le sachet de poudre était vide. Merde ! Fais chier ! Comment est-ce que j’allais faire, moi, pour survivre à la soirée, hein ? En plus de ça, j’avais terminé mon sachet de pilules la veille au soir et la poudre était la seule chose qui pouvait encore me faire tenir quelques temps mais je crois que j’avais un peu forcé la dose récemment. Il fallait que je m’en procure à nouveau. Surtout que dans trois jours j’avais un concert et j’avais besoin de ça pour tenir, pour ressentir encore cette adrénaline que me procurait la scène. Sauf que je n’avais plus un sous en poche. Mais j’avais trop besoin de cette drogue. Il en allait de ma survie ! Je ne pouvais pas faire autrement. Peut-être que… Peut-être que je pourrais allonger un peu plus mon ardoise ? J’étais certain que la baronne n’en serait plus à quelques dollars près ? Je soufflais un bon coup puis quittais mon appartement après avoir enfilé mon blouson de cuir.

Dans la nuit noire, et quasiment froide, j’allais trouver le dealeur. Il changeait souvent de planque, mais à force de puiser à la même source, je savais toujours où le trouver. C’était rare que je me trompe et que je fasse deux essaies. Le premier, bien souvent, suffisait. Une fois n’était pas coutume, je trouvais le bon endroit. Dès qu’il me vit, le dealeur sembla excédé de me voir. Je pouvais le comprendre, j’avais déjà une belle dette. Mais il ne pouvait pas refuser sa consommation mensuelle à un client aussi régulier que moi, si ? Je tirais une taffe de ma clope que j’avais allumée sur le trajet et presque terminée. Je le saluais comme à mon habitude et lui demandais ce que je prenais habituellement. Sauf qu’au silence qu’il m’offrit, je savais que ça n’allait pas être aussi facile que je le pensais. Mais ce n’était pas grave, j’étais bon à la négociation ! J’avais foi en moi !

- Aller, s’te plait ! Je te jure que je vais me refaire et je vais payer le mois prochain ! J’ai un concert là et je vais me faire du blé.

- Ouais man, mais c’est c’que tu dis tout l’temps. La baronne veut plus qu’t’achète sauf si tu payes dans l’immédiat.

- Oh aller ! On s’connaît bien toi et moi, nan ? J’t’ai toujours payé mes dettes, nan ? Alors voilà !

Force d’insister, le gars me répondait toujours non et ça commençait à me souler. Finalement, j’en ai eu marre de devoir essayer de négocier dans le vide alors je partis. Et bien sur, une idée merveilleuse me vint en tête. Peut-être que si je demandais directement à la baronne, elle me donnerait ce que je veux ? Ça c’était d’l’idée ! Ce que je pouvais être bon parfois ! Si j’pouvais, je m’épouserai ! Nan c’est glauque et complètement con ! Je n’étais pas très sûr de l’endroit où je pourrais trouver la baronne. Il me semblait avoir entendu un jour qu’elle se trouvait dans un salon de massage. Sauf qu’à New-York y’en avait plein ! Du coup, je perdis un temps fou à trouver le bon. Une fois au bon endroit je tombais sur une espèce de colosse trois fois plus grand que moi. Hé beh… Elle ne faisait pas semblant niveau protection ! Je m’annonçais et souhaitais voir la baronne. Big Boy – appelons le comme ça puisque je ne savais pas du tout comment il s’appelait – sembla regarder une espèce de liste avant de m’annoncer d’attendre.

Avec un petit sourire satisfait, je le laissais faire et attendis tranquillement son retour. Big Boy revint me voir et m’annonça que la baronne souhaitait me voir. Un petit sourire satisfait se dessina sur mes lèvres. Elle allait accepter, je le savais ! Je suivis le géant jusqu’au bureau de la baronne. J’entrais dans la pièce et découvris pour la première fois la baronne de la drogue. Wow ! Elle dégageait un putain de charisme. Elle me faisait limite flipper avec son flingue posé sur le bureau. Elle voulait m’intimider ? Si c’était le cas, ben ouais, c’était réussi. Sauf que je n’en démontrais rien. Je m’attendais plutôt à ce qu’elle me demande ce que je voulais sauf qu’au lieu de ça, elle me demanda clairement si j’avais son argent. Merde ! Elle savait qui j’étais ! Mais depuis quand ? On ne s’était jamais vu auparavant donc comment pouvait-elle savoir ?

- Euh… fut la seule chose qui pu sortir de ma bouche.

Apparemment, ma réponse dût lui suffire étant donné qu’elle ne me laissa pas aller plus loin. Elle aussi, elle allait s’y mettre et refuser de me donner ma dose.

- Écoute, j’vais te payer. Dans trois jours j’ai un concert et j’aurais l’argent. Mais là, j’ai vraiment besoin de ma dose alors je me disais que si tu pouvais me faire une petite avance… Ce sera la dernière !
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Montana J. Perez

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyJeu 18 Mai 2017 - 19:38

Souvent, en voyant un cartel de drogue, beaucoup pensaient souvent qu’un homme devait être au sommet de cette chaîne. On imaginait un caïd, plein aux as, imbu de sa propre personne, violant, sans foi ni loi. On imaginait mal une femme à la tête d’un réseau. Cette image servait bien à Montana. Lorsque ses acheteurs découvraient l’identité de la tête de réseau, ils étaient souvent surpris et impressionnés. Montana gérait son business d’une main de fer. Elle n’avait de compte à rendre à personne mais tous devaient lui rendre des comptes. Un peu comme l’homme qui venait d’entrer dans son bureau.

Montana ne le connaissait pas. Du moins, pas personnellement. L’un de ses dealeurs lui avait parlé d’un client. Un client régulier mais qui, parfois, avait du mal à payer. Une fois aurait pu passer inaperçu. Sauf qu’il accumulait ses dettes. Si l’on regardait en terme d’argent, Montana ne perdait pas tant que cela. En fait, cette perte était ridicule comparé à ce qu’elle gagnait. Ses clients étaient variés, ils allaient du clochard accro au crack au gosse de riche consommant de la coke pour faire son intéressant en boîte. Mais ce n’était pas une raison. Si elle faisait une exception à l’homme qui lui faisait face, Montana devrait le faire pour tous les autres ! La jeune femme avait souvent fait des exemples lorsque certaines personnes essayaient de la rouler. Mais ce n’étaient pas des clients aux abois. Montana, malgré sa condition de baronne de la drogue, avait des principes. On ne frappe pas un homme déjà à terre.

Comme toujours, c’était la colombienne qui devait mener la danse. Donc, elle avait parlé la première et avait été droit au but : elle voulait son argent. Mais face à la réponse éloquente de l’homme lui faisant face, Montana comprit rapidement qu’il n’avait pas de quoi payer. Il venait simplement l’implorer pour un nouveau délai… Elle enchaîna alors sans lui laisser le temps d’en placer une.
Montana ne le lâchait pas du regard et soudain, comprenant qu’elle refuserait de lui donner une avance, il se rappela comment utiliser sa bouche. Il se mit à plaider sa cause. Tandis qu’il parlait, Montana se mit à entortiller l’une de ses mèches de cheveux autour de son index d’un air désinvolte, un sourire au coin de la bouche. Tiens, tiens un musicien… Soudain, Montana décida qu’il était temps de jouer un petit peu. Elle prit son arme puis se leva. La colombienne s’approcha de son interlocuteur. Elle chargea son arme puis glissa sa main entre les cuisses de son client. Elle serra sa virilité dans sa paume, juste assez pour qu’il commence à transpirer. Elle positionna son arme sur sa tempe et lui murmura :

« Je pourrais te faire chanter comme une fille toute ta vie, tu le sais… »

Montana resserra sa prise brusquement. Elle constata que malgré ses talons hauts, il gardait quelques centimètres de plus qu’elle. La baronne leva la tête et lui chuchota à l’oreille :

« Je vais te faire confiance, gringo, et te laisser un petit sursis. Mais si tu essayes de me la mettre à l’envers, je te retrouverais et tu risque de te balader avec tes cojones dans un bocal, tu as compris ? »
dit-elle en lui serrant encore plus fort son entrejambe.

N’obtenant pas de réponse claire, Montana, qui se délectait de la situation, relâcha légèrement la pression avant de lui dire :

« Hoche la tête si tu as compris. »


Ce qu’il s’empressa de faire. Elle le laissa alors récupérer son précieux bien. Elle lui tourna le dos pour aller s’asseoir sur le bureau. Bien souvent, les hommes qui lui faisaient face la croyait incapable de faire preuve de force. Montana aimait voir la stupeur dans leurs regards quand ils comprenaient qu’elle n’était ni douce, ni faible. Elle maintenant cette illusion en étant toujours très féminine. Talons hauts, slim ou robe moulants son corps élancé. Un maquillage léger et une coiffure impeccable. Les parfaits ingrédients pour les mener par le bout du nez.
Montana regarda son client reprendre son souffle. S’il pensait qu’elle en avait fini avec lui, il se trompait lourdement. Montana savait qu’il n’aurait pas l’argent avant un moment… Elle avait donc un petit plan en tête pour l’obliger à se dépêcher…

« Comment tu t’appelles, gringo ? »
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyDim 13 Aoû 2017 - 17:52

Bon d’accord, j’avais déconné. J’avais pas un rond et je faisais crédit à la baronne depuis un p’tit moment maintenant mais merde est-ce que c’était une raison de me convoquer comme ça, comme un malpropre ? Beh non ! Surtout que jusqu’à présent j’avais toujours payé mes dettes. En retard p’t’être, mais j’avais toujours fini à payer. Bon là, j’avais surement p’t’être un peu abusé parce que ça faisait un petit moment que je n’avais pas pu payer mes dettes mais en même temps, les dates de concert ne remplissaient pas mon calendrier. Donc je faisais comme je pouvais. Mon dealer voulait pas me donner ma dose alors du coup j’avais décidé de réclamer directement à la baronne parce que j’étais sûr et certain qu’elle comprendrait mon problème. Après tout, elle savait ce que c’était d’avoir un business. Une fois arrivé au repère de la baronne, je tombais sur Big Boy qui m’accompagna jusqu’à celle que j’étais venu voir.

J’avais même pas eu le temps d’ouvrir la bouche pour lui dire ce que je voulais qu’elle me réclama son argent. Alors là… Ça s’annonçait beaucoup plus difficile que ce que je pensais parce que si je comprenais bien, elle n’allait pas du tout m’aider à avoir ma dose. Et merde, fait chier !!! Je plaidais quand même ma cause en lui apprenant que j’allais bientôt avoir sa tune et que je pourrais la payer. D’ailleurs, je lui donnerai tout d’un coup, quitte à ne plus rien avoir ensuite. Bien sûr au passage, j’essayais de négocier une dernière petite avance. J’étais en plein discours quand je la vis se lever et attraper son flingue ce qui eut le don de me clouer le bec. Euh, elle allait faire quoi avec ça ?! ELLE ALLAIT QUAND MÊME PAS ME TUER ? POUR UN PEU DE DROGUE, IL NE FALLAIT PAS ABUSER QUAND MÊME !!!!! Okay Logan, respire !!! Sauf que le bruit d’un cran de sécurité qu’on défait ça fait flipper. Je la regardais s’approcher de moi quand brusquement sa main attrapa ce qui faisait de moi un homme. NOM DE DIEU !!! En temps normal quand une nenette mignonne m’attrapait la virilité, je bandais automatiquement mais là, j’avais tout sauf envie de bander ! Elle me filait plutôt envie de faire dans mon froc… Adieu la virilité au côté de cette femme. Son arme vint se placer sur ma tempe et aussitôt, je me mis à transpirer. Il y avait de quoi en même temps !!

Quand elle me fit part de sa capacité à me rendre eunuque, je hochais bêtement la tête. Oh je n’avais aucun doute de se capacité et j’étouffais un gémissement de douleur quand elle serra un peu plus sa prise. Mon mini-moi allait être douloureux pendant quelques temps si elle continuait comme ça. Et il était hors de question qu’il soit inutilisable non plus ! Je me mordais l’intérieur des joues tandis qu’elle m’annonça me laisser un sursis mais que je n’avais définitivement pas le droit à l’erreur. Je commençais à me plier en deux quand elle serra plus fort et aussitôt, je hochais la tête pour lui faire savoir que j’avais très bien compris le message. Quand elle me lâcha, je poussais un soupir de soulagement et machinalement, mes mains allèrent se poser sur ma virilité. J’avais vraiment envie de regarder dans mon froc pour voir dans quel état elle se trouvait, mais je me retins. La baronne retourna derrière son bureau. Comment est-ce qu’une foutue bonne femme aussi sexy pouvait être aussi mauvaise ?

Quand elle demanda comment je m’appelais, je me redressais, grimaçant légèrement parce que ça me tirait vraiment beaucoup. Elle ne faisait pas semblant celle-là ! J’espérais pour le ou les mecs qu’elle se tapaient qu’elle n’était pas aussi violente parce que sinon, ils n’auraient pas trop l’occasion de terminer.

- Logan, m’dame, répondis-je tant bien que mal.

Je me demandais bien pourquoi elle voulait savoir comment je m’appelais, mais tant qu’elle ne touchait plus à la partie basse de mon anatomie, je m’en foutais. Je pouvais bien répondre à n’importe laquelle de ses questions.
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Montana J. Perez

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyJeu 16 Nov 2017 - 17:34

Montana n’aimait pas cette situation. Comme toute personne gérant un business, elle aimait être payée en temps et en heure. Le jeune homme lui faisant face avait beaucoup de mal à payer. En soi, Montana n’avait rien à craindre. Elle avait un commerce qui marchait très bien, une source de revenus intarissable et des clients partout. Après tout, ce n’était pas les adeptes de sensations plus ou moins fortes qui manquaient. Ce qu’il ne payait pas, un autre pouvait le faire sans problème. Mais Montana ne voulait pas le laisser penser qu’il pouvait prendre des crédits sans son accord. Et elle refusait également que d’autres prennent exemple sur lui.

Alors comme toujours, la belle colombienne avait prit les choses en main. Exit l’image de femme douce et sympathique. Montana, arme en main, s’était approchée de son client. Elle avait chargé son arme, défit le cran de sécurité avant d’attraper la virilité de son client. Elle l’avait menacé de lui arracher ses parties si jamais il ne payait pas à temps. Bien sûr, elle ne le ferait pas. Non, Montana employait les bonnes vieilles méthodes : enlèvement par ses gros bras, passage à tabac, quelques côtés cassées, une lèvre fendue et un œil au beurre noir avant de l’abandonner dans une ruelle étroite et glauque. Mais elle voulait d’abord lui faire peur. Toucher à la virilité d’un homme et vous étiez sûrs d’avoir toute son attention.
Montana le tenait par les « cojones », littéralement et elle ne pouvait pas nier qu’il était gâté par la nature. Tant qu’à faire, elle en profitait pour tâter le terrain. Sauf qu’il n’était pas en état d’apprécier la pression qu’elle exerçait sur son entrejambe. Non, il essayait de faire entrer de l’air dans ses poumons, non sans difficulté. Une fois que Montana fut sûre que son messager était bien rentré et qu’il ne risquait pas d’oublier ses recommandations, elle relâcha ses parties génitales. Montana l’entendit se remettre à respirer, ce qui la fit sourire. Elle aimait ce sentiment de pouvoir lorsqu’elle dirigeait les opérations, même s’il ne s’agissait que d’intimider un client. Mais avec celui-là… C’était différent, et elle adorait ça. Ca l’excitait à vrai dire… Elle lui demanda alors comment il s’appelait, Logan, lui dit-il. Montana lui fit un sourire aguicheur et lui dit :

« Logan… Prénom typiquement américain… Charmant. »


Elle se rapprocha à nouveau de lui, toujours l’arme à la main. Une fois devant lui, elle lui toucha le visage. Puis, sa main descendit sur son torse musclé. Montana se mordit la lèvre sentant une chaleur naître au creux de son bas ventre… Elle allait se le faire sur son bureau ! Retirant sa main, elle passa derrière lui, ouvrit la porte et exigea à son homme de main que personne ne vienne la déranger. Puis elle verrouilla la porte avant de sauter sur Logan. Elle le poussa contre le mur et l’embrassa avec fougue, lui mordant la lèvre inférieure. Puis elle s’écarta essoufflée, un sourire satisfait aux lèvres. Elle posa son arme sur une étagère.

« Je me demande si tu es un bon coup, Logan. Je pourrais alors être généreuse et oublier que tu me dois de l’argent… »


A nouveau, Montana s’approcha de Logan, ayant les mains libres, une de ces mains se logea dans ses cheveux et empoigna ses cheveux tandis que l’autre retourna vers son entrejambe. Mais cette fois-ci, la colombienne se fit bien plus douce et sensuelle. A nouveau, elle captura sa bouche dans un long baiser plein de promesses et d’érotisme. Elle n’avait encore jamais couché avec un américain. Quand elle avait envie de sexe, la jeune femme se faisait souvent une de ses prostituées. Bien qu’elle se considérât comme une hétéro, Montana couchait parfois avec des femmes, surtout depuis qu’elle était à la tête de son cartel. Ces femmes étaient bien plus fiables que les hommes et moins enclins à la jalousie. Mais aujourd’hui, Montana avait envie d’un homme, un vrai. Et vu ce qu’elle avait empoigné l’instant précédant, elle n’hésitait pas sur ce que cet homme pouvait lui faire…
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMer 13 Déc 2017 - 11:21

J’avais joué avec la baronne et j’avais perdu. Bon jouer était un bien grand mot parce qu’en vrai, je n’avais fait qu’accumuler quelques dettes – ou une ardoise – auprès d’elle, mais j’étais sincère quand je disais que j’allais la rembourser. Il fallait juste qu’elle attende que j’ai de l’argent parce que je repartais en tournée et j’allais avoir des tunes pour la rembourser. Mais apparemment, Madame était très dure en affaire et elle voulait son fric tout de suite. Sauf que moi bah j’avais pas un rond en poche donc ça allait être dur pour moi de la rembourser. Non mais vraiment… Dans quelle sorte de merde je m’étais encore fourré sérieux ?! Puis surtout qu’elle ne déconnait pas ! Je me retrouvais menacé d’un flingue alors que franchement, j’étais certain que ce n’était pas la somme que je lui devais qui allait la ruiner ! La Baronne était connue pour avoir l’affaire la plus grande de tout New York. Et moi comme un con j’avais été me fournir chez elle. Bordel qu’est-ce qui faut pas être con parfois !

Malgré la menace du flingue, cela ne semblait pas suffisant à la Dame parce qu’elle attrapa ma virilité et la pressa entre ses mains. Dans d’autres circonstances j’aurais vu ça comme une putain d’invitation, mais bordel, là, quelque chose m’indiquer que ce n’était clairement pas le moment de bander. Et puis je flippais tellement que j’en aurais été incapable ! Et pourtant, je ne pouvais pas nier que la Baronne était pas mal dans son genre. Elle aurait pu être mon type de femme si elle n’avait pas un flingue posé sur ma tempe et mon membre pressé entre ses doigts menacé d’être arraché de son emplacement d’une seconde à l’autre. Autant dire tout de suite que je n’osais même plus respirer de peur de me retrouver eunuque plus rapidement que prévu. Enfin si je respirais… J’avais la respiration haletante de douleur et je ne rêvais que du moment où elle me lâcherait enfin. Je hochais vivement la tête quand elle me le demanda pour signifier que j’avais parfaitement compris son avertissement. Dans une situation pareille qui serait le putain d’idiot qui dirait non ?!

Finalement, après un temps qui me sembla interminable, elle me lâcha et un soupir de soulagement s’échappa de mes lèvres. Mes mains virent automatiquement se poser sur ma virilité. Je ne pouvais pas nier que c’était douloureux et que je crevais d’envie d’aller regarder comment elle se portait, mais ce n’était pas vraiment le moment. Lorsqu’elle me demanda mon nom, je lui répondis aussitôt, sans perdre de temps parce que je n’avais pas envie qu’elle vienne à nouveau malmener ma virilité. Face à sa remarque, j’aurais pu lever les yeux au ciel parce que ouais, Logan c’était typiquement américain, mais on était bien en Amérique non ?! Lorsqu’elle s’approcha à nouveau de moi, je me raidis. Elle n’avait pas lâché son flingue et franchement, j’avais pas envie qu’elle me tire dessus. Sauf qu’elle vint poser sa main sur mon visage et franchement, je n’osais même plus bougé. Ouais, qui l’eut cru ? Une bonne femme me foutait la trouille !! Je sentis sa main descendre sur mon torse. J’osais à peine regarder ce qu’elle faisait. Reste zen Coco… On va peut-être s’en sortir vivant !!

Quand elle retira sa main et passa derrière moi, je ne me détendis même pas parce qu’elle avait toujours un flingue en main et bordel elle n’allait quand même pas me tirer dans le dos ?! J’aurais cru que la Baronne avait plus de figure que ça, mais apparemment je me trompais parce qu’avant que mon cerveau n’analyse la situation, je me retrouvais dans son bureau et entendis vaguement qu’on ordonne de ne pas la déranger. Attendez, attendez deux secondes !!! J’étais enfermé tout seul avec elle ! C’est bon, j’allais mourir ! Sauf qu’au lieu de me pointer avec son arme et d’appuyer sur la gâchette, elle me sauta dessus. Je me retrouvais plaqué contre un mur avec ses lèvres plaquées sur les miennes. EUKAAAAAAY ! Autant dire que je ne savais plus du tout comment réagir. Je pouvais me détendre ou pas encore ? Quand elle mordilla ma lèvre inférieure, je ne pus m’empêcher de de ressentir un frisson d’excitation. Mais pas trop quand même parce qu’elle avait toujours son arme en main… Ah non, elle venait de le poser !

J’étais choqué que la Baronne accepte d’effacer mes dettes si je la satisfaisais sexuellement. MAIS C’EST QUEL GENRE DE SORCELLERIE ÇA ENCORE ?! Attend, attend, attend ! Mon cerveau se mit en branle : si je couchais avec elle et que j’arrivais à la satisfaire, elle effaçait ma dette. Hé mais putain ouais ! C’était un bon compromis ça ! Jusqu’à présent, les femmes n’avaient jamais à se plaindre de mes capacités donc pourquoi est-ce qu’elle ne prendrait pas son pied ? Y’avait moyen !

- Marché conclu, lâchais-je juste à temps avant qu’elle ne pose à nouveau ses lèvres sur les miennes tout en empoignant mes cheveux.

Cette fois-ci je lui rendis son baiser et sa main vint se loger à nouveau sur ma virilité. Je ne pus m’empêcher d’avoir une légère crispation à cause de ce qu’il s’était passé auparavant, mais au lieu de venir me presser comme si elle allait m’arracher une partie de mon anatomie, elle se fit beaucoup plus douce et plus sensuelle et aussitôt, je me sentis durcir. Je n’étais pas contre un peu de ‘violence’ pendant une partie de jambes en l’air, mais me retrouver avec la virilité suffocante, ce n’était pas du tout e genre de trip qui me plaisait ! Mais maintenant qu’on avait le même langage, elle et moi, il y avait moyen qu’on s’entende. Puis, il fallait un peu que je donne tout pour effacer cette foutue dette ! Du coup, j’attrapais la Baronne par les fesses afin d’entourer ma taille de ses jambes et allais la poser sur son bureau. Sa robe était remontée jusqu’à ses hanches. Aussi en profitais-je pour coller mon bassin contre le sien tandis que je quittais ses lèvres pour venir poser ma bouche dans le creux de son cou tout en dégageant ses cheveux bruns.

Mes mains posées jusqu’à présent sur ses hanches se mirent également en action et remontèrent jusqu’à sa poitrine dont le décolleté ne laissait pas vraiment place à l’imagination étant donné qu’il en dévoilait suffisamment pour que je puisse « les voir ». Je caressais ses seins, d’abord, à travers le tissu puis je les fis sortir de son décolleté afin qu’ils me soient révélés. Je quittais son cou pour venir capturer un de ses seins avec mes lèvres et je m’amusais avec la pointe durcie de son sein. Dans mon pantalon, je commençais sérieusement à me sentir à l’étroit. Il semblerait que ma virilité se soit remise de son traumatisme précédent. Heureusement que la Baronne ne l’avait pas cassé parce que sinon, j’aurais vraiment eu du mal à l’utiliser. Puis merde quand même c’était un membre essentiel à nous les hommes ! Enfin bref ! Puisqu’elle ne semblait pas être du genre à passer par quatre chemins, ma main qui n’était pas occupé à caresser l’un de ses seins en parallèle avec ma bouche, alla directement se nicher entre ses cuisses, caressant sa féminité à travers son sous-vêtement que je devinais assez fin.
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Montana J. Perez

Montana J. Perez


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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyLun 25 Déc 2017 - 12:49

Montana avait deux personnalités. Tous la connaissaient sous le pseudonyme de Gypsy ou la baronne. Elle était impitoyable, violente, imprévisible. Tout le monde savait qu’on ne pouvait pas s’attaquer à elle sans représailles. Gypsy avait tout fait pour se créer une réputation de dame de fer.
Les seules personnes connaissant Montana, la vraie, étaient décédées. Montana était loyale et prête à tout pour ceux et celles qu’elle aimait. Mais dans le milieu dans lequel, elle évoluait, Gypsy prenait le pas sur Montana. Seule la partie féministe de Montana restait lorsque la baronne prenait le dessus.

Elle devait s’attaquer aux hommes et leur prouver que sa paire de seins n’était en rien un obstacle pour être plus dangereuse qu’une paire de testicules. D’ailleurs, contrairement à beaucoup d’hommes du milieu, Montana n’avait pas peur de se salir les mains de temps en temps. Il faut dire que certaines tâches ne pouvaient pas être déléguées. Quoi qu’il en soit, la baronne se tenait face à un bel américain qui devait prier pour ne pas finir émasculer. Il ne savait pas que Montana serait prête à le faire si la situation l’exigeait. Elle l’avait déjà fait et elle n’aurait aucun scrupule à le refaire… Généralement, les hommes qui avaient subi cette stérilisation forcée étaient des hommes qui avaient osé lever la main sur ses filles. Qu’un homme méprise les prostituées qu’il fréquentait restait un mystère pour la colombienne. Pourquoi coucher avec des prostituées, si c’était pour ensuite les mépriser ? Ces hommes n’étaient que des sous-merde pour la jeune femme. Si elle pouvait les humilier, elle ne se gênait pas…

Mais dans le cas du joli gringo qui lui faisait face, ce n’était qu’un jeu. Montana voulait lui faire peur, histoire qu’il sache dans quoi il avait mis les pieds. Sauf qu’en réalité, ce petit jeu l’avait excité. Montana aimait que le sexe soit un peu brutal. Rien de sadomasochisme mais, il lui fallait ce petit quelque chose d’un peu plus brutal. Et parfois, dominer un homme était ce qui lui fallait. Un peu comme à présent… La peur de Logan, sa manière de diriger les opérations… Tout ça avait fait naître une douce chaleur au creux de son bas ventre. Elle le sentait, elle voulait coucher avec le beau Logan. C’était tout à son avantage, si elle passait un bon moment, elle laverait son ardoise… Si au départ, il avait eu l’air étonné par son geste, après un rapide deal entre les deux parties, Logan avait rapidement accepté, comprenant qu’il ne pouvait refuser l’offre. Satisfaite, Montana empoigna ses cheveux avant de l’embrasser fougueusement.
Logan devin alors plus coopératif. Il lui rendit son baiser en la soulevant de terre. Montana enroula ses jambes autour de son corps musclé. En sentant la virilité de son nouvel amant contre sa fente, Montana sentit son excitation monter d’un cran. Elle savait qu’elle allait prendre son pied !
Une fois sur son bureau, Logan continua de titiller son excitation. Il commença par déposer des baisers dans le cou de la baronne qui en frissonna d’excitation. Puis après avoir jouer avec ses tétons, il exposa sa poitrine avant d’happer l’une de ses pointes durcies. Montana se mordit la lèvre tout en se cambrant. Soudain, elle sentit les doigts de Logan lui caressait son intimité à travers son string. Elle se laissa aller sur le bureau, écartant un peu plus les cuisses.

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyJeu 25 Jan 2018 - 18:37

Entre me faire émasculer et baiser, excusez-moi, mais il n'y avait pas photo ! Il était hors de question qu'on me prive de ça !! Merde alors, le plaisir charnel c'était quand même la BASE dans la vie, non ? Pourquoi vivre si ce n'est pas pour le plaisir du sexe ? Et dire que certains n'aiment pas ça ! Comment ils font ? Qu'est-ce qu'ils n'aiment pas alors que c'est bon au pas possible ? Eux je ne les comprenais pas. Enfin dans tous les cas, il était hors de question que je subisse un truc pareil ! Alors comprenez bien que j'avais pas un rond dans les poches et que ma seule corde de sortie c'était de donner assez de plaisir à la dame pour m'en sortir. Autant dire que j'allais donner le meilleur de moi-même ! Bon, ce n'était pas tant une corvée que ça parce que fallait bien avouer que la dame était pas mal dans son genre aussi ! Quoi que dans tous les cas, même si elle était laide à souhait, j'aurais donné de ma personne pour cette putain de dette à la con !

Et bien sur, quoi de mieux que de prendre les choses en main. Une fois la surprise passée, je saisie la baronne en la soulevant et en l'asseyant sur son bureau. Elle avait enroulé les jambes autour de ma taille et aussitôt, je me mis au travail. Satisfaire la dame : pas de problème ! C'était dans mes cordes. Je ne savais pas forcément faire grand-chose de ma vie puisque j'étais ce que mes parents appelaient un musicos sans talent, mais je me débrouillais pas trop mal dans le domaine du sexe. J'attaquais sa poitrine, pour commencer. Autant se le dire : j'adorais les seins. Chez une femme, si elle n'avait pas de jolis seins, elle ne valait pas la peine d'être regardé. Ben ouais quoi ! Il fallait bien avoir quelque chose à peloter sinon ce n'était pas drôle. La baronne en avait une sacrée paire et ils avaient l'air pas mal jusqu'à ce que j'en ai la confirmation en dévoilant sa poitrine. Ma bouche alla directement se saisir d'un de ses tétons et je la sentis se cambrer contre moi. Je tenais le bon bout !

Parce que la baronne ne semblait pas vraiment faire attention aux conventions, je ne perdis pas non plus de temps à aller immiscé mes doigts entre ses cuisses, caressant ainsi son intimité au travers de son sous-vêtement qui ne semblait pas être épais au toucher. En tout cas, que la baronne écarte encore plus ses cuisses me prouva que j'allais dans la bonne direction. Du coup, je ne perdis pas de temps à écarter le tissu et à glisser mes doigts contre sa fente. Je savourais l'humidité déjà présente. Je soulevais légèrement ses fesses du bureau pour lui retirer le morceau de tissu et relevais sa jupe jusqu'à ses hanches afin de découvrir son intimité. Sa peau halée fit encore monter un cran mon excitation. Je m'agenouillais face à elle et avançais ses hanches vers le bord du bureau tout en écartant un peu plus ses cuisses. J'y plongeais ma tête, goûtant ainsi à sa saveur intime.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyDim 25 Mar 2018 - 22:50

Montana n’avait jamais été du genre prude. Le sexe ne lui avait jamais fait peur, au contraire. Le sexe était un moyen de pression, une monnaie et un bonus. Si elle devait écarter les cuisses pour obtenir gain de cause, elle n’hésitait pas une seule seconde. Elle aimait le sexe, ses employés, hommes comme femmes, le savaient. Montana n’avait pas peur de coucher avec eux.
Ce jour-là, Montana savait qu’elle venait de trouver un nouvel amant qui n’hésiterait pas à payer en orgasme sa dose. Si le jeune homme se débrouillait bien, Montana était prête à en faire un amant régulier. Elle lui donnerait la drogue qu’il lui fallait et il coucherait avec elle autant de fois qu’elle le voudrait… Le deal était plutôt pas mal. Montana savait que les drogués feraient n’importe quoi pour une nouvelle dose. Proposer à un accro à la cocaïne sa dose gratuitement en échange de sexe… Ils seraient gagnants tous les deux.

Montana se laissa faire lorsqu’il la mit sur son bureau. Elle se laissa encore faire lorsqu’il s’occupa de sa poitrine. Lorsqu’il enfonça ses doigts dans son intimité, Montana ne put retenir un doux gémissement. Son bassin ondula en suivant les mouvements des doigts de Logan. Il retira alors ses doigts, au grand désespoir de Montana qui se sentit soudainement vide. Lorsqu’il lui retira son string, Montana se mordit la lèvre, une excitation nouvelle s’empara d’elle. Elle pensait que Logan allait l’empaler de son membre. Mais lorsqu’elle le vit disparaître entre ses cuisses, Montana ferma les yeux. Sa langue caressa alors la fente de la jeune femme qui se cambra, comme pour la lui offrir. Plus il passait de temps entre ses jambes, plus Montana se disait qu’elle allait le garder dans ses filets.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMer 23 Mai 2018 - 7:22

Mon ardoise et surtout mon appareil génital étaient en jeu et il était hors de question que je loupe une occasion pareille. Et puis, sans vouloir me venter, j’étais quand même bon dans le domaine du sexe. S’il y avait un concours qui existait, je serais sûrement sur le podium des trois derniers concurrents. Sans fausse modestie bien évidemment ! Alors bien évidemment, une fois la surprise passée par la spontanéité de la baronne, je pris les choses en main et l’attrapais afin de la poser sur son bureau. Après tout, c’était à moi de la satisfaire non ? Donc c’était un peu à moi de faire le boulot. Ça me dérangeait pas. Bon, j’aimais bien aussi qu’on s’occupe de moi mais je pouvais m’en passer. C’était pas un souci. Si la baronne avait envie de faire l’étoile de mer sur un lit, ce n’était clairement pas un souci. Quoi que la baronne n’avait pas l’air d’être une femme à s’allonger et à attendre que ça se passe pour autant. Mais elle voulait prendre son pied et je comptais bien lui donner satisfaction.

Je m’occupais tout d’abord de ses seins parce que je devais bien avouer que c’était une de mes plus grandes faiblesses. Ça et puis la drogue… Bien sûr, j’avais conscience que la drogue c’était mal tout ça, tout ça. J’avais entendu plein de discours là-dessus mais qu’est-ce que vous vouliez, j’étais un musicien et qui disait musicien, disait qu’il fallait bien tenir le choc quand c’était nécessaire. Alors fallait bien avouer que parfois, bah on n’avait pas trop le choix. Et forcément il avait fallu que je me frotte à la pire des dealeuses : la baronne. Je savais bien qu’en allongeant mon ardoise, elle allait finir par me tomber dessus et c’était arrivé. Par contre, mis à part me voir mort, je ne voyais pas du tout d’autre issu pour ma vieille peau, mais apparemment, il y avait une issue de secours pour moi et je comptais bien la saisir.

Je ne perdis pas plus de temps que ça à glisser mes doigts dans le creux de son intimité et un gémissement s’échappa des lèvres de la baronne. Mais il y avait plus que ça car son bassin se mit aussitôt en marche. Je m’atterrais à cette tâche jusqu’à ce que je finisse par lui retirer son string. J’avais eu une autre idée. Après tout, il fallait bien que je me montre à la hauteur si je voulais effacer mon ardoise. Une fois le petit morceau de tissu retiré, je fis remonter sa robe jusqu’à ses hanches et la fis glisser jusqu’au bord du bureau avant de m’agenouiller face à son intimité. Je posais ma bouche sur son intimité et entrepris de jouer avec ce fruit défendu. Heureusement pour moi, la baronne avait exactement la réaction attendue. Pour l’instant, je gagnais des points et ça m’allait parfaitement. C’était bien ce qu’elle attendait de moi après tout, non ?

De plus en plus à l’étroit dans mon jean et mon boxer, je finis par craquer et me redressais pour retirer ma ceinture et déboutonner mon jean afin de libérer mon membre engorgé qui ne réclamait qu’un peu d’attention et soulager cette tension qui allait finir par me rendre dingue. Bien sûr, je ne comptais pas demander à la baronne de m’aider dans ce domaine. Je n’étais pas réellement en position de demander quoi que ce soit. Enfin pas pour l’instant en tout cas. Mais autant être honnête, je n’avais actuellement pas besoin de motivation pour satisfaire la baronne. Fallait être impuissant pour avoir besoin de motivation devant elle. Sans plus attendre, j’entrais en elle et un soupir de soulagement s’échappa de mes lèvres. Bon Dieu c’que c’était bon ! Je me mis aussitôt en mouvement, me frayant progressivement un chemin plus profond dans l’intimité de la baronne.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyDim 19 Aoû 2018 - 21:42

Montana se félicita intérieurement. Proposer à Logan d’effacer son ardoise en lui donnant un orgasme était l’une de ses meilleures idées. Il faut dire qu’il avait l’air plutôt doué… Et puis, lorsqu’elle lui avait fait peur en attrapant ses bijoux de famille, elle avait bien senti qu’il était bien monté. Et elle avait eu immédiatement envie de lui… Bien qu’il lui dût de l’argent, la baronne avait très rapidement remarqué qu’il était très beau… Contrairement à beaucoup de ses compatriotes latinas, Montana n’était pas du genre focalisée sur les origines. Si un homme était beau et l’intéressait, Montana fonçait. Blanc, noir, métisse. Américain, colombien, brésilien, nigérien ou japonais, cela n’avait aucune importance aux yeux de l’Araignée. C’est ainsi qu’elle avait connu de nombreux amants de toutes origines mais avec le même point commun, ils étaient excellents dans ses draps.

Lorsque Logan se mit à vénérer sa poitrine, Montana se cambra en soupirant. Mais lorsqu’il pénétra dans son intimité avec ses doigts, c’est un gémissement plein de promesses qui s’échappa de la bouche de la baronne. Elle ferma les yeux et serra les poings. Il avait des doigts magiques, Montana s’envolait loin de son bureau ! Quand il retira ses doigts, Montana ouvrit les yeux pour comprendre ce qui allait suivre. Elle pensait qu’il allait l’empaler de son membre mais non… Il entreprit alors de la rendre folle de la plus exquise des manières, Logan se mit à goûter sa féminité. Montana se mordit la lèvre pour retenir le petit cri qui allait sortir. Sans se retenir, la baronne laissa son bassin onduler pour suivre le rythme de son client.

Montana gémissait de plus en plus fort. Elle n’avait pas peur du bruit. Son bureau avait été insonorisé, il s’y passait tellement de chose, elle refusait de prendre le risque qu’on puisse l’entendre de l’extérieur. Et quand bien même on aurait pu… Elle s’en foutait. Ses vigiles l’avaient déjà entendu plus d’une fois durant ses ébats. Alors, Logan se décida à passer aux choses sérieuses. Il la pénétra enfin. Montana lâcha un soupir de plaisir et murmura :

« ¡Dios mío! »

La baronne plongea l’une de ses mains dans les cheveux de Logan pendant qu’il la pénétrait de plus en plus profondément. A chacun de ses coups, elle gémissait un peu plus fort. Elle aimait le sentir aussi profondément en elle, elle se mordit la lèvre inférieure.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMar 25 Sep 2018 - 7:20

Là, je n’avais pas le choix. Il fallait que je donne tout ce que j’avais. Ma dette devait être effacée et si en prime je pouvais aussi prendre mon pied, bah ma foi, c’était pas moi qui allais dire non ! Puis même si la baronne foutait la trouille, je pouvais pas dire non plus qu’elle était pas bandante ! La preuve malgré la trouille qu’elle m’avait foutu, j’avais quand même mon mini moi au garde à vous. Même si je prenais le temps de faire par étape, je pouvais pas dire que je prenais mon temps non plus. Fallait que je lui prouve ce que je pouvais faire. Peut-être qu’à une autre occasion, j’aurais peut-être un peu plus de temps pour approfondir les choses. Mes doigts dans le creux de son intimité avaient très vite été remplacés par ma langue. J’avais pris le temps de savourer sa féminité, agaçant ce petit point sensible, lui arrachant quelques réactions de plaisir qui me prouvaient que j’étais sur la bonne voie.

Sauf que plus je lui donnais du plaisir, plus je me sentais à l’étroit dans mon boxer et mon jean. Alors après quelques instants de traitement, je quittais l’intérieur de ses cuisses – un peu à regret quand même – et je libérais mon membre engorgé de sang qui ne demandait qu’une libération. Sans plus attendre, je la pénétrais, laissant échapper un soupire de soulagement une fois dans la douceur de son intimité. Son exclamation m’arracha malgré tout un sourire en coin. Ouais, j’étais sur la bonne voie ! Toujours sans prendre mon temps, je commençais à effectuer des mouvements de hanche, allant et venant en elle, appréciant de sentir sa moiteur autour de mon chibre. Je fis glisser un peu plus ses hanches contre le bord de son bureau afin d’avoir un accès complet à son intérieur. J’écartais au passage un peu plus ses cuisses, me laissant plus de place de manœuvre tandis que mes hanches allaient claquer contre les siennes au fil de mes mouvements de bassin.

Cette position me permettait d’aller beaucoup plus loin dans le creux de son intimité et j’entendais bien par les gémissements de la baronne que ça lui plaisait. A moins qu’elle soit bonne simulatrice, ce dont je ne doutais pas un seul instant. Mais j’étais confiant dans mes capacités et je savais que ce que j’entendais était vrai et non le produit d’une simulation. J’observais son visage, ses yeux à moitié clos, sa bouche ouverte où s’échappait des gémissements à chacun de mes mouvements de bassin en elle.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyDim 23 Juin 2019 - 19:14

Montana était du genre à obtenir ce qu’elle voulait. Pour cela, elle n’avait peur de rien ni personne. Quand Logan était entré dans son bureau pour obtenir un délai supplémentaire pour le paiement de ses dettes, Montana avait été, au départ, très contrariée. Si elle lui accordait ce délai, d’autres voudraient faire de même, pire, on la verrait comme étant faible. Être une femme dans le milieu de la drogue n’était pas une chose facile. Avant même qu’elle n’ouvre la bouche, elle était jugée et rabaissée par le sexe opposé. Mais ça, c’était avant qu’ils ne découvrent qui était la Gypsy, la baronne. Pour en arriver là, elle n’avait pas hésité à se salir les mains en tuant ses ennemis elle-même. Laisser passer la dette de Logan ne pouvait se faire que s’il y avait une contrepartie. Et Montana avait trouvé le marché idéal. Logan ne l’avait pas encore compris mais il allait devenir le plan cul régulier de la baronne. Chaque fois qu’elle aurait envie de tirer un bon coup, Montana ferait appel à Logan et elle savait qu’il viendrait. Non seulement parce qu’il ne refuserait jamais de coucher avec Montana mais en plus parce qu’elle lui agiterait sous le nez sa carotte : une consommation de drogue gratuite.

Logan savait donner du plaisir à une femme, c’était indéniable. Lorsqu’il avait glissé sa langue jusqu’à sa fente humide, Montana avait compris qu’elle avait fait le bon choix. Il savait utiliser aussi bien sa langue que ses doigts. La baronne était si chaude qu’elle s’étonnait presque son amant ne recule pas en rétorquant qu’elle l’avait brûlé. Ses cuisses se mirent à trembler tant le plaisir l’envahissait. Elle ferma les yeux pour s’abandonner à ses caresses lorsqu’il se retira. Montana ouvrit les yeux pour voir ce qu’il comptait faire. Logan libérait son membre pour enfin la pénétrer. Un gémissement s’échappait alors entre les lèvres entrouvertes de la baronne. Elle savait qu’il était bien monté mais elle ne pensait pas qu’il la remplirait aussi bien. Elle avait glissé ses mains dans les cheveux épais de son client. Elle s’y accrochait fermement tandis qu’il l’empalait un peu plus à chaque coup de reins. Des gémissements de plus en plus forts se firent entendre. Montana n’avait pas peur du bruit qu’elle pourrait faire, son bureau était insonorisé. Ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait prendre sur ce bureau.

Logan déplace légèrement la jeune femme, ainsi, elle put sentir sa virilité la pénétrer un peu plus profondément. Elle serra les poings en se mordant la lèvre et en se cambrant légèrement. Alors qu’il continuait de la labourer de coup de reins toujours plus puissants, Montana entoura Logan de ses longues jambes fuselées puis elle murmura :

« Plus fort, plus fort… »


Elle aimait le sexe sauvage, brut et dur. Le sexe tendre n’avait jamais été sa tasse de thé, pas même avec son défunt mari. N’ayant aucun tabou, Montana tentait tout ce qui se présentait à elle.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyJeu 19 Sep 2019 - 14:12

L’effet que j’procurais à la baronne ne m’échappa pas. J’avais bien senti ses jambes tremblées, signe d’un plaisir culminant prêt à atteindre le point de non-retour, mais je m’étais arrêté avant qu’elle n’explose dans ma bouche. Pas que ça me gênerait, non ! Je pensais surtout au fait que je devais surtout encore sauver la peau de mes couilles et que je ne pouvais pas la laisser obtenir son orgasme maintenant. Pas cette fois. Peut-être que si un jour cette occasion de coucher avec elle pour effacer une autre ardoise se présentait, je lui offrirai autant d’orgasme qu’elle voudrait, mais aujourd’hui, je comptais bien lui offrir le plus dévastateur qu’elle n’aura jamais connu auparavant ! Ouais, j’ai de l’ambition, ouais, je me vante, mais c’est parce que je peux ! L’orgasme qu’elle aurait, ce serait avec ma hampe dans son intimité, et pas autrement.

La chaleur et la moiteur de sa féminité accueillirent mon membre de la plus délicieuse des façons. Mon traitement précédent mêlant mes doigts et ma langue avait eu son petit effet parce qu’elle était bien prête à m’accueillir. Je n’eus aucun effort à faire pour que la base de mon membre vienne heurter l’entrée de son intimité. Sa main agrippée à mes cheveux m’excitait tandis que je l’empalais à chacun de mes coups de reins. Les gémissements de la baronne se faisaient de plus en plus fort et je m’autorisais à la déplacer à nouveau en glissant ses hanches plus en avant et en écartant un peu plus ses cuisses afin de me laisser un champ totalement libre. Mon regard détaillait le moindre élément de son corps. De ses yeux clos, à sa bouche ouverte où s’échappait un nombre incalculable de puissants gémissements, en passant par sa poitrine dont les seins bougeaient au fil de mes mouvements de bassin, jusqu’au point de jonction entre nos deux corps. Je regardais mon membre entrer et ressortir d’elle à une cadence soutenue jusqu’à ce que ses paroles me fassent relever les yeux vers elle.

« Plus fort. » Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd ! J’attrapais ses hanches afin de la maintenir en place tandis que je me mis à la labourer encore plus puissamment, à un rythme quasi frénétique. Nos hanches claquaient les unes contre les autres et son bureau se mit également à bouger sous la puissance des coups de butoir que j’offrais à la baronne. Je comptais bien la faire hurler de plaisir. Je ne m’estimerai pas satisfait tant qu’elle n’aurait pas atteint ce point culminant. J’étais le type d’homme qui tenait la cadence. Je pouvais faire ça pendant des heures, et me retenir moi-même de jouir si nécessaire. La baronne jouirait avant moi ! J’en faisais une affaire personnelle !
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMar 9 Fév 2021 - 13:47

Montana, alias Gypsy, avait décidé en quelques minutes que le gringo qui lui faisait face serait son nouveau joujou. Et puisqu’il avait une dette envers elle, Montana allait profiter de cette petite faiblesse. Cet homme, Logan, deviendrait son joujou. Elle l’appellerait chaque fois qu’elle aurait envie d’un peu de piment dans sa journée. Et elle savait comment le tenir, Montana avait tout ce dont Logan avait besoin : sa drogue et du sexe. Elle allait continuer à lui fournir de la drogue, toute la drogue dont il avait besoin. Peut-être plus qu’il n’en demandait. Elle le tiendrait grâce à ça puis, elle l’appellerait pour payer la note. Il n’aurait pas le choix, Logan céderait car Montana lui offrirait ce qu’il y avait de mieux. Et puis, quel homme ne rêverait pas de payer sa dose en nature ? Montana était une très belle femme, très sexy et n’avait aucun tabou.
Après avoir préparé sa fente à recevoir son membre, Logan la pénétra avec une vigueur qui la fit soupirer de contentement. C’était ce qu’elle attendait depuis qu’il avait commencé à titiller son intimité. Il la remplissait, bien plus qu’elle ne l’aurait cru. Ses coups de butoir étaient puissants, elle le sentait au fond d’elle-même. Plus il s’enfonçait en elle, plus la baronne laissait des gémissements s’échapper. Pourtant, Montana savait qu’il ne se donnait pas à fond, elle avait envie qu’il se lâche totalement. Il le fallait, sinon, elle se lasserait bien vite… et là, elle lui demanderait des comptes. Pour son bien, il fallait qu’il lui en donne plus, beaucoup plus. Elle lui murmura alors ces deux mots : plus forts. Comme si elle avait appuyé sur un bouton, son nouvel amant s’accrocha fermement à ses hanches pour la labourer avec plus d’ardeur, plus de fougue. Montana hurla son plaisir. Oui, la baronne prenait son pied. Elle s’agrippa aux avant-bras de Logan et le griffa. Plus il lui donnait ce qu’elle voulait, plus elle le griffait.

« Oh oui, mierda, c’est bon ! »

Alors qu’il s’abîmait en elle, Montana ne put contenir le flot de mots espagnols sortir de sa bouche. Elle sentit cette chaleur habituelle, celle qui précédait l’orgasme. Mais cette fois, c’était différent des autres fois. Il semblait bien plus fulgurant, plus puissant. Mais, il ne viendrait pas sans un peu d’aide. Elle tendit la main et caressa les cheveux de Logan avant de les lui tirer. Sa tête bascula vers l’arrière. Son autre main glissa entre leurs corps, là où ils fusionnaient. Elle titilla son bourgeon puis descendit encore un peu plus et caressa les bourses de Logan. Elle les pressa, d’abord une légère pression avant de les serrer un peu plus fort dans ses mains.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyLun 7 Mar 2022 - 14:13

Y’a pas à dire c’est quand on vous fout dans un ultimatum de première catégorie que dans notre cerveau de mec on se rend compte d’à quel point on peut être dans la merde. Mais la baronne me fait presqu’une fleur en m’offrant cet espoir de rembourser ma dette de plusieurs milliers de dollars à coup de boutoirs. Evidemment que j’allais pas dire non ! Ca aurait été trop con de ma part ! Et puis quel idiot aurait refusé, hein ? Pas moi en tout cas. Mais j’suis sûr que j’ai quelque chose de plus que les autres idiots : j’suis bon dans ce domaine ! Ah si, si ! Pour le coup, je suis en droit de me vanter. A côté de moi, le marquis de sade peut aller se rhabiller ! Et j’en ai ici la preuve : la baronne, cuisses largement écartées, penchée sur son bureau, pousse des gémissements dignes du traitement qu’elle reçoit. Le bureau tremble sous mes accoups. Mais je m’en fous, ça m’empêche pas d’accéder à sa demande lorsqu’elle me demande de la prendre plus fort. Nos peaux claquent l’une contre l’autre, résonne dans la pièce sans la moindre honte, tandis que mes doigts s’enfoncent de plus en plus dans ses hanches pour la maintenir. J’sais que dans l’histoire c’est moi qui suis en train de me faire littéralement baiser - parce qu’on joue pas avec une baronne sans perdre la partie - mais j’aime la savoir figée sur moi, obligée de subir chacune de mes poussées sauvages. Agrippée à mes bras, je sens ses ongles s’enfoncer dans ma chair. Le plaisir est tellement grand que je ne ressens absolument aucune douleur. Toutes mes sensations sont concentrées à un tout autre endroit de mon corps.

Un sourire en coin se dessine sur mes lèvres quand je l’entend s’exclamer dans un mélange d’anglais et d’espagnol. Et je continue. Je ne ralentis rien. Ma tête n’a pas d’autre choix que de se pencher vers l’arrière lorsqu’elle agrippe mes cheveux de ses doigts. Encore une fois, aucune douleur. Je la distingue néanmoins porter son autre main vers son centre où elle taquine de ses doigts son petit bourgeon qui au dernière nouvelle était dur comme le diamant sous ma langue. Putain, si seulement je pouvais la baiser et la lécher en même temps, je le ferais. Et puis, soudain, le spectacle de ses doigts sur ses lèvres se termine et sa main chemine encore plus bas. Mes couilles se contractent à peine elle les touche, et je manque de jouir sur le champ, mais je me retiens parce qu’il est hors de question que je le fasse avant elle. C’est mort ! Alors je lâche ses hanches d’une de mes mains, et les pose sur son clito. A défaut de le lécher, je peux au moins faire ça. Sans davantage de cérémonie, je maltraite son bouton de plaisir sans ralentir mes pénétrations dans ses chairs humides.
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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyJeu 11 Aoû 2022 - 19:53

Montana avait toujours eu tout ce qu’elle voulait, du moins, quand elle avait été en âge de pouvoir avoir ce qu’elle désirait. À présent, c’était Logan qu’elle voulait. Il avait une énorme dette envers elle, et comme tout drogué en manque, il était prêt à tout pour effacer son ardoise. Elle avait alors décidé d’en profiter… Mais n’allez pas croire que cette femme manquait de sexe ou de partenaires ! Montana aurait pu se trouvait un partenaire parmi ses contacts mais elle n’avait pas confiance. Elle avait tué son propre mari car il était bien trop instable, Montana savait qu’il finirait par la trahir. Elle n’avait eu aucun remord. La culpabilité n’était pas un sentiment qu’elle connaissait. La jeune femme avait perdu son frère jumeau à l’âge de 16 ans, la mort avait toujours été présente dans sa vie. Personne n’échappait à cette fatalité alors pourquoi se sentir coupable ?
Quand elle avait envie de sexe, Gypsy se tournait vers ses prostituées. Certaines étaient lesbiennes ou bisexuelles donc elle les payait un peu plus pour qu’elles puissent s’amuser ensemble. Mais à ce moment, elle avait envie d’un homme, bien monté qui pourrait lui donner ce qu’elle attendait. Logan était la personne toute désigné pour remplir ce rôle. Il était accro à quelque chose et elle avait les moyens d’assouvir sa dépendance. Et puis, les hommes n’hésitaient pas quand il était question de sexe facile. Elle le tenait entre ses griffes. Quand elle lui avait proposé son marché, Montana savait que Logan accepterait. Payer sa drogue avec du sexe, quel homme dirait non ??

Rapidement Logan s’était attelé à sa tâche, les gémissements puis les cris de sa partenaire étant la preuve de ce qu’il savait faire. Après avoir joué avec son intimité, Logan l’avait soulagé en la remplissant. D’abord ses coups étaient doux mais quand la baronne lui intima l’ordre d’y aller franchement, Logan se lâcha complètement, pour le plus grand plaisir de Montana.
Au départ, la jeune femme s’était montrée passive, recevant les coups de butoir. Mais elle reprit un peu le contrôle, d’abord en s’agrippant à ses cheveux puis en saisissant ses bourses et en les pressant dans son poing. Quand elle le sentit redoubler d’efforts, elle se mordit la lèvre, retenant un cri qui se ferait entendre dans tout l’établissement. Mais Logan, n’en avait pas fini avec elle. Il pressa alors son bourgeon, rendu sensible par sa langue. Et c’était comme si les digues retenant son plaisir cédèrent totalement. Montana cessa de mordre sa lèvre et laissa son orgasme s’échapper. Elle tenait encore les bourses de son client mais elle les lâcha pour s’agripper férocement à ses bras. Il valait mieux pour lui qu’elle ne les ait pas en main. Vu la force qu’elle avait eu dans ce moment d’extase pur… Les parois de sa féminité se contractaient contre le membre de Logan en cadence avec les vagues de plaisir qui la submergeaient.

Quand enfin elle retrouva ses esprits, Logan s’était laissé tomber sur elle, tout aussi essoufflé qu’elle. C’était le meilleur paiement de sa vie. La baronne était transpirante, à bout de souffle mais repue de sexe. Logan était toujours en elle mais ça ne la dérangeait pas, elle aimait la sensation que lui procurait son membre. Elle était pressée de remettre ça… et elle savait exactement comment y parvenir.

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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMar 11 Oct 2022 - 6:56

Je donne tout. Mais vraiment. Je crois que je n’ai jamais autant donné de toute ma vie jusqu’à ce jour. Comme quoi, se dire que si je merde je risque de crever sur un trottoir comme un clébard abandonné, ça motive. C’est pas comme ça que j’veux finir ma vie. C’est la gloire et l’argent dont je rêvais quand j’ai commencé à devenir musicien et à faire des tournées un peu partout. La drogue, c’est devenue mon option à succès. Plus de fatigue, je peux carburer comme un malade. Ma dernière option, ce serait de me faire retirer la ratte ! Pourquoi pas après tout ? Je pourrais la revendre au marché noir ? J’y songerai, si un jour je n’ai plus d’autre possibilité. Pour l’instant, la baronne m’offre un effacement de dette. A condition que je la fasse décoller comme jamais.

L’antre chaud et humide de la baronne accueille ma hampe presqu’encore mieux que personne. Mes mouvements sont fluides, brutaux. Le claquement de nos peaux l’une contre l’autre résonne dans tout le bureau ainsi que ses gémissements qui me donnent envie de plus. Elle reçoit chacun de mes coups de boutoir comme si je lui filais du pain béni. Elle me laisse faire. Je sais qu’elle m’offre passivement l’occasion de faire mes preuves ; et putain, je n’ai pas trop de doute sur ce que je lui offre. Ses gémissements et leur intensité sont impossibles à simuler. Même pour une bonne actrice.

Je sers les dents et me contracte lorsqu’elle empoigne mes couilles dans le creux de sa main. Mon rythme s'accélère. Le bureau bouge. J’irais pas dire qu’il va jusqu’à se promener, mais presque. Une de mes mains relâche ses hanches et mes doigts viennent agacer son clito dont la dureté est une preuve du plaisir qui la saisit. Je regarde la baronne céder et cesser de lutter contre l’orgasme qui la traverse. Son cri pourrait m’arracher un rictus si je n’étais pas aussi concentré à continuer ma besogne pour lui offrir un maximum de plaisir. Je la sens me relâcher et venir s'agripper à mes bras. Je sens ses ongles s’enfoncer dans ma peau, mais je m’en moque parce que j’ai trop d’endorphine dans le corps pour avoir mal. Plus tard, la douleur. Et puis finalement, je me déverse en elle. Ma queue profondément nichée dans son antre humide, je la remplis.

Ce n’est que pendant ma descente que je lâche ses hanches que j’ai tenu à nouveau entre mes deux mains. Toujours enfoui en elle, je m’affale presque sur elle. Mais je me retiens. Parce que je ne voudrais pas tout foutre en l’air en osant un pas de travers. Mon coeur tambourine furieusement contre mon torse. Lui aussi a besoin d’un moment pour se remettre. Je relève la tête vers la baronne et lui demande :

Satisfaite ?
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Montana J. Perez

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyVen 15 Sep 2023 - 20:35

La baronne avait déjà conclu des accords avec du sexe. Etre une femme dans le monde de la drogue n’était chose aisée. Bien souvent, elle n’était pas prise au sérieux, vue comme étant seulement bonne à se faire prendre. Elle avait alors fini par inverser la tendance, usant du sexe pour obtenir ce qu’elle voulait. Tantôt obtenir une marchandise, tantôt distraire un ennemi pour mieux l’éliminer, Montana usait de ses charmes contre l’autre sexe. Elle n’avait aucun état d’âme envers eux. Chacun de ces hommes l’auraient tué s’ils pensaient y gagner quelque chose. Et elle était persuadée que certains y avaient certainement pensé.

Mais aujourd’hui était une première, Montana avait une nouvelle conquête : un client. Mais pas n’importe lequel. Ce client avait une dette envers, une grosse dette. Une idée nouvelle avait alors traverser l’esprit de la jolie colombienne. Son client allait la rembourser, oh oui, mais pas comme il le pensait. En échange de l’effacement de sa dette, Logan devait lui prouver qu’il savait se servir de sa virilité. Montana savait qu’un homme, même sous la menace d’une arme, pouvait bander comme un âne. Le jeune homme avait accepté l’offre, conscient de la chance qu’il avait. S’il avait été face à un homme, peut-être qu’il se serait fait tabasser, dépouiller et jeter dehors sans ménagement. Et ça, ça serait si Logan avait de la chance. Dans le pire des cas, il finirait avec les rotules brisées ou une balle dans une jambes… Généralement, les mauvais payeurs n’étaient pas tués. S’ils meurent, qui paiera leurs dettes ? Ils étaient tués quand plus aucune solution n’était possible…

Leur échange était intense, passionné… un brin violent, même. Mais c’est comme ça qu’elle aimait le sexe. La douceur ne l’attirait absolument pas. C’était même ennuyeux pour la jeune femme. Au départ, Logan semblait effrayé mais encouragé par la baronne, il se mit à lui offrir les coups de butoir tant attendus. Elle avait retenu ses cris… mais rapidement, Logan trouva le moyen de la faire crier. Montana n’était pas pudique, elle n’avait pas peur que l’on entende les signes de son plaisir. Après tout, son salon était en réalité un bordel qui accueillait des prostituées et leurs clients. Et puis, il lui était déjà arrivé de coucher dans le lieu… Les avantages de proprio !

Quand enfin elle atteignit le point culminant, Gypsy sentit ses cuisses trembler, sa féminité se resserra autour de la chair brûlante de Logan. Un cri s’échappa de sa bouche, résonnant dans la pièce. Ses ongles longs et vernis s’étaient enfoncés dans les bras de son amant. Elle sentit également que, comme elle, Logan avait eu son orgasme, sa semence se déversant en elle. Vaguement, elle se dit que bien heureusement, elle prenait la pilule. Elle ne voulait pas d’enfants, surtout pas d’un client, qui plus est !
Légèrement affalé sur elle, le gringo à la gueule d’ange relève la tête et lui demande si elle est satisfaite. Montana ne répondit pas immédiatement, elle reprenait son souffle. Elle s’humecta les lèvres et lui répondit d’une voix encore essoufflée, dans un chuchotement :

“Je pense que oui…”

Non, elle en était sûre. Elle était satisfaite, simplement, elle ne pouvait pas lui dire. Sa fierté l’en empêchait. Et puis, son idée était que le jeune homme revienne et pour cela, la jeune femme avait une idée.
Lorsque Logan se releva, elle l’imita. Les mains encore légèrement tremblantes, elle se rhabilla, rajustant le décolleté de sa robe et ramenant sa robe sur ses cuisses. Elle vit son string qui avait fini au sol, un rictus satisfait se dessina sur ses lèvres charnues. Oh oui, celui-là, elle avait bien l’intention de se le garder. Elle se pencha et ramassa le morceau de dentelle rouge et le rangea dans son sac. Elle avait toujours de quoi se changer au travail. Elle comptait prendre une douche après le départ de son nouveau jouet.

“J’ai une proposition pour toi, gringo… Ta dose gratuite, plus besoin de payer. Je te fournis en poudre à mes frais. En échange, tu es à moi… Quand je t’appelle, tu rappliques. Chaque fois que j’aurais une envie de baiser, tu seras là pour donner ce que je veux… Qu’est-ce que tu en dis ?”

Montana se mit face à Logan. Malgré ses talons haut, il la dépassait encore légèrement. Elle passa sa langue sur sa lèvre supérieure. De l’index, elle passa son doigt dans le col du t-shirt de l’homme qui venait de lui donner un orgasme. Elle caressa sa peau de la pulpe de son doigt. Puis, son index descendit jusque sur son torse, où elle posa sa main.
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Logan S. Carter

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MessageSujet: Re: You better have my money, Logan...   You better have my money, Logan... EmptyMar 19 Sep 2023 - 12:34

Ce que la baronne veut, la baronne reçoit. J’accède à chacun des ordres qu’elle me demande. Je lui obéis sans rechigner, la perspective de voir mes dettes effacées est bien trop alléchante pour que je ne lui offre pas mon maximum. Et puis, c’est aussi une histoire de fierté masculine. Quel homme serait content d’apprendre qu’il est incapable de faire grimper qui que ce soit au rideau ? Bien sûr, ça existe. Et certains se sont sûrement pris des revers de médaille qui ont profondément heurté leur égo parce que, soyons honnête, des mecs qui pensent qu’ils baisent comme des dieux, ils sont nombreux ! Mais j’sais que je ne fais pas parti de ces gens-là. Je suis hautement conscient de mes capacités. Je sais ce que je vaux. Et putain, ouais, je veux bien m’en vanter. Qu’on vienne me prouver le contraire si jamais les gémissements de Montana sont faux. Personne ne s’exprime comme ça pour simuler. C’est impossible. A moins d'être une bonne actrice. Mais j’crois pas que la baronne soit fausse à ce point. Si je ne la satisfaisais pas, elle m’aurait sans doute arrêté avant, plutôt que de me laisser la conduire jusqu’à l’orgasme. Ses cuisses tremblantes, refermées autour de mes hanches, et ses ongles, profondément plantés dans la chair de mes bras, m’arrachent un sourire de satisfaction. Pour un peu, j’aurais presque l’impression que c’est moi qui domine. Mais je sais parfaitement que dans l’histoire, c’est moi qui me ferais baiser. Ses parois chaudes et humides se resserrent sans vergogne autour de mon chibre qui continue d’aller et venir en elle dans le rythme soutenu qu’elle m’a imposé par sa volonté. Une langue de feu ardente lèche le bas de mes reins lorsque l’orgasme me frappe à mon tour. Je me déverse en elle, mon membre enfoncé jusqu’à la garde et mes doigts agrippés à ses hanches.

Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits, et ma respiration. Est-ce que je viens de me payer une de mes meilleures parties de baise de ma vie ? Oui. Mais là, il ne s’agit pas de moi. Il s’agit de Montana. J’ose plonger mon regard dans le sien encore voilé par l’orgasme. Mon cœur tambourine dans ma poitrine le temps qu’elle trouve quoi me répondre, et je retiens mon sourire satisfait lorsqu’elle me souffle sa réponse. Elle est finement réfléchie. La baronne n’a lâché prise que le temps de prendre sa dose de volupté. Maintenant que c’est chose faite, elle redevient cette femme à la tête de son trafic. Je hoche simplement la tête avant de m’écarter d’elle et de quitter son antre encore chaud et humide. D’un geste mécanique, je boutonne mon jean, que je n’ai pas pris la peine de retirer. Du coin de l'œil, j’observe Montana descendre de son bureau et réajuster sa robe légèrement malmenée. Lorsque je la vois se pencher pour ramasser son string et finalement le balancer dans son sac, je sens mon membre tressauter. Putain, à croire que j’en ai pas eu assez ! Quand elle se tourne vers moi, je fais style de rien, mais je suis bien obligée de reporter mon regard sur elle parce qu’elle s’approche de moi et me fait part de sa proposition.

Ça me va, je réponds sans réfléchir.

J’sais bien que je m’embarque dans une histoire à la con, mais putain, c’est bien ma chance ! De la baise contre de la drogue, le tout gratuitement. Quel connard irait dire non ? Puis, la baronne est loin d’être laide, même si j’avoue que quand elle marche droit vers moi, comme ça, elle fait flipper. Mais on est combien, aussi, à avoir le droit à ce genre de proposition ? Peut-être que je me fais des films, et surtout, la baronne fait bien ce qu’elle veut, mais j’suis pas sûr qu’elle efface les dettes de tout le monde comme ça. Puis, c’était très agréable de la sauter alors pourquoi je me priverai de recommencer si l’occasion se présente ?
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