Dirty New-York

Qui a dit que le linge sale se lavait uniquement en famille ?
 
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 If I had you, life would be a party it'd be ecstasy

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Noa Van Der Staal

Noa Van Der Staal


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MessageSujet: If I had you, life would be a party it'd be ecstasy   If I had you, life would be a party it'd be ecstasy EmptyMar 5 Avr 2016 - 7:17





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Noa Van Der Staal
ft. Daniel Sharman

~ you are my ecstasy ~


Bonjour et bienvenue à New York, ville la plus célèbre des Etats-Unis et connue pour ses élites. Avant de vous laissez faire le tour de la ville, nous avons besoin de quelques informations à votre sujet. Premièrement, comme vous appelez vous ? Noa Van Der Staal Bien, maintenant il nous faut votre date et lieu de naissance, ainsi que votre âge: 24 ans un 30 mars à Bruxelles, en Belgique Parfait, êtes-vous célibataire? Marié, père d'une équipe de football... Quoi que non, pas l'équipe de football ! Il est tellement possessif envers Marisa qu'il ne serait même pas capable de la partager avec un enfant... mais marié avec elle, il s'y voit déjà. Il y est déjà... En réalité ? Célibataire... Avez-vous un métier? Si oui, lequel? Etant donné que monsieur est âgé de 24 ans, il est à l'université... de manière forcée ! Il ne voulait pas faire d'études, mais pas le choix, c'est devenu obligatoire. Travailler ? Mais il n'en a pas besoin, il a de l'argent pour toute une vie et bien plus ! D'accord, depuis quand êtes-vous à New York ? Depuis quelques années Cette ville vous plait? Qu'aime- vous ici? Non, il est là uniquement pour Marisa et pour personne d'autre Nous avons bientôt terminé, ne vous inquiétez pas. A quel groupe appartenez-vous ? Candyfloss. Voilà, nous avons terminé le petit interrogatoire. Merci d'avoir répondu à toutes ces questions, et bonne chance à New York.


~ because everybody has a story to tell ~



Noa est né il y a vingt-quatre ans de ça, à Bruxelles, en Belgique. Ses parents riches du côté de son père. Qui a gagné le gros lot ? Personne ne le sait car cette fortune remonte presque depuis la nuit des temps. En tout cas, cette fortune là est vraiment plus que bienvenue parce qu’ainsi, la famille Van Der Staal ne se refuse absolument rien ! Le moindre petit caprice pouvait être satisfait en un rien de temps. S’il y avait des gens cupides dans la famille Van Der Staal, ce n’était pas forcément le cas de tout le monde. Les parents de Noa étaient humbles et n’affichaient pas leur fortune à qui voulait bien voir. Quand on les voyait, ils n’empestaient pas la richesse. On aurait presque pu dire qu’ils avaient des revenus lambda. Bien qu’ils n’en avaient pas besoin, le père de Noa travaillait afin de continuer à alimenter la fortune de la famille et aussi pour la maintenir. Il fallait bien l’alimenter pour qu’elle reste à niveau, après tout.

Depuis tout petit, Noa ne manquât absolument de rien. Pendant les trois premières années de sa vie, tout le monde était au petit soin pour lui. C’était même un enfant joyeux qui aimait bien s’amuser, babiller, rigoler… Au début, il était tout à fait normal, hein ?! Bon, hormis son obsession pour le rangement… Ses parents n’ont pas du tout eu besoin de lui apprendre à le faire, il le faisait automatiquement. Et puis, il fallait que tout soit à sa place. Il ne supportait pas quand quelqu’un venait toucher à ses affaires pour les retrouver ensuite déplacées. Ça le mettait dans une colère noire et il faisait des caprices à n’en plus finir. Sa mère mettait parfois des heures et des heures à le consoler. Et quand elle se dirigeait vers l’objet déplacé pour le remettre à sa place, il criait encore plus fort parce qu’il voulait remettre ça lui-même… Oui… A trois ans, monsieur avait déjà un grain ! Mais on lui pardonnait, il était petit. Et parce qu’il était petit, il faisait un caprice, voilà tout. On pensait que ça lui passerait… Si seulement…

Peu de temps après ses quatre bougies soufflées, ses parents lui apprirent que bientôt, il aurait un petit frère ou une petite sœur avec lequel ou laquelle il pourrait jouer et lui apprendre plein de choses. Ses petits yeux d’enfants s’étaient aussitôt mis à briller de mille éclats face à cette excellente nouvelle. Bientôt, ils seraient deux. Et il attendait ce jour avec impatience ! Neuf mois, c’était long, mais Noa prenait son mal en patience parce qu’après, ils auraient toute leur vie ensemble. Il était très attentif à la préparation de l’arrivée future du bébé. C’était limite si ce n’était pas lui qui décidait (en fait, c’était lui qui décidait, mais comprenez que ça fait un sérieux manque d’autorité de la part des parents d’avouer qu’ils n’avaient presque aucun avis à donner). Noa avait une idée précise de ce qu’il désirait. Et ce fut presque pire quand il sut enfin le sexe du bébé. Il allait avoir une petite sœur. Et c’était juste trop génial ! Il allait pouvoir jouer les grands frères, lui apprendre tout ce qu’il savait etc.

L’arrivée de ce nouveau bébé était fortement attendue. Dans la grande demeure où ils habitaient, la joie régnait, l’impatience également. On entendait Noa dire à qui voulait bien l’entendre qu’il lui apprendrait quand même à monter aux arbres, même si c’était une fille. Quatre ans, le garçon était déjà très intelligent. Trop intelligent. Huit mois s’écoulèrent lorsque sa mère fut prise de violentes contractions, annonçant l’arrivée du bébé. Une naissance prématurée, ce n’était pas grave, mais voir tous le bas de sa maman en sang, ça l’était. Une nourrice vint chercher le petit Noa pour le priver de cette vision tandis que son père emmenait son épouse de toute urgence à l’hôpital. Noa voulait aussi être là. Aussi fit-il un caprice, se mettant dans une colère noire pour que sa nourrice accepte de l’emmener. Il voulait voir sa petite sœur ! Mais lorsqu’il arriva à l’hôpital et demanda à voir sa sœur, son père lui annonça tristement que sa sœur n’était plus. Noa se retrouva figé sur place, les yeux aussi ronds que des balles de tennis. Malgré tout, on lui montra sa petite sœur. C’était un magnifique bébé aux cheveux bruns. Elle avait les yeux clos et donnait l’impression de dormir. Il avait du mal à croire qu’elle n’était pas vivante. Ses parents l’avaient appelé Marise et on l’enterra lorsque sa mère fut autorisée à sortir de l’hôpital.

A partir de ce jour-là, absolument toute trace de l’enfant à venir, disparut. Plus personne ne prononça le prénom de Marise, sauf lui. Pendant les premières semaines, il essaya d’en parler, mais ses parents ne répondaient jamais, faisant comme s’ils n’entendaient rien. Puis, petit à petit, Noa en parla moins pour ne plus en parler du tout. Il était évident que ses parents se trouvaient dans le déni le plus total, faisant comme s’il ne s’était jamais rien passé. Mais Noa ne pouvait pas oublier. C’était impossible, impensable, même ! Très rapidement, il se créa une petite sœur imaginaire, lui donnant pour prénom celui de Marise. Il n’était pas rare que les enfants se créaient des enfants imaginaires parce qu’ils manquaient d’amis. Dans son cas à lui, non seulement il n’avait pas d’amis, mais surtout, il s’était crée une sœur fictive. A partir de ce moment-là, Noa se renferma sur lui-même, n’acceptant de parler à personne d’autre qu’à Marise. Il restait enfermé dans sa chambre, la plupart du temps. Il ne prenait même plus plaisir à parcourir l’immense demeure des Van Der Staal. A quoi bon ? Pour voir ses parents vivre dans le déni complet ? Il préférait être tout seul. Les quelques fois où ses parents passaient du temps avec lui, Noa faisait comme si sa petite sœur était avec eux. Il lui posait des questions, s’imaginait les réponses, répondait etc. Si bien que ses parents inquiets prirent la décision de déménager afin de prendre un nouveau départ.

Ils déménagèrent à New York. Là-bas, c’était grand, c’était pollué. Ses parents achetèrent une magnifique villa et il eut le droit de choisir toute la décoration de sa chambre. Néanmoins, il demanda à ce que le prénom de sa sœur soit inscrit sur un des murs juste à côté du sien. Ce fut un choc pour ses parents, mais ils acceptèrent malgré tout. Pensant qu’une fois cela fait, Noa consentirait à passer à autre chose. Dans ses pensées, au fil des années, Marise grandissait plus ou moins au même rythme que lui. Son mutisme ne fit que s’accroitre au fur et à mesure qu’il grandissait. Il n’échangeait que très peu de paroles avec les autres, se résumant au strict minimum. Quand il atteignit l’âge de sept ans, Noa piqua la plus grande crise de toute sa vie quand la nourrisse eut le malheur de toucher un ours en peluche qu’il avait attribué à sa sœur imaginaire. Il retourna une grande partie de toute sa chambre. Quand ses parents remarquèrent ce qu’il venait de se passer, le garçon était déjà entrain de ranger sa chambre méticuleusement, remettant tout à un millimètre près. A partir de ce jour-là, chacune de ses colères se résumaient à un capharnaüm sans nom dans la pièce où il se trouvait.

A New York, Noa ne sortait jamais en hiver. Le froid le rebutait. Quand il faisait beau, il exigeait passer ses journées à la plage, jouant avec Marise. Quand des enfants essayaient de venir jouer avec lui, il s’en allait aussitôt. Il refusait tout contact avec les autres enfants. Il n’avait rien à voir avec eux. Il  ne voulait pas se lier d’amitié avec ces gens. Il se plaisait dans sa solitude. A l’âge de onze ans, ses parents l’envoyèrent dans un pensionnat au Canada, pensant que c’était ce qu’il y avait de mieux à faire pour lui. Il ne voulait pas y aller, il ne voulait pas aller à l’école, mais ses parents l’y envoyèrent presque de force. Ils espérèrent que là-bas il se ferait des amis, mais non. Noa restait seul la majorité du temps. En cours, il ne parlait pas, se contentant d’apprendre ce qu’on lui demandait d’apprendre. Il aurait pu avoir un excellent niveau étant donné qu’il était intelligent, mais il ne faisait aucun effort. Il faisait simplement le strict minimum pour réussir. Malgré le fait qu’il grandissait, il continua de croire que sa petite sœur se trouvait avec lui et les choses ne changèrent pas jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de quatorze ans.

C’était pendant les vacances. Il rentrait toujours à New York pendant les vacances scolaires, ses parents tenaient à ce qu’il soit avec eux quand il n’était pas en période scolaire. C’était une des rares fois où il daignait sortir de l’immense propriété de ses parents et ce fut pendant cette rare fois qu’il la vit. Cela faisait des années qu’il n’était pas resté aussi figé de toute sa vie. Le temps semblait s’être arrêté à partir du moment où il posa son regard sur cette magnifique tête brune, à peine plus jeune que lui. Sur son visage était peint un magnifique sourire qui faisait oublier absolument tout. Noa en oublia même son prénom. Brusquement, une idée complètement folle lui vint en tête : elle était la réincarnation parfaite de sa petite sœur, Marise. Elle était telle qu’il s’était plu à l’imaginer et cela ne pouvait pas être un hasard ! Elle et lui étaient faits pour être ensemble ! La mort n’avait pas su les séparer. Noa y voyait là comme une évidence.

A partir de cet instant, le monde de Noa ne tourna qu’autour de cette demoiselle brune. Il n’arrivait pas à l’oublier, elle hantait ses jours et ses nuits sans cesse. Sa petite sœur imaginaire avait disparu, il n’y avait plus qu’elle, cette Marise bis. Chaque jour qui passait, il la traquait, la surveillait, la regardait parfois pendant des heures, voir même des journées entières. Il en oubliait même de manger ! Malheureusement pour lui, il était obligé de la laisser derrière lui quand il retournait au pensionnat. Là-bas, il n’avait absolument aucune nouvelle d’elle, mais il se plaisait à imaginer ce qu’elle faisait à cet instant précis. Il ne pensait plus qu’à elle. Il ne connaissait pas encore son prénom, mais cela ne tarderait pas à venir. Pour le moment, il se l’appelait Marise. Après tout, elle était la réincarnation de sa sœur, donc, elle s’appelait tout aussi bien Marise que son prénom actuel ! Quand il retournait chez ses parents, il continuait de l’observer. Dès qu’il posait ses yeux sur elle, il avait la sensation de vivre à nouveau. Comme si sa vie était en pause dès qu’il ne la regardait pas. Elle était devenue son monde.

Quand il eut seize ans, Noa commença à pousser ses observations au-delà de la bienséance. Tous les jours il la suivait sans la moindre honte. C’est ainsi qu’il apprit qu’elle se prénommait Marisa. C’était le destin ! Marise, Marisa. Elles avaient le même prénom. Pour Noa il n’y avait plus de doute : elle était la réincarnation de sa sœur. Marise devint Marisa. Un prénom à consonance latine qui résonnait comme la plus douce des mélodies dans ses oreilles. Ce petit scénario continua ainsi pendant un long moment. Lui-même ne savait pas trop pourquoi il agissait ainsi. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il devait agir ainsi ! C’était comme une nécessité. Il n’arrivait pas à se passer de cette sensation qu’il ressentait à chaque fois qu’il posait son regard sur elle. Retardant le plus possible la possibilité d’une première rencontre. Il l’observait, de loin. La seule chose qui retenait son attention, c’était Marisa. Elle, elle était réelle. Elle était parfaite, elle était… Elle était son monde, tout simplement ! Ses nombreuses absences au domicile furent bien évidemment remarquées, mais jamais il ne répondit aux questions de ses parents concernant les lieux où il se rendait. Au fil des mois, il acheta un appareil photo et prenant encore et toujours des apparences diverses et variés, il commença à prendre des clichés de la belle Marisa.

Suite à son mutisme qui ne semblait pas vouloir prendre fin, sa mère souhaita, à de nombreuses reprises, faire effectuer des tests psychologiques sur Noa afin de savoir si c’était ‘normal’ qu’il agisse de cette façon. Mais à chaque fois, le jeune homme s’était contenté de s’éclipser soudainement. Bien souvent, il terminait là où Marisa se trouvait, continuant de la prendre en photo sous toutes les coutures. Il adorait quand elle souriait. Il la trouvait tellement belle… Une fois, il la vit avec un autre garçon et ce fut le drame. Une fois rentré chez lui, il dévasta absolument tout ce qui se trouvait sur son passage. Sa mère, en le découvrant, hurla de terreur face au regard fou de son unique fils. Quant à son père, il tenta de le calmer, mais il n’arrivait à rien. Il envenimait la situation. La seule chose qu’il y avait à faire, c’était d’attendre qu’il se calme. Ce ne fut qu’au bout de plusieurs heures que le calme retomba sur la demeure.

Sans rien demander à personne, il prit la décision de partir vivre seul. Par chance, il se retrouva dans un appartement près du lieu où elle vivait. Enfin… la chance n’avait rien à voir là-dedans, il l’avait fait exprès ! Une fois installé dans son appartement, il consacra une pièce à son culte à Marisa. Il l’observait tout le temps. Il était hors de question qu’elle se trouve loin de lui. Il ne le supporterait pas ! Il ne mourrait même ! Ah, si, si, si ! Il était raide dingue d’elle, ce n’était pas pour qu’elle parte loin de lui ! D’ailleurs, il  surveillait même les personnes qu’elle fréquentait. Quand quelqu’un ne lui convenait pas, il faisait en sorte qu’elle ne recroise jamais la route de cette personne. S’il pouvait, il ferait en sorte qu’elle soit à lui, rien qu’à lui, empêchant quiconque de poser ses yeux sur elle. Mais il ne pouvait pas. Tout du moins… Pas encore… Mais il veillait au grain ! Il n’hésiterait pas à tuer pour elle. D’ailleurs, n’était-ce pas ce qu’il faisait déjà en tuant les canards qui osaient l’effrayer ? Ces stupides volatiles ne pouvaient-ils pas rester à distance ?!

Aujourd’hui, Noa est à l’Université. Il apprend principalement l’art de la photographie. Il est sans aucun doute l’un des plus doués étant donné le nombre de fois où il avait eu recours à cet art pour suivre Marisa. Mais ça ne l’intéressait pas. De toute manière, rien ne l’intéressait réellement, mis à part Marisa. Elle ne quittait jamais ses pensées. Et plus il grandissait, plus son obsession pour elle changeait, évoluait à tel point qu’il se plaisait à les imaginer dans des situations… plus que compromettante. Son esprit pervers ne faisait qu’alimenter cette imagination malsaine et le pire, c’était qu’il voulait expérimenter ça. Mais pas maintenant ! Il fallait d’abord qu’il fasse les choses ‘biens’. Mais bientôt !


~ Because we are all different and all unique ~


Noa est grand et blond. S'il se laissait pousser les cheveux, ces derniers boucleraient, mais comme il déteste ressembler à un mouton, il les coupe. Et puis, plus ils sont courts, plus ils semblent foncés. La couleur de ses yeux est grise, ils ne sont ni vert, ni bleu, quoi que cela dépende aussi de la luminosité. Néanmoins, il aime se dire qu'il a une particularité. Les traits du visage de Noa sont fermés étant donné la bulle dans laquelle il s'est plongé depuis sa plus tendre enfance. Et pourtant, quand il sourit, il pourrait presque faire fondre de la neige en hiver. Question vestimentaire, le jeune homme ne se prend jamais la tête. Il met, bien souvent, les premières choses qui lui tombent sous la main, mais jamais il ne sort du lot. Il ne veut pas sortir du lot parce que sortir du lot, c'était le rôle de Marisa, alors quand on le croise, il ressemble à un garçon lambda.

Noa est quelqu'un de renfermé. Il s'est plongé dans un mutisme quasi constant suite au décès de sa petite soeur lorsqu'il avait quatre ans. C'est quelqu'un de colérique, qui n'hésite pas à détruire tout ce qui se trouve autour de lui quand quelque chose le contrarie ; c'est donc quelqu'un de destructeur. Pourtant, il est intelligent. Peut-être de trop d'ailleurs. Il pourrait faire des choses grandioses s'il ne s'était pas focalisé sur Marise, puis sur Marisa, tout au long de sa vie. Maniaque, il a la folie du rangement. Tout doit être à sa place, au millimètre près. Il ne supporte pas qu'on touche à ses affaires. C'est à lui, personne n'a le droit d'y toucher. Noa est aussi quelqu'un qui a de la conversation. Il sait plein de choses sur plein de sujets différents, mais comme il ne parle quasiment jamais, personne ne sait à quel point son savoir est grand. Fou ? Oui, il l'est. Son comportement est un ticket pour un aller simple dans un asile, mais il marche encore dans les rues de New York et personne ne soupçonne sa maladie mentale et son obsession quasi destructrice pour Marisa.


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Dylan J. Townsend
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MessageSujet: Re: If I had you, life would be a party it'd be ecstasy   If I had you, life would be a party it'd be ecstasy EmptyMar 5 Avr 2016 - 7:36

Bienvenue sur le forum !

Ton personnage est intéressant brille j'ai hâte de le voir évoluer ! :3

Bon jeu parmi nous hug

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Dylan Jodelle Townsend
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Adam J. Salvatore

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MessageSujet: Re: If I had you, life would be a party it'd be ecstasy   If I had you, life would be a party it'd be ecstasy EmptyMer 6 Avr 2016 - 11:23

Bienvenue ici dance
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Daphné A. Gracey

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MessageSujet: Re: If I had you, life would be a party it'd be ecstasy   If I had you, life would be a party it'd be ecstasy EmptySam 9 Avr 2016 - 19:32

Welcome !! Very Happy
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Edward C. Borden

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MessageSujet: Re: If I had you, life would be a party it'd be ecstasy   If I had you, life would be a party it'd be ecstasy EmptyVen 15 Avr 2016 - 14:44

Bienvenu sur le forum Wink
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MessageSujet: Re: If I had you, life would be a party it'd be ecstasy   If I had you, life would be a party it'd be ecstasy Empty

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